|  | Euh... Kitsu Perso je vois pas de différence |
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Euh. On peut prendre cette phrase de deux façons différentes.
La première : Aucune différence entre une pouliche de trois ans et une de cinq et demi. Perso, que les deux soient identiques, ça me choque. La trois ans est quand même censée être moins développée, moins musclée, moins "finie" qu'une cinq ans et demi qui bosse.
La seconde : Si tu ne vois pas que Valefore est bien plus développée que sa soeur, c'est que... bah... t'as pas vraiment l'oeil

désolée mais c'est carrément flagrant quoi.
Ensuite... C'est vrai que sans voir toutes les photos, on peut pas se faire une véritable idée. Mais cette seconde jument était mieux foutue quand elle avait deux ans qu'elle ne l'est maintenant. En fait, elle n'a pas du tout changé morphologiquement, à mon sens. Hors, ce qui est normal pour un deux ans ou un trois ans l'est déjà moins pour un cheval de cinq ou six ans.
Je ne dis pas que ça sera le cas forcément pour le poulain de Ash si elle l'achète.
Mais il faut rester réaliste.
Pour préserver sa santé et permettre à son squelette de se remettre, il aura besoin de bien plus que six mois de repos.
Edit : pour le reste, je ne dis pas de ne pas acheter un cheval qui pourrait avoir des probs de santé plus tard. La preuve, je l'ai moi-même fait. Mais c'est pour Ash que je le disais, Ash qui a déjà vécu une expérience difficile que nous ne souhaitons à personne. Après ce qu'elle a vécu, elle serait peut-être plus tranquille avec un cheval qui part d'emblée de bon pied. Là, le moindre souci peut être une source d'inquiétude.
Je suis d'accord sur le principe que quand on aime, on ne compte pas. Mais le fait est qu'il faut être conscient que l'on part avec un malus quand c'est le cas, car c'est pas le tout de penser bisounours et caca papillon : il faudra pouvoir suivre les frais véto s'il y en a, et pour cela, il faut les envisager et se poser la question : si mon cheval développe des problèmes suite à son débourrage trop précoce, pourrais-je lui offrir régulièrement TOUS les soins dont il aura besoin ?

Je ne critique pas son choix. Si elle le fait, elle aura tout mon soutien et mes encouragements. Mais tant qu'à le faire, autant envisager même le pire. Et ce pour le bien de l'animal comme pour le sien.