|  | Oui mais vous étés marrante comment y travailler le veto pouvait pas l approcher avec la seringue je suis sur qu'il l aurais gratouiller comme j ai fait il aurais pas eu de problème mais bon il m a laisser faire je vais pas lui dire demerder vous...
Après il ce laisse faire par ma mère et mon coach mais les piqure c est plus facile avec moi et encore la dernière fois j ai mis 2 h impossible de lui la faire
Il a ses jours aussi mais je vois pas comment le forcer a se laisser approcher par quelqu un d autre
Par exemple il a entièrement confiance au Marechal qui la suivis depuis tout petit mais depuis sa çastration avec différentes piqures qui ne lui ont pas plus et shooter il se sentait faible maintenant le veto est plus son amis...
Mais si vous avez des exercices a me.proposer pour l approche avec le veto je suis preneuse
Après il a de la complicité avec tout le monde ma mère et mon copain mais vu que c est moi qui lui effectue les soins il est plus proche et surtout en confiance avec moi |
|
|
Ma pouliche avait tendance à être rancunière aussi, c'est à dire qu'elle allait se laisser faire une fois, et que comme c'était pas agréable, ensuite elle devenait inapprochable.
C'était franchement usant et flippant car impossible de la soigner.
Elle s'est vite rendue compte que lui mettre le licol = désagréables choses.
Je suis venue plusieurs fois lui mettre et enlever le licol juste en lui donnant une carotte ou en lui faisant des papouilles, et chaque soin que je lui fait commencent et finissent par quelque chose d'agréable pour elle.
Et j'ai demandé à la gardienne de s'en occuper de temps en temps, pour qu'elle voit d'autres mains que les miennes.
Maintenant, je suis bien contente de pouvoir l'attraper pour soigner son abcès, sinon je ne sais pas ce que ça donnerait...
Et c'est le même principe pour le tiens, lui montrer qu'une intervention véto c'est pas cool, mais si ça commence et finit par une carotte, le mauvais souvenir est estompé.
Je ne sais pas si tu l'as chez toi ou autre, mais demander à des potes à toi ou aux gérants de l'écurie de lui prendre les pieds, de lui mettre le licol, enfin des trucs banals pour qu'il se laisse manipuler.