aliss a écrit le 14/02/2012 à 17h05: |
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Il y a 2 problèmes à ta solution:
1- Les vétérinaires réellement formé à la dentisterie équine sont peu nombreux et ne peuvent, et de loin, pas satisfaire la demande en dentistes équins
2- Les vétos non dentistes pas formés du tout ont eux le droit d'intervenir légalement tout en étant pas compétents
Pour moi il faudrait donc légaliser la profession de dentistes équins (non vétos) tout en cadrant la formation qu'ils doivent recevoir pour avoir le droit exercer. On pourrait imaginer de réserver les interventions nécessitant sédation aux vétos/dentistes après avis du dentiste. La plupart des interventions de dentisterie ne nécessitent pas de sédation et pourraient donc être réalisées par des dentistes non vétos... |
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Ce n'est pas ma solution, moi je ne participe pas au débat entre vétos, dentistes et ostéos.
Et je suis d'accord avec toi. Sauf que c'est pas parce que on manque de médecins dans les campagnes que tous le monde peut se proclamer médecin.
Ce qui me gène, c'est l'exercice illégal. On a beau être très bon, si on a pas le droit d'exercer, on n'exerce pas, point barre. Parce que c'est la porte ouverte aux charlatans. Et même en tant que client, défendre l'exercice illégal est dangereux. Tous les praticiens qui ont un diplôme officiel souscrivent une responsabilité professionnelle, en revanche, pour les autres, qu'en est-il? Quel recours a alors le client en cas de pépin?
Il y a des lois et des règlements à respecter. Je ne sais pas du tout où en sont les négociations entre vétos, dentistes et ostéos, mais s'ils ont trouvé un accord pour créer une formation officielle ouverte aux non vétos pour satisfaire la demande, moi ça me va très bien. La réglementation de ces professions me parait indispensable et il semblerait que ce soit en bonne voie.