Un petit dernier message : pardon pour la série!
Je voulais ajouter une chose, au niveau du traitement, ou des solutions.
Que la cheval ait une maladie mentale touchant son cerveau, ou qu'il soit juste stressé par un facteur externe, le traitement est le même :
- supprimer au maximum les facteurs de stress externes (du moins dans un premier temps, le temps que le bien-être revienne),
- encourager le bien-être (plaisir, relation homme-cheval, humeur...)
- ne pas réprimander le comportement déviant ou le tic (s'il tique, mieux vaut le caresser gentiment en lui disant des mots gentils sur un ton compréhensif de sa souffrance, plutôt que lui crier après ou lui dire d'arrêter).
- en parler au vétérinaire : je ne sais pas où en est l'usage vétérinaire concernant les troubles mentaux, mais, si le cheval est diagnostiqué d'un trouble mental (hypersensibilité, trouble de l'humeur, etc.), un traitement est peut-être préconisé.
Ma recommandation personnelle :
Un cheval qui tique est un cheval qui a plus besoin de ta douceur, de ta compréhension et de ta complicité qu'un cheval tranquille ou indépendant. Il a besoin également que tu veilles à son bon équilibre mental en cas de changements.
- As-tu envie d'une relation avec un tel cheval? Ou plutôt un cheval plus "neutre" émotionnellement.
- Est-ce que cela sera compatible avec ce pour quoi tu l'achètes (ex : stress des compétitions, entraînements, déplacements...), notamment, auras-tu le temps et la disponibilité pour le traiter selon ses besoins?
Je pense que ton coeur et tes ambitions, réunis, vont te dire quel choix faire.
Choisis bien!