Le post des supers mamans de ca...

louisedek Il est quand même vachement bien réussi! Sur les trois, c'est le plus mignon bébé purée! Je suis fan! Et cette tenue!

mimosin Merci pour la référence de livre! Ca me donne très envie de le lire. Avoir des tips pour gérer les petites difficultés quotidiennes ça serait bien utile. Je trouve très dur de trouver le juste milieu entre expliquer, détourner l'attention et à un moment donné, quand rien ne marche, dire stop c'est comme ça.

Genre en ce moment avec la conjonctivite, les goutes dans les yeux c'est un sketch. Elle se met dans des états de fou. Alors j'explique, beaucoup, puis j'essaye de la concentrer sur autre chose le temps de faire, et à la fin je l'enroule dans une serviette et yallah hein. Mais ça me culpabilise parce que c'est brutal.

ncquoum Je compatis pour la difficulté de dialoguer sur l'éducation.

Christophe a des réactions parfois très connes. Je lui dis souvent qu'il a l'âge mental de Jeanne dans ses réactions. Un truc de vieux mal dominant qui se raisonne pas et qui est dans le "c'est moi le chef". Limite je pense qu'il pourrait faire comme les orang outang et se taper sur le torse en même temps. Il est incapable de se décaler, de prendre du recul face à un comportement de Jeanne, de se mettre à sa place, de comprendre qu'elle ne sait pas gérer ses émotions et que c'est normal et qu'il faut l'aider.

Genre hier elle était très triste de partir du château où on a déjeuné et fait une balade. Donc elle a pleuré et s'est débattue pour monter dans la voiture. Ca l'a rendu ouf. Et j'essaye de lui expliquer hein, à Christophe. Genre nous aussi on est triste que la journée se termine, et donc elle aussi, mais nous on a 40 ans et elle 2 ans et demi et elle NE SAIT PAS physiologiquement parlant gérer ses émotions, c'est une bourrasque de tristesse et de frustration qui l'envahit. Donc oui c'est chiant, je suis d'accord, franchement accrocher une môme hurlante sur son siège alors que toi même t'es un peu nostalgique de la journée qui se termine et un peu fatiguée de cette même journée, bah c'est pas cool. Mais on est grand, on gère et on la rassure, ça va passer, on lui propose des trucs sympas à faire à la maison pour que la fin de la journée ne soit pas trop brutal.

Bah non Christophe il est à l'avant comme un gros patriarche des années 50, en mode "t'es pas gentille Jeanne, on a fait toute cette journée pour toi et voilà comment t'es". Non mais n'importe quoi. Elle ne t'est redevable de rien, d'une, et de deux aucun rapport avec la choucroute. Et il l'imite en pleurant et ça je trouve ça super nase, je déteste, c'est l'humiliation à mon sens, et ça me heurte grave.

Après je râle mais il arrive parfois à entendre. Et finalement il est plus adapté quand je ne suis pas là. C'est comme si quand j'étais là il se mettait dans ce rôle pourri alors que quand je ne suis pas là il est vraiment plus doux avec elle. Mes parents qui passent du temps avec Jeanne et son père quand ils sont en vacances ont vraiment noté la différence.

Toujours est il que j'essaye de lâcher prise quand j'estime que ça n'est pas grave. Et j'essaye de ne pas passer derrière non plus pour qu'il n'y ait pas de voix discordante entre nous face à Jeanne. Mais clairement on a une vision totalement opposée de l'éducation et finalement ça n'était pas du tout anticipable parce que ma vision de l'éducation s'est créée avec Jeanne.


Sinon ici week-end hyper sympas!

Samedi on était au calme. Jeanne était très fatiguée avec un couché à 23h15, comme je vous le racontais. Donc j'ai décidé de mettre un peu plus de règles au couché parce que c'était un peu la foire. On a eu une petite discussion et on a convenu toutes les deux qu'elle pouvait "s'occuper" (expression favorite de Jeanne) une fois mise au lit mais uniquement dans son lit. J'ai aussi avancé l'heure du dodo à 20h. Résultat samedi et dimanche, couché 19h55, deux livres lus, et à 20h10 extinction des feux! Nickel chrome, deux belles nuits de sommeil, un bébé réveillé vers 9h15 de très bonne humeur.

