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Je comprends, moi aussi je suis blasée du club mais je reste sur ça car c'est tout ce qu'il me reste. Je n'ai pas le niveau et les moyens nécessaires pour être proprio et je ne me sens pas prête pour une demi-pension, même si j'aimerais essayer un jour, mais j'ai vraiment trop peur des responsabilités et de casser le cheval...
Donc je préfère m'abstenir et monter de temps en temps en club quand ça me fait plaisir (et que j'en ai les moyens !), essayer d'autres disciplines pour espérer me décoincer un peu et raviver mon envie de monter. Mais le cheval, c'est certain que ce ne sera pas pour aujourd'hui, ni demain, ni dans 50 ans. |
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Oui, c'est claire que ça dépend aussi beaucoup de ce qu'on est capable de s'offrir. Si je n'avais pas eu l'occasion ni les moyens de m'offrir un loulou (avec l'aide de mon chéri, soit dit en passant), j'aurais fais du club aussi.
Mais la, j'ai la chance de passer à autre chose, alors je fonce.
Depuis toujours, quand je m'imagine proprio (et ça fait bien longtemps!), j'ai le vertige.. J'ai l'impression que c'est un truc énorme, que seule les grandes personnes riches et qui ne dépendent de personne sont capable d'assumer. C'est pas tout à fait faux. Mais la débrouille fais tout de même pas mal de miracles. Le tout, c'est je pense d'avoir des bases solides concernant l'animal en lui même, sa nature, son fonctionnement, et de démarrer avec des personnes du métier.
Je suis une experte de l'apprentissage par l'expérience (malgré moi bien souvent). Mais ça reste le plus efficace, alors je me lance.
Mais en club, l'avantage, c'est que quoi qu'il arrive, que ce soit financier ou personnel, tu as la possibilité de tout arrêter sans responsabilité aucune, et c'est tout de même un sacré confort...