Bonjour,
Je tenais à avoir des avis ou affirmations sur un sujet qui me tient à coeur.
Pour le contexte, je vis depuis 2 ans avec une hépatite endormie, qui peut se réveiller à n'importe quel moment et me créer des crises de foie. Pas d'apitoiement sur mon sort, ce n'est pas ce que je demande,et d'ailleurs je n'aime pas ça...
Il y a deux semaines, j'ai fait des crises régulièrement la semaine. J'étais avec la jument que j'ai en DP, et elle a eu une réaction que j'ai déjà vu plus d'une fois : elle a posé son nez sur mon ventre du côté droit et a "poussé" doucement, comme pour que je me décale, oreilles bien en avant comme si elle était "intriguée" ou qu'elle "comprenait".
Quand tout a commencé, le médecin et mon entourage me forçaient à continuer de monter à cheval pour garder le moral, étant donné qu'à cette époque, les médecins ont pensé au pire. Je montais donc à cheval dans des cours très simples par rapport à mon niveau. Je n'ai pu faire que 4 séances avant d'arrêter, et les 4 chevaux que j'ai monté avaient eu cette même réaction à l'époque. Toujours de d'abord posé leur nez puis de poussé légèrement avec les oreilles en avant.
Pareil quand j'allais voir mon chouchou de club à partir du moment où je ne pouvais plus monter. Il faisait exactement la même chose. Pas de mordillement ou autre, juste poussé doucement dessus.
Ainsi, je me suis demandée dernièrement si les chevaux étaient capables de percevoir que nous sommes malades, et de savoir où nous souffrons ? ou est-ce que c'est du pur hasard ? ou peut-être que ça dépend du caractère et de la sensibilité du cheval ?
J'aimerais un peu vos avis là-dessus, car je dois avouer que je trouve cela perturbant.
S'il y en a qui pensent honnêtement que je me fais un film, pas de soucis, n'hésitez pas à me le dire
Les chevaux se laissaient faire par rapport à d'habitude, ils ne faisaient pas de gestes brusques ou autre, comme s'ils faisaient attention à moi. C'est vraiment très émouvant 
Mais à travers des vêtements, je doute. Ce qui me perturbe le plus, c'est qu'ils "touchaient" vraiment au bon endroit, comme s'ils "savaient" que c'était à cet endroit que j'avais mal. 
