saphirjetaime
Je n'ai pas été hospitalisée, mais le 26 janvier, j'ai été arrêtée, car j'avais aussi des contractions, le col ouvert à 2, et la tête du bébé très basse (ma dpa était pour le 24 avril).
Pendant plusieurs jours, je suis rentrée du boulot avec des douleurs terribles au ventre, mais je me disais que c'était normal durant la grossesse. Mon mari a fini par me traîner chez la sage-femme, qui m'a arrêtée. (J'ai un peu plus d'une heure de route pour aller bosser)
J'ai d'abord eu un arrêt de 15 jours, avec interdiction de marcher, bouger, rouler. Mon dieu que le temps a été long à rester allongée !!
Au fur et à mesure de mon arrêt, les contractions se sont arrêtées. Du moins, je ne ressentais plus ces douleurs atroces.
J'ai quand même été prolongée, car évidemment, mon col ne s'était pas refermé et la tête du bébé était toujours aussi basse.
J'ai marché le moins possible (mon pauvre chien a pris un sacré poids !). Je ne prenais quasiment plus la voiture.
Mais au mois de mars par contre, "impossible" entre guillemets de m'arrêter, car j'avais 5 poulinages et je ne voulais pas laisser les juments seules. J'ai donc pas mal forcé, entre les poulinages, les boxes à curer, les poulains à soigner, les juments à ramener à la saillie...
Et bien, ça n'a pas empiré la situation. Je n'avais pas de douleurs, comme si psychologiquement mon corps savait qu'il ne fallait pas que j'accouche avant la fin des poulinages.
A chaque visite, le gynéco et la sage femme me disaient que jamais je n'irais jusqu'au terme, et résultat, j'ai accouché le 17 avril, donc quasiment au bout !
Bon courage, car ce n'est pas drôle d'être allongée H24 ! (Et encore, je n'ai pas connu ça a l'hôpital

)