ewing13 a écrit le 21/01/2013 à 12h45: |
|  | Un mors a olive avec des rondelles ?! |
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Je l'ai précisé dans mon premier message en page 1. Car quand tu le longes, si le cheval s'échappe un peu trop de ton cercle pour faire le couillon, le mors peut "traverser" la bouche ou pincer la commissure.
Mais c'était un précision dans le cas ou elle envisagerait de longer son cheval en filet et non avec un licol plat ou un cavençon.
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Au sinon tu mets la longe en colbert comme sa plus de problème |
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Oui aussi mais ça peut traverser un peu. Après, je ne longe plus en filet car c'est mon choix.
|  | Mais... Juste curiosité , longer sans enrenement, qu'elle utilité...? À moins d'avoir un cheval qui bosse dans son dos de lui même.... Mais j'en doute..
Sinon autant le faire courir en liberté non? Ça évitera d'etre sur un cercle et d'user les jarrets... |
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Alors longer sans enrênement ne signifie pas "tourner en rond pour tourner". L'utilité ... j'obtiens une certaine décontraction et à l'inverse du travaille en liberté je gère la tête du cheval. Ensuite comme l'a dit un membre, ça te permet de contrôler l'impulsion du cheval, chose que tu ne peux réellement contrôler en liberté. On contrôle également l'impulsion. Tu me diras qu'en liberté aussi ... mais en liberté le cheval avance sans réel "contrainte", il est plus au naturel.
En liberté, mon cheval se défoule -> pas de contrainte pour lui, aucun licol, il se roule, galope, trotte la tête haute, fait le "kéké". Pour moi, ce n'est pas du travaille, c'est plutôt de la détente.
Mais chacun à sa vision du travaille à la longe.
La longe pour ma part est un compromis entre liberté et travaille : pas encissonné. Juste là, pour évoluer en "presque" liberté car le cavalier contrôle l'allure, le pli, l'engagement.