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J'ai envie de dire qu'elle était encore maître de ses choix, un psy ou un parent, ça n'aide pas dans ce cas, ça te fait dramatiser et souffrir encore plus....te plonge dans la peur et l'angoisse
Seul le temps et la bonne rencontre, le fait de comprendre, connaître et accepter son corps, éventuellement un dialogue avec une excellente amie.... |
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Maître de ses choix, c'est vite dit... Si jeune, (et d'ailleurs même plus tard si l'on est en situation de faiblesse pour X raisons) il est facile d'être influencée, un peu perdue, et de ne plus savoir où se situe la bonne décision.
Quant au psy... s'il dramatise et génère de l'angoisse, c'est qu'il est mauvais !
Dans une situation comme celle-ci, il est primordial de parler, de poser des mots sur le traumatisme et de l'évacuer.
Un psy aura plus de recul et de neutralité qu'un parent, ce qui ne peut être que bénéfique.
Rester avec un traumatisme, le ruminer seul dans son coin, ne peut qu'augmenter l'angoisse, ce qui influera considérablement sur la vie sexuelle future, et la vie tout court...
En tout cas, Denarval, je te souhaite de vivre de belles choses, qui effaceront je l'espère ce souvenir

Pas facile d'avoir vécu une telle situation... Malheureusement, il est facile pour des garçons de cet âge d'user de leur pouvoir de persuasion et/ou de leur force... heureusement, tous ne sont pas ainsi !
PS : quant à ta réputation, on s'en fiche, hein ! Ce qui compte c'est toi, c'est de dépasser cette horrible expérience. Ce que les autres peuvent penser... ben, c'est pas bien grave. C'est plutôt la réputation de ces garçons qui devrait en pâtir : ce qu'ils ont fait, du fait de leur âge et du tien, est non seulement franchement malsain, mais illégal.