Dimanche mon mari avait réservé des massages pour mon anniversaire dans un château à 5 minutes de la maison. Pied absolu. 1h30 de massage de tout le corps. Un spritz à 11h. Et après, un déjeuner dans un salon du château avec mes parents et Jeanne. Vraiment hyper sympas. Jeanne était enchantée, elle a été adorable, j'avais prévu quelques jouets. Franchement elle a été super facile. On a fait une grande balade après, elle a fait de la balançoire, elle a couru partout. Le tout sous un magnifique soleil.

Le soir on était tous bien fatigué! Mais quel plaisir ce redoux et ce soleil! Mais je te rejoins mesnil-elevage on sent que c'est encore l'hiver parce qu'il y a vite une petite brise bien bien froide. Vers 16h30 on commençait à avoir bien froid!

lanamour Contente de voir que Jeanne va mieux et que vous avez pu profiter d'un bon weekend!!

Je suis d'accord avec toi, trouver l'équilibre entre expliquer/détourner/imposer est périlleux! Encore plus quand notre patience est en dessous de 0 car on a enchainé les nuits cracra et des journées de boulot de fou, cf ce weekend où je reconnais ne pas forcement avoir été tres diplomate avec Abel qui nous a poussé à bout et alors qu'on était hs complet (où est passé mon adorable bébé de la semaine précédente??? Je le soupçonne d'exprimer qu'il aurait bien voulu rester encore avec maman à faire plein de choses plutôt que je retourne travailler et que je ne le vois que 30 min le soir). Autant parfois j'y arrive bien, autant parfois nulle à chier.

Néanmoins après un samedi catastrophique, hier a été plus doux avec un moment câlin sur le canapé à regarder les photos, de la pate à modeler et une belle balade tous les 3 au soleil.

Et ce matin avant 8heures j'ai eu droit à un pipi sur maman (1er changement de tenue), une compote jettée à la tete de maman(2eme changement de tenue), et fermer la porte de la chambre sur le doigt de maman (RIP mon index). C'est officiel je crois qu'on est rentrés dans la periode d'opposition lol.

ncquoum
Je comprends, ici aussi ça n'a pas été simple. D'autant qu'il a un grand fils et forcément, ça le met face à ses actions / choix précédents (typiquement, le choix du siège auto pour qu'elle reste dos route jusqu'à 4/5 ans !).
Et rien ne pouvait prédire ce sujet discordant car ça s'est révélé à moi durant la grossesse et à la naissance. J'étais presque plus "dure" que lui avant

Et comme toi, je me renseigne énormément. Il me l'a beaucoup reproché d'ailleurs, étant plutôt en mode "on réfléchit, on adapte ou on se renseigne en cas de problème". Et puis je crois qu'il avait un blocage psychologique sur le terme "éducation bienveillante" (pourquoi est-ce qu'on suivrait ce type d'éducation et pas une autre ?).

J'ai essayé de toujours présenter ça dans l'intérêt de Léa et sans lui reprocher quoique ce soit (pas simple, et ça n'a pas toujours été fait comme ça selon ma fatigue / humeur). A la manière de Fanny Vella, j'ai essayé de lui dire "et si tu étais à sa place, blah blah blah".

Est-ce que le temps a fait son œuvre ? En tout cas, ça va beaucoup beaucoup mieux. Honnêtement, j'ai l'impression qu'on est totalement alignés à présent. On n'est pas parfaits bien sûr. Mais ça le fait.
Dernier exemple du week-end : j'étais absente durant la sieste de Léa. Et comme souvent au réveil, elle me réclame pour téter. Il lui fait des câlins etc, mais toujours ronchon et impossible de la poser. Il a fini par lui faire un gros câlin enveloppant et elle s'est relâchée. Après, elle était de super humeur. J'ai trouvé ça super chouette.

Bref, ne perds pas espoir.

Il est vraiment dans les VEO ou ce sont des petites choses qui t'embêtent ?

lanamour je compatis parce que gérer ton mari en plus de la fatigue de Jeanne et de la tienne ça doit demander une dose de self control terrible !

Ce que je reproche à mon mec est moins compliqué que ce tu décris je pense, il a déjà plus de patience que moi en vrai, le fond du problème c'est qu'il est archi susceptible et moi archi tatillonne

elo7 ça me met un peu de beaume au cœur de voir que vous avez évolué dans le bon sens, réussi à vous accorder. Ça ne t'a pas trop coûté ?

