Ah oui, hier, tellement occupée à venir déverser mon agacement envers l'attitude de mon mari, j'ai oublié un autre aspect de ma journée "bof".
Mardi soir, inspirée par la ratatouille de Laurie quelques jours auparavant, je cuisine amoureusement de la ratatouille dans l'objectif de la congeler en prévision de la rentrée.
Je suis cuisine habituellement frais du jour, je ne suis pas adepte des plats congelés à l'avance, mais je me dis "pourquoi pas, ça me soulagera certainement d'avoir quelques trucs sous le coude dans le rush de la rentrée". Donc je passe un temps certain à préparer une grande quantité de ratatouille. 100% bio, ça sentait tellement bon dans la cuisine.
Une fois prête, je la laisse refroidir sur le plan de travail car vraiment trop bouillante pour la mettre tout de suite au frais et… je l'oublie là! J'ai eu un flash le lendemain matin (hier donc) au réveil!
Les booooouuuuules! Devoir tout envoyer au compost, j'étais dépitée.
Le travail investi + la nourriture et l'argent gaspillés… J'étais vraiment écoeurée.
Alors OK, ça peut arriver une fois. Mais le pire, c'est qu'il m'était arrivé la même chose une semaine avant (faut que j'arrête de cuisiner le mardi soir je crois, ça ne me vaut rien de bon!).
La semaine avant, Romain voulait absolument des lasagnes. Je me dis que quitte à allumer le four par ces chaleurs-là, je vais en faire plus et en congeler des portions. Sauf qu'on a mangé le plat préparé pour ce soir-là et… j'ai oublié l'autre, destiné aux portions à congeler, dans le four!
Pareil, je n'ai réalisé mon oubli que le lendemain. Bon pour jeter!
A croire que je suis complètement à côté de mes pompes en ce moment!
Comme on dit "jamais deux sans trois", je ne sais pas si je vais m'aventurer dans une nouvelle tentative de préparation similaire.