|  | oui , je comprend j'avais déjà prévue d'aller le voir après le collège même s'il pleut ou s'il neige que je soit malade ou pas j'irais tout les soirs. donc il doit être deux c'est obliger?! |
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Dire qu'on ne flanchera pas, c'est toujours facile avant d'être confronté à la réalité du cheval chez soi...
Franchement, j'ai plus de 40 ans, cela fait un moment que je cotoie des chevaux et je n'ai pas peur d'avouer que souvent, en hiver, aller s'occuper des chevaux, cela fait grave chier... Et que je suis bien contente d'avoir le mari que j'ai... Quand tu sors du taf, qu'il fait nuit noire et moins de zéro dehors, se changer pour aller nourrir et éventuellement remplir un abreuvoir, c'est carrément l'enfer!
Sinon, effectivement, le bonheur du cheval passe par une vie sociale avec au moins un congénère.