Mon mec n'est vraiment pas dans les VEO, en tout cas pas en terme de "punition" ou analyse du bébé. Il est plutôt très à l'écoute de ses besoins avant tout. C'est plus des mini choses à base de "il" en parlant de lui même, de "c'est rien" quand Owen se fait mal, etc.
Comme je disais il y a une grande part de je suis trop chiante. Mais ça me bouffe la vie je dois avouer

lanamour excuse-moi mais j'ai ri avec ton descriptif du "mâle orang-outang".



ncquoum mon mari ne lit pas non plus tout ce que je lis au sujet de l'éducation des enfants. Ca ne m'embête pas plus que ça (même si je trouverais chic qu'il lise aussi sur le sujet de temps en temps) parce qu'on arrive à parler de nos désaccords sans trop de difficultés. On n'arrive pas toujours à accorder nos violons in fine mais je ne ressens pas (plus?) le besoin d'obtenir systématiquement un alignement de son mode opératoire sur le mien (je ne prétends pas détenir LA bonne manière, je suis consciente de ne pas toujours avoir la posture ou la réaction adéquate non plus, parfois je doute aussi…). Ceci dit, comme pour toi, il n'y a rien qui me scandalise réellement et rarement des choses qui me heurtent vraiment; si c'était le cas, ce serait sûrement plus difficile à gérer… Dans un contexte comme celui-là, "lâcher un peu de mou" (sur les sujets pour lesquels l'enjeu est moindre) devrait permettre de communiquer sur les différends sans que l'autre ne se sente systématiquement "attaqué" à chaque occasion.

Je trouve que tu as déjà reçu de chouettes pistes / vecteurs / supports à explorer en termes de communication aussi. Je n'ai rien d'autre qui me vienne à l'esprit là tout de suite.
Je t'envoie plein de courage parce qu'on te sent un peu "abattue" par la situation.



ilai ouiiiii. Elle me disait à quel point je lui avais fait plaisir dans telle et telle situation, etc. Trop chou!

ncquoum
C'est un peu la même situation que la nôtre alors. C'était également ce type de "petites" choses. Et comme toi, je suis ultra pointilleuse, ahah.
J'ai fini aussi par lâcher du mou. D'autant qu'on est d'accord sur le fond finalement.

Ca n'a pas été simple pour tous les deux. Je finissais par ne plus oser communiquer à ce sujet (car la réponse était invariablement "tu l'as lu dans tes livres, pourquoi ce serait mieux de suivre ça et pas une autre "méthode"" -> cqfd, je n'utilise jamais mon cerveau, trop fatiguant !). Et lui se braquait direct. Résultat, on était tous les deux braqués (chouette).
On a eu une grosse discussion il y a 2/3 mois. Et depuis, ça roule (je touche du bois !).

Je ne sais pas ce qui a été le déclencheur d'un côté et de l'autre. Peut-être simplement le temps.

Tu sais ce qui le bloque dans cette approche ?
Tu as réussi à lui exprimer ce que tu ressentais ?

mesnil-elevage Tu as bien cerné la situation, ça me pèse plus que de raison, et lâcher du mou n'est pas dans ma nature ahah...

Je ne suis pas contre le fait qu'il ne lise pas, après tout chacun ses intérêts, ce qui me pèse pas mal c'est le décalage que ça peut créer et surtout la fatigue que ça génère, la charge (auto-charge peut-être) de s'informer sur l'éducation de notre fils m'incombe.

elo7 tu décris bien ce qu'il se passe chez nous en ce moment aha. Ce "tu l'as lu donc tu l'appliques" sur fond de reproche...
En fait lui est bien plus instinctif que moi, et considère que s'il on fait de notre mieux c'est suffisant.
Moi je considère que "de notre mieux" conditionné par les connaissances transmises par notre propre éducation et la société c'est pas suffisant, voire archaïque.
Du coup on en est au même résultat que vous il y a quelques mois, on est braqué de chez braqué

Je suis la seule à pouvoir solutionner le truc, il faut que je lâche du lest... C'est dur parce que souvent ça sort tout seul, et je peux être parfois très acerbe quand je suis énervée


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Je viens d'ailleurs de recevoir un livre dont le sommaire me fait très envie :
"tu seras un homme féministe mon fils. Manuel d'éducation antisexiste pour des garçons libres et heureux"
Ça va me permettre de déconstruire un peu mes reflexes partiarcaux. J'espère juste qu'il est pas trop trop "genré"

ncquoum et lanamour

Je pense que le lâcher prise viendra avec le temps, d'un côté comme de l'autre ce sera de toutes façons indispensable pour l'équilibre de votre famille.

