|  | Je remonte le post car ce sujet m'interesse, montant moi-même un cheval comme vous le decrivez. Avez-vous trouvé d'où vient ce problème? Et d'éventuelles solutions? |
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Bonjour Amandine
Non je n'ai jamais trouvé de façon formelle d'où vient le problème, mais je me suis faite à l'idée qu'il est comme ça et le sera toujours.
Il est dans la fuite avant même d'être sous pression et n'est au jour d'aujourd'hui (10 ans)toujours pas sortable dans un milieu naturel monté ou en main bienqu'il se soit qd même bien calmé.
Mais j'ai quand même obtenu pas mal de progrès avec la gestion suivante :
Etho (Pierre Yves bourdon) pour essayer de lui expliquer qu'il ne faut pas fuir.
Le monter dans une attitude très basse et très lente (trot à la limite du pas) afin qu'il reste le plus longtemps possible les postérieurs au sol et réussisse à se décontracter.
Le mettre en troupeau avec un dominant qui le remette à sa place et en qui il a confiance.
L'intéresser à un travail facile avec des sucres en récompense car il est très gourmant pour qu'il comprenne qu'on lui demande un truc et que c'est gratifiant d'y répondre.
Je pense que l'erreur que j'ai faite avec ce cheval qui est d'une réceptivité hors norme, c'est d'avoir été trompée à cause de son immense sensibilité qui lui permet de répondre à des aides par instinct et non parce qu'il les a comprises.
Enfin, le déclencheur qui a permis de mettre en place un travail la tête en bas a été le "zylkène équine" sur 3 jours pour qu'il adopte cette attitude sans choutage après.
Enfin, j'ai laissé les talons de son pied bot remontés, ce qui semble mieux lui convenir, surtout au galop.
Je te laisse faire le tri dans tout ça !! hein! si tu as des questions n'hésites pas.