Bon, je me suis renseignée, et voilà ce qu'il en est :
Du diagnostic du véto va dépendre l'usage pour lequel le cheval est destiné. Un diagnostic pour un cheval de loisirs risque d'être beaucoup moins poussé que pour un cheval de compétition, de fait, c'est aussi au vendeur d'être garant de l'état de santé du cheval pour l'usage auquel ce dernier est destiné.
Si le vendeur vend son cheval pour du loisirs, une simple visite est généralement faite, aux frais de l'acheteur, sauf vice caché.
Si le vendeur vend son cheval pour de la compétition, il y a souvent des radios annexes. Si le cheval, vendu pour de la compétition, présente, par exemple, une boiterie lui interdisant tout concours, c'est au vendeur que revient la visite d'achat si l'acheteur, du fait du diagnostic se rétracte.
C'est au départ au vendeur d'être au point lui-même sur l'état du cheval, selon son usage. Si le vendeur vend son cheval pour du loisirs, qu'il sait qu'il a tel ou tel souci, il doit le notifier à l'acheteur, qui accepte ou non en toute connaissance de cause. Dans ce cas, la visite d'achat revient à l'acheteur.
Par contre, en cas de vice caché, quelque soit le cheval, c'est au vendeur de régler la facture.
J'espère que j'ai été claire dans tout mon blabla