Mon homme et moi étions sur 2 rails différents, il a 2 enfants de son côté et avec son ex femme c'était de la VEO traditionnelle (fessées, isolement et punitions).

De mon côté mon fils avait 18 mois environ quand on s'est connus et j'étais complètement à l'opposé.

Ça nous a valu bcp de discussions plus ou moins houleuses et d'indignations de part et d'autre.
D'incompréhensions et d'énervement vis à vis de la méthode de chacun.

Et si je ne peux pas dire que nous soyons alignés aujourd'hui, on a réussi à plus ou moins s'accorder, poser des limites.

Les fessées sont finies depuis un moment, même si parfois il dérape un peu c'est franchement très rares et surtout moins " violent " (difficile de s'accorder sur la définition de ce mot car la culpabilité arrive très vite).

Et si aujourd'hui je suis enceinte de notre enfant commun, c'est avec l'assurance qu'il ne lèvera pas la main dessus.
On est ok là dessus et je veillerai grave au grain.

Il y a plein de choses sur lesquelles il a fallu qu'on se mette ok pour la petite à naître et c'est pas évident.
Mon homme est souvent en mode " si on t'écoute je fais tout mal et tout ce que je faisait c'était mal et je dois tout changer "
Mode calimero ON, clairement.

Donc trouver les mots pour expliquer que non, c'est pas dans ce sens là qu'il faut penser mais plutôt que comme tout dans la vie, on apprend et on evolue.
On est quand même doués d'intelligence nous permettant ce genre de chose techniquement

ncquoum Je trouve que se renseigner c'est bien, franchement. Je suis la première à aimer anticiper et m'instruire sur des points qui peuvent me faire défaut. Mais tous les sujets ne s'y prêtent pas. Si la fiscalité peut difficilement se gérer à l'instinct, la parentalité peut, et heureusement, très bien fonctionner sans avoir appris par coeur 12 livres et fait des fiches bristols dessus.

Je comprends donc ton mari qui doit aussi avoir l'impression qu'on le contraint à sur-intellectualiser des sujets qu'il aimerait instinctifs.

Et avoir une petit souris sur l'épaule qui le reprend souvent, et sur des trucs assez anodins de ce que tu décris, parce que dans le bouquin de machin il est qu'il faut dire ça, ça peut rendre fou. Et il peut avoir l'impression qu'on enlève toute spontanéité et instinct dans la prise en charge quotidienne de son enfant.

Et honnêtement, je pense que je réagirais comme lui alors même que c'est moi qui lit ces livres à la maison! lol! Mais j'avoue que je suis très susceptible sur ce qui touche ma fille. La moindre réflexion me gonfle, quelque soit la personne qui la fait d'ailleurs. Et c'est hyper destabilisant en plus d'avoir le sentiment d'être épiée et qu'au moindre faux pas (si on peut appeler ça au faux pas) je vais entendre "c'est comme ça qu'il faut faire" ou "tu devrais" ou "tu pourrais".

Je pense que c'est comme tout, ca depend comment c'est presenté et ammené. Sans le vouloir on peut facilement etre dans le reproche constant, ou l'autre parent se sent sans cesse contesté et remis en question et peut avoir l'impression de "perdre sa place" et d'etre infantilisé. Bien sur qu'on apprend et evolue tout au long de nos vies, et qu'apres remise en question on peut changer et c'est merveilleux, mais encore une fois selon comment les choses sont ammenés on peut vite en avoir ras le bol de s'entendre dire que ca ne va jamais comment on fait. Ce n'est pas faire le Calimero je trouve. C'est un ressenti legitime.

Je ne sais plus laquelle disait, mets toi a la place de ton enfant, ca te ferait quoi à toi? Et bien la c'est pareil, mettez vous à la place de l'autre parent, que ressentiriez vous si vous aviez l'impression d'être sans cesse contesté.

lanamour je confirme pour la fiscalité mdrrr

loraline16 Je partage ton opinion, c'est très infantilisant.

