quarlis a écrit le 30/10/2013 à 13h21: |
| | Contrairement aux autres membres du forum je vais rester positive et je crois que chacun d'entre eux devrait faire la même chose.
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Quarlis