Qui ne dit mot consent.. help.

Pour une fable, je te conseille d'utiliser des images simples. Tu peux utiliser des animaux, comme La Fontaine, ça ira très bien!
Pour faire simple: utiliser un animal qui parait méchant pour celui qui déclenche la guerre, et un animal un peu innocent pour celui qui ne réagit pas!

Et "Nous l'allons" ne veut rien dire, ce n'est pas français

Si si, c'est à tout fait français. Seulement, cette formule n'est plus usitée depuis longtemps. Ça n'est pas parce que c'est du vieux français que ça n'est pas correct.

demoisellevip a écrit le 09/04/2013 à 18h19: Pour une fable, je te conseille d'utiliser des images simples. Tu peux utiliser des animaux, comme La Fontaine, ça ira très bien! Pour faire simple: utiliser un animal qui parait méchant pour celui qui déclenche la guerre, et un animal un peu innocent pour celui qui ne réagit pas! Et "Nous l'allons" ne veut rien dire, ce n'est pas français

Oui c'est ce que j'avais pensé !
Si si c'est même dans une des fables de L.F :
" LA raison du plus fort est la meilleure
Nous l'allons montrer toute à l'heure " !

geldann a écrit le 09/04/2013 à 18h33: Ça n'est pas parce que c'est du vieux français que ça n'est pas correct.

Je n'ai jamais dit le contraire.
Au temps pour moi alors.

geldann a écrit le 09/04/2013 à 18h33: Si si, c'est à tout fait français. Seulement, cette formule n'est plus usitée depuis longtemps. Ça n'est pas parce que c'est du vieux français que ça n'est pas correct.

Voilà ( il fallait introduire un terme d'ancien francais ou soutenu dans la phrase d'intro )

Sinon vous n'avez pas d'exemple qui pourrait illustrer mon idée ?

Par exemple une guerre se déclenche le président est pour mais le sujet de cette guerre est sensible, personne ne la souhaite.. pour ne pas se mettre sa "population" à dos il ne dis rien et préfère dire "oui" par le silence .

La guerre, c'est peut-être un peu ambitieux comme sujet... dans le sens où les sujets politiques ne sont pas simples à traiter. Même si l'idée est intéressante. Peut-être trouver plutôt un fait de société. Par exemple, un enfant est maltraité par ses parents. Les voisins savent, mais n'interviennent pas. Bon, c'est un peu glauque, mais pour l'instant c'est tout ce qui m'est venu...

demoisellevip a écrit le 09/04/2013 à 18h37: Je n'ai jamais dit le contraire.

Non, je sais bien, mais je parlais en général.

geldann a écrit le 09/04/2013 à 18h44: La guerre, c'est peut-être un ambitieux comme sujet... dans le sens où les sujets politiques ne sont pas simples à traiter. Même si l'idée est intéressante. Peut-être trouver plutôt un fait de société. Par exemple, un enfant est maltraité par ses parents. Les voisins savent, mais n'interviennent pas. Bon, c'est un peu glauque, mais pour l'instant c'est tout ce qui m'est venu...

Ouaaaaaaaaaaah !!!!!!! MEEEEEEEEEEEEEERCI !
Le petit chaperon rouge parle bien de pédophilie

marionxjacinthe a écrit le 09/04/2013 à 18h46: Ouaaaaaaaaaaah !!!!!!! MEEEEEEEEEEEEEERCI ! Le petit chaperon rouge parle bien de pédophilie

Ah ça, les contes de fées ne sont pas toujours ce que l'on croit...

geldann a écrit le 09/04/2013 à 18h48: Ah ça, les contes de fées ne sont pas toujours ce que l'on croit...

Oui.. Je fais faire ca sur un ton humoristique par rapport à l'histoire parce que si le voisin ne dit rien parce qu'il est d'accord...

Et je fais placer à la fin pour l'enfant qui meurt : Qui ne dit MAUX qu'on SANG

Le voisin n'est pas forcément d'accord, mais sa lâcheté, ou son égoïsme, ou sa peur des représailles, ou ce que tu veux... le conduit à ne pas parler.

"Qui ne dit mot consent" ne signifie pas réellement que la personne qui se tait est d'accord. Cela signifie plutôt que, en se taisant et en ne manifestant pas son désaccord, la personne en question (prenons l'exemple de ce fameux voisin) se rend complice des faits. Même si ce voisin est indigné par les faits et qu'il les désapprouve, il est lui aussi fautif puisqu'il ne les a pas dénoncés. En quelque sorte, il y a consenti, puisqu'il n'a pas indiqué clairement qu'il était contre.

Voila ( ps: il n'y a pas la ponctuation) :
Qui ne dit mot consent
Nous allons le voir dans un court instant
Une louve mis au monde
un louveteau immonde
sa voisine
la lapine
voyait grandir
ca petit martyr
les années passant
le petit faiblissant
la lapine pleine d'inquiétude
ressentait mal ce prélude
son coeur se déchirant
elle partit en pleurant
passe les saisons
et la lapine eu raison
le refrain incessant de cette mère
laissa un gout amer
le sang de ce petit louveteau
coula à flot
les deux victimes désarmée
ne pouvant riposter
et ne trouvant aucun dénouement
qui ne dit mot qu'on sang.

C'est un brouillon

Bah franchement, chapeau..
Je suis en seconde aussi (en ayant redoublé) et j'aurai pas pu faire ca

C'est vraiment chouette!! bravo

marionxjacinthe a écrit le 09/04/2013 à 19h54: qui ne dit mot qu'on sang.

ba oui l'idée est bonne mais... ca veut rien dire...
ou "qu'on sent" eventuellement...