Alors évidemment si c'est sur des postures parfaitement inadaptées c'est difficile de ne pas réagir. D'ailleurs perso je réagis quand j'estime que mon mec déconne sur des trucs qui me sont insupportables. Ce que je décris précédemment. Mais je me retiens le plus souvent quand je vois bien qu'il s'agit de questions anodines. Je ronge mon freins parce que je ne peux pas passer mon temps à intervenir dans leur relation.

A titre d'exemple, au moment du bain hier j'ai laissé Jeanne 2 secondes toute seule dans la baignoire pendant que je me déshabillais dans la chambre (distance 3 mètres, hauteur du bain 10cm). J'avoue que je suis assez à la cool la dessus. Il n'est jamais là d'habitude le soir donc on a notre petit rituel bien rodé. Bon bah hier il était là et il a entendu que j'étais dans la chambre pendant qu'elle était dans le bain (Cf. plancher qui craque). Et c'est son sujet de panique l'eau (comme à peu prés tous les accidents domestiques). Il s'est précipité en bas des escaliers en gueulant.

Franchement ça m'a exaspérée. Je me suis sentie remise en question, critiquée, dans ma posture parentale. Genre limite prise en faute. Franchement ça m'a exaspérée.

manana je comprends ton désarroi au début et j'admire ta patience, de tels écarts de modes de fonctionnement m'auraient refroidie je crois !

lanamour tu pointes des choses très justes et j'en ai conscience, ce qui rend la situation encore plus difficile.
Du côté de mon conjoint il y a : susceptibilité, opposition ferme à approcher un livre, une BD (je lui ai demandé hier) ou tout ce qui dépasse 5 lignes. Mais aussi profonde envie de bien faire pour son fils, patience et résilience par exemple.

De mon côté : incapacité à lâcher prise et à faire à l'intinct, j'ai besoin d'être """"parfaite"""" pour mon fils (par exemple j'intellectualise bien moins ma pratique équestre, je suis très au feeling), la petite souris qui tombe sur le coin du nez quand c'est pas comme je l'entends et ultra grande susceptibilité également, enfin disons qu'il faut m'y mettre des arguments très solides.

Bref, ça me permet de prendre un peu de recul même si j'ai conscience de ces défauts, j'ai du mal à aller contre

loraline16

Disons que certains sujets on n'a pas le choix que d'en parler.

Un sujet de " désaccord " que je prends en exemple c'est le siège de bain.
Il a exprimé le désir d'en avoir un car il a trouvé ça super pratique avec ses enfants.
J'ai dit ok on en prends un, même si perso je ne m'en servirai pas.
Quand il m'a demandé pourquoi et que je lui ai expliqué mon principe de bain libre, de motricité et que j'avais l'impression que c'était inconfortable, c'est aussi la qu'il m'a dit avoir l'impression que tout ce qu'il faisait était mal et que je démontais toutes ses idées et façons de faire.

Étant donné que je n'ai pas refusé d'en acheter hein, je pense pouvoir dire que oui c'est un peut faire son calimero car je n'ai rien dit de tel!

Et j'ai eu la même réaction quand il a parlé du lait nettoyant pour les fesses, quand il a parlé de poussette, ce genre de chose.

On a acheté du lait et on a acheté une poussette. J'ai exprimé mes raisons pour lesquelles je ne trouvais pas cela utile mais que si lui en a besoin on en prendrait.

Donc je ne suis pas dans la contestation. C'est juste que moi je n'ai pas besoin de ça et quand je lui explique il se sent décrédibilisé ou je ne sais quoi.

Et je considère que c'est sa responsabilité de le prendre comme une attaque ou quoi, car je n'ai pas dit " ah non surtout pas, inconscient que tu es! " ni que c'était nul ou autre et je n'ai pas refusé l'achat.

ncquoum c'est peut être bateau ce que je vais dire mais ton homme serait il d'accord pour du format vidéo ou podcast ? L'autre jour le mien m'a envoyé un live YouTube qui traitait de la parentalité ! J'ai été surprise car effectivement il est pas contre l'info mais si elle est dans un livre c'est moi qui dois lui transmettre et j'avoue que j'aime bien, ça nous permet d'en discuter (et en règle générale ça me permet de sélectionner les infos que je veux qu'il ait )