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c'est un peu différent...la maturité elle l'a...pour se dire que d'avoir un cheval ça a un côté financier non négligeable...elle est au chômage depuis un certain temps, la pension il fallait la payer, elle n'avait plus l'envie de monter (elle monte depuis qu'elle sait s'assoir...donc un certain temps) pas trop d'intérêt d'avoir un cheval, quand c'est juste pour aller le voir, s'occuper de lui sans pour autant le faire bosser, même si on avait trouvé d'autres cavaliers pour le cheval...
Elle n'aurait jamais pensé qu'elle dirait ça le jour de ses 18 ans quand elle a eu la carte de propriété à son nom.
Elle a toujours la passion des chevaux,mais plus de l'équitation... et ce n'est pas assez ...surtout financièrement
Dans ton cas, les frais vous vous les partager...ça peut faire la différence... |
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Je suis d'accord avec ce que tu dis. Je pense qu'en général, ça devient une grosse galère et un très gros poids.
Trop grosse responsabilité, le rythme peut devenir infernal entre les études (à 18 ans, désolée, mais ça demande un gros travail, avec des pressions), le fait d'être dépendant complètement de ses parents niveau financièrement, et des déplacements (certains peuvent ne pas avoir encore leur permis). Sachant qu'il peut y avoir un gros coup dur (frais de véto, cheval ingérable ?), vacances compromettantes, trouver un bon endroit pour le cheval, ne pas pouvoir bouger pour des études supérieures et j'en passe...
Bien entendu, il y a plein de personnes qui ont pu gérer ça, mais j'en croise plus qui n'ont pas pu le faire correctement.
Par contre, impossible de nier le fait que ça donne une grand expérience du cheval, et accroît la maturité. Je n'ai côtoyé que des clubs (et récemment demi pension), c'était honteux d'admettre que j'en savais strictement RIEN sur l'entretien d'un cheval... Je pense que je le saurais
vraiment que lorsque j'aurais le miens.