|  | Je comprends pas comment on peut risquer de faire souffrir un cheval juste pour passer quelques barres |
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Idem !
J'ai aussi une jument naviculaire, qui a été arrêtée au mois d'août dernier. Cet hiver, les sorties au paddock étaient limitées pendant quelques semaines vues les conditions climatiques, et du coup j'allais me balader avec elle. Au début, à pied. Et puis à cheval ensuite.
Et honnêtement, même si j'ai adoré pouvoir regaloper avec elle, j'ai toujours eu de gros regrets après chaque séance... Elle mérite sa retraite !
Si en août dernier, j'ai pris la décision de l'arrêter, c'est parce qu'elle souffrait. Et même si j'en ai pleuré pendant des jours parce que notre histoire hippique était finie, je n'ai pas à la travailler pour la faire souffrir encore plus !!
Aujourd'hui, elle est au pré, elle ne boite absolument plus. Ca serait super tentant de la remonter, mais non, naviculaire est (pour moi) synonyme d'arrêt de carrière.
Et vouloir cacher la misère en mettant des fers spéciaux, en infiltrant, en névrectomisant, etc, je trouve ça juste ahurissant pour sauter quelques barres...