| sarah81 a écrit le 06/09/2013 à 17h50: |
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Ok attention au (gros) pavé !
Nous somme le 21 decembre 2012 (ben le jour de la fin du monde comme par hasard

) et c'est le dernier jour avant les vacances. Donc je vais en cours normal et on commence par des maths et du francais. Jusqu'a tout est normal. Puis la pause. Dans la cours, le principal adjoint, le principal la CPE et tout le tralala passe et repasse dans la cour. Bizarre

. Donc on se dit tout va bien c'est rien et la une fille vient nous dire:
- Vous savez ce qui se passe ?
- Heu non, tu sais ?
- Nonc mais a ce qu'il parré un fille du college a vu un homme a travers les grille qui surveiller le college.
Moi je commence a stressé a cause du stress ambiant dans le college mais je crois pas trop la fille.
On va en anglais, la prof nous dit qu'il se passe quelque chose mais qu'il ne savent pas trop quoi. Et de plus ce jour la elle decide de nous passer "Coraline" en anglais sous titres francais. Le dessin animé un peu flipant. Donc on regarde a moitié le film et puis sa sonne. On sort et on va a l'autre cour. Quand on sort de ce dernier, la police est devant le collega avec les gilet parbal. Et certain parents viennent chercher leur enfants. Ont se dit y'a quelque chose c'est bizarre. Donc on mange et on attent le prochain cour. On demande a un surveillant qui passe. Il nous dit qu'un homme armé est au alentour du collee et que c'est pour sa que la police est la.
On stresse comme des malades.
On fait 2h de cours et c'est de nouveau la pause. On n'en sait pas plus.
1 heures passe et on sort enfin. A la sortie, des voitures et fourgonnete de la police sont la, il sont en gilet et on les armes. Ils ont l'air de surveiller. Je me depeche de monter dans mon bus.
Quand je rentre chez moi, j'apprend qu'il semblerait qu'un homme armé avait decidé de tuer des enfants car c'etait "La fin du monde". Mais on n'a jamais su si c'etait vrai ou non.
N'empeche que pendant le reste de l'anné, il y avait la police 1 fois par mois qui venait controler les alentour du college.
Je vous promez que je ne dit pas des betises.