Coucou tou le monde
Bon je vien refaire une présentation de mon loulou et mettre pleeeeein de photos !
Depuis toute petite, je rêve d’avoir un cheval comme pour la plupart des cavaliers/cavalières. Oui, de cheval, mais plus précisément d’un cheval baroque. Mon rêve était celui de partager ma vie avec un ibérique, d’apprendre avec lui le dressage jusqu’à la haute école, de galopade sur du sable doré et d’avoir un lien très fort qui nous unirai. Mes par
ents on acceptés la présence d’un cheval à la maison après sept ans d’abstention, et c’est là où j’ai commencé à prendre goût à la vie.
Le seize octobre deux mille dix, nous nous sommes rendus, moi et mes parents, chez un marchand de chevaux réputé pour vendre de bons chevaux polonais et de bons lusitaniens. Le marchand commença par nous montrer les structures des écuries et quelques chevaux. Puis je suis entrée dans le box d’un lusitanien, de trois ans et demi, de taille moyenne et là, c’était comme une évidence, c’était lui. J’ai eu une sensation instantanée de coup de foudre impressionnante. Je n’avais jamais ressentis ça ! Il était plutôt rondouillet, et avait toujours le nez dans la mangeoire. Il était vraiment attendrissant.
Là était arrivé le moment de l’essai. La femme du marchand commença par le détendre, et j’ai pu remarquer la puissance et l’énergie débordante qu’il contenait. Bon, c’était mon tours de le monter ! Je mis ma bombe et hop, le pied à l’étrier, j’étais dessus. Du pas, du trot… Oh, du trot… Un trot avec une sensation que je n’avais jamais eu la chance de découvrir en club, un trot très relevé, très dandinant ! Je me serais cru sur une anguille. Vraiment, on aime ou on n’aime pas, mais moi j’ai adoré. Une fois pied à terre, mes parents me posèrent l’ultime question : »Est-ce bien lui que tu veux ? » Et je répondis simplement « Oui, c’est lui, j’en suis certaine ».
Après fus venu la présence redoutable d’un dur choix. Faire castré Csar ou le garder entier ? Dur de choisir sachant qu’il sera dur de revenir en arrière. Bon, il fallait être relatif, pour un premier cheval, un entier n’était pas vraiment conseiller, de plus je n’avais que treize ans donc pour le gérer, ce n’était pas envisageable. Mais en même temps, il était beau et il pouvait promettre une belle descendance. Enfin, j’ai tout de même décidé de le faire castrer. Le lundi qui suivait, il était donc parti en clinique.
Une semaine après, C est arrivé à la maison, venant de se faire castré, il m’était interdit de le monter lors des deux premières semaines, donc nous en avons profité pour faire connaissance. Et j’étais littéralement conquise. Je me suis vraiment vite accroché à lui, à son doux regard.
Les deux semaines étaient passées, il était temps pour moi de le monter. Plutôt dur nos premiers pas ensemble, je dois bien l’avouer. Nous étions jeunes tous les deux, j’avais mon galop 5 & Csar était simplement débourré aux trois allures. Je manquai énormément d’expérience, de plus avec un cheval fraichement castré. Il a vite fait de m’avoir fait peur, donc j’ai vite pris la décision de prendre des cours avec lui. Belle opportunité qui se présentait à nous, une écurie axé dressage/western était situé à seulement quatre km de chez nous. Nous commencions alors les cours particuliers de dressage et apprenions tous les deux en même temps.
Cependant, il ne fallait pas oublier qu’il avait été castré tard, donc nous avons pris une jument en pension pour la mettre dans le même pré avec Csar, déjà pour pas qu’il s’ennuie, mais en plus pour calmer ses pulsions. Et c’est à partir de ce moment-là qu’il a commencé à être plus respectueux.
Onze mois s’étaient écoulés depuis que C était entré dans ma vie. Jusque-là, nous avions fait beaucoup de dressage, pas mal d’endurance et un peu d’obstacle. Mais là, un problème plutôt délicat est venu chambouler notre quotidien. Une sème, partant du creux de la fourchette, du début du talon était présente. Mais pas une sème commune, non, elle était très profonde et était remonté jusqu’à la chaire de Csar. Autant vous dire que C en a souffert ! La vétérinaire était resté très perplexe sur le sujet, elle a eu vraiment peur que les cellules souches soit atteintes et que son sabot repousserai à vie avec une faille. Je devais attendre que le sabot de C repousse complètement avant de pouvoir le remonter. On pensait à 6-7mois, mais avec toutes les crèmes favorisant la pousse de la corne, il y en a eu que pour 3 mois. Et c’était avec une grande chance que le bourrelet périoplique ne soit pas compétemment atteint. Pendant les trois mois de son arrêt travail, nous avons travaillé à pied, beaucoup d’observation, de l’étude de son comportement. Ce qui nous a énormément rapprochés.
Les 3 mois passé, j’ai pu le remonter. Et c’est à partir de se moment là que nous avons commencé à travailler dans le bon sens et progressé à une vitesse incroyable en dressage. J’ai toujours eu une extrême confiance en mon cheval ! Depuis que je l’ai eu, je le ramenai deux à trois fois par semaine au pré (il a des paddocks chez moi) à cru en licol, au galop à travers champs. Toujours. Je ne me suis jamais méfié, peut être avais-je eu tors ? En attendant c’est ce qui nous a aidés à passer un cap.
Nous venons de commencer les concours de dressage, nos tout premiers. Les résultats sont loin d'être exeptionel mais ce n'est pas grave, on persévère ! On va même commencer les CSO, le premier sera dans 1 semaine et demi. Je ne sais ce que je serai sans lui, je lui dois tout. J’ai eu énormément de bas, mais qui m’on justement donné envie d’aller plus haut et de me donner à fond pour lui. Tout mon temps libre, je le passe avec lui. Il est entré dans ma vie pour ne jamais en ressortir.
Je l’aime, profondément.
Dimanche dernier, lors de notre 2ème concours de dressage (Club 2 GP)
Le loulou qui saute :
Pendant nos vacances en bretagne
Bien sur, j'ai des millions d'autres photos
bon...j'avoue les photos sont bien faites aussi 
