J'ai délaissé ce post il y a environ 1 an, et je compte bien le faire revivre !!!
Je vais faire un petit feel back de notre histoire passée avant de reprendre ! Il a aujourd'hui 22 mois !!
En mai 2013, le proprio des écuries refait les troupeaux pour l'été. Il y a alors pas mal de poulain de son âge, et une jument agée pour l'éducation.
SUr le coup je me suis dis SUPER ! TOut ce qu''il lui faut pour grandir mais j'ai vite déchantée. ENfaite cette jument est une jument qu'il arrivait pas à faire prendre ducoup il s'en foutait de les mettre avec des poulains de même pas un an.
Sauf que les hormones de Mr CHocapic se sont réveillées et il grimpait la jument toute la journée.
Il est devenu inatrappable au pré, même pas pour les granulés et les soins.
J'en ai parlé au proprio, je voulais qu'il enlève la jument, il a refusé. Pendant un mois je me suis bagarée et j'ai décidé de changer de pension sauf que impossible à rattraper et personne qui voulait levé le petit doigt pour m'aider.
Il est devenu sauvage. A force de patience, j'arrive à l'approcher mais le licol c'est niette. Il maigrit de jour en jour, du fait surement de la monte de la jument.Beaucoup de remise en question pendant cette période, beaucoup de larmes aussi.
J'ai demandé au proprio de me le transporter pour 8 km, il a accepté.
J'ai eu de la chance ce jour la, mr était couché au pré et j'ai pu lui mettre le licol. SAuf qu'impossible de monter dans le camion (pourtant déja voyager plusieurs fois dans celui la pour changement de prés) . A bout de force, et ne voulant pas le remettre dans le pré après ce coup de chance ,je décide d'y aller à pied. Bébé a alors 1 an.
On a souffert les 2 pendant ces 8 km et 4h de marche mais il est arrivé en entier dans sa nouvelle pension qui approche le paradis pour moi.
Même village que moi, box ouvert sur paddock , foin à volonté, herbe à volonté, 7 Autres copains, une carrière et un rond de longe.
Comme c'est chez des privés, on est 3 proprios et on doit venir faire les box et donné à manger, le paradis pour moi, j'ai l'impression de m'en occuper à plein temps comme s'il était chez moi.
Le jour de son arrivé à la nouvelle pension.