Bonjour
J'ai besoin de parlé, après encore une nuit de cauchemar, de pleurs et j'en passe. Je suis fatigué et je n'est plus envie de rien, plus envie d'avancer du moin en terme d'équitation.
Voilà 2 mois et 4 jours que "mon" poney est loin de moi, je sais ou il est mais c'est trop loin et je n'est pas le permis. Puis je ne me vois pas débarquer dans se club comme ça, je risque de fortement me faire rembarrée. Il était louer par mon club, je sais que le proprio le reloue ou le vend si quelqu'un lui fait une proposition, je ne pourrais le racheté que vers janvier, si quelqu'un ne l'a pas déjà fait avant moi ...
Mais voilà cette hypothèse que quelqu'un le rachète avant moi n'est juste insupportable
J'ai peur qu'il finisse mal avec sont petit caractère ...
Voilà notre histoire
Début novembre 2011, quelques poneys arrivent au club, je n'y fait pas vraiment gaffe, je vien moi même d'arriver avec mon propre poney Néo. C'était pendant les vacances scolaire. Quelques jours après les cours du poney club reprennent et là je le vois, se poney Alezan avec une liste que j'adore, 1m48 environ, je demande sont age :4 ans et sa race : PFS, aie moi qui est peur des jeunes poney. Mais je passe au dessus de ça. Je le trouve tellement splendide, alors que pour le reste du monde c'est un simple poney. Depuis se jours et vu que j'aider pas mal au club, je m'occupe de lui, quand on donne les ration de grain, c'est moi qui le sort et qui lui donne, quand je vient voir Néo, il a lui aussi le droit à son pansage-papouillage et ses carottes. Et ça c'est a dire quasiment tout les jours. Un début de complicité se crée. Le début d'une belle histoire
Le mardi 6 décembre 2011 alors que j'aider ma mono à sortir certain poney du parc. Elle me pose LA question "Tu veux monté avec le groupe compét se soir ?" Je dit un petit oui tout timide car je m'y attendais pas et la "prend qui tu veux mais je pense que la question ne se pose même pas" Elle rigole du coup ça me détend
Le moment venue je prépare donc poney et direction la carrière. On monte, waouh ça change du gros blond (Néo) mais ça va, on détend, malgré mon manque d'assurance au galop, je galope avec les autre, vive l'hiver, on va dire que TOUT les poney se sont bien réchauffer
même le mien mais à vrais dire, même si il fessais n'importe quoi, je n'en ficher, son galop été juste magique. Je m'en sortais pas trop mal, puis la "On fait obstacle, sur un double en légère courbe"
Euh non ça va pas être possible là !!! J'ai jamais réellement sauter de ma vie. Je le dit à ma prof "Mais si tu va essayer au moin, tu fait se que tu peut", première prof qui me rassure aussi bien avec une simple phrase. Je me lance, au deuxième passage, deuxième obstacle j'ai faille me gaufré mais poney m'a bien ratrappé, merci poney
Encore 2/3 passage plus haut et stop c'était haut dessus de mes capacité, mais je me suis déjà bien battue.
Fin de séance, les étoile plein les yeux, ce poney, mon poney est parfait
Un énorme merci à ma prof.
Après ça je l'est monté encore 2/3 fois en décembre, puis en janvier l'apprenti du club démissionne, alors on me propose un deal, quelques taches a faire contre 3 cours par semaine. Je dit oui sans hésitez !!! Me voilà a monter 2/3 fois par semaine mon poney, on progresse, on s'amuse, des peur, des chutes, du horse ball aussi, des moment géniaux, enfin des mois extraordinaire. Du coup que je le prend beaucoup plus souvent, il est beaucoup moin monté par le club, 2/3h par semaine et encore au grand maxi. Je suis quasiment sa seule cavalière. Le rêve
On as pas mal bossé a pied aussi.
Puis vient l'été, MAGIQUE, je pouvais le monté quand je le souhaitez, balades, carrière, c'était merveilleux. Je n’oublierais jamais cet été.
Puis vient fin août, réunion des proprio du club pour la rentrée, ect.
On parle puis vient un moment :
"On réduit les cours, on réduit donc le troupeau"
Le mari de ma prof "Lisa faudra qu'on parle après"
Mouai pas besoin de parlé ... J'ai compris ... Je me mets a pleuré ... c'est impossible, pas après tout ça, non ...
Pendant toute la semaine j'essaye de trouvé des moyens, des solutions, en vain ...
Le mercredi 5 journée porte ouverte ... je demande quand c'est qu'il vienne ... Le samedi 8 ... sayer se n'est plus un rêve, plus aucune chance ... il va partir
Le jeudi et le vendredi je revient le monté un peux, les dernière séance, je suis en pleurs.
Le samedi 8 j'arrive de bonne heure avec mon homme, départ vers les 10h. Je le fait tout beau, on prend des photos, des gros calins, je le fait brouté, je passe du temps avec lui, je reste forte. Mais quand le camion arrive je m’effondre en larmes. Ma prof et le chauffeur monte 3 autre chevaux. Et me demande si je veux le monté moi, je répond oui. Je l'attache toute tremblante, je sais plus se que je fait. Je descend et et va dans les bras de mon homme, je n'ose pas regarder, c'est trop dur, il ferme le camion. On décide de rentré, c'est vraiment trop insupportable pour moi. Je regarde le camion partir et on s'en vas.
Je ne m'en suis toujours pas remise
On dit qu'avec le temps on vit avec ...
Mais pour mois c'est de plus en plus dur chaque jours.
Voilà ma merveille : Les dernière photos.
Toolouze Py.
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Et bien sur car c'est aussi une partit de moi, mon Néo avec mon bébé et moi :
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Quand je l'est monter :
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Merci de m'avoir lu, avoir écrit tout ça m'a fait du bien, même si sa reste toujours douloureux ...
