monfrisonlove pour être fille de parents qui boivent à tous les repas ne qui ne sont pas capable de faire un repas avec de l'eau (pour dire le "goûter" se fait à la bière), je comprends tout à fait la situation de ton chéri. (et ils sont persuadés que non ils vont bien et gèrent très bien)
Déjà c'est un bon point qu'elle se rende compte que c'est pas bien... Mais la privée de voir crevette ne la fera pas bouger, du moins pas encore, peut-être qu'une fois que crevette sera là, ce serait un "chantage" intéressant.
après rien n’empêche de lui expliquer que la voir ok, mais en votre présence, dans vos bras uniquement (si cela peut te/vous rassurer) mais que non elle ne la gardera pas!
Avec cette addiction (comme toute autre

), il faut bien poser les bases bien expliquer les raisons, les motivations et le fond de votre pensée!
Après elle n'est pas dans le déni donc vous avez un champ d'action non négligeable pour l'aider.
Pour le début pas forcément besoin d'aide médical (du moins toujours pour son alcoolisme) mais des personnes présentes avec elle, pour elle lui seront déjà d'une grande aide. le pas "médical" comme il a été pr onze (il me semble) doit venir d'elle.
Ensuite il es tout à fait possible de contacter des aides extérieures en expliquant la situation, que vous avez peur car elle est malheureuse, qu'elle souhaiterai en finir avec la vie, etc... Mais tant qu'elle n'est pas passée à l'acte... ben des fois les services "sociaux" ne se bougent pas! et puis de tirer la sonnette d'alarme, vous, vous obtiendrez des conseils aussi!
Il faut son accord, ou un voire plusieurs faits graves (TS) , pour qu'elle rentre dans un institut de soins rien ne vous empêche d'en parler à votre médecin traitant.
5encore une fois, je vais tirer la couverture, mon père fait du cholestérol, de l'hypertension et à un début de diabète... Il ne fait absolument aucuns efforts alimentaires, boissons pour aller mieux; Pire il se gave de cachets, il en prends la dose maximale et ses analyses explosent toujours le plafond, bref. Comme il ment à notre médecin traitant (ben oui dommage nous avons le même) c'est moi qui est avouer la vérité sur ses habitudes alimentaires et bien cela lui a aussi permis d'adapter son traitement. Car comme il n'était pas au courant, il aurait pu le tuer avec un des médicament non compatible avec l'alcool

)
tout ça pour dire que malgré tout, sans forcément tout dévoiler, si le médecin n'est pas au courant.... (dois-je finir?)
Après qu'elle est été "découverte", qu'elle se soit ouverte et donner le fond de sa pensée, qu'elle soit consciente de son "problème" et que c'est mal, accompagnés par vos présences, elle remontera peut-être la pente.
Et puis encore une fois, crevette va aussi lui donner le coup de pied au fesses qui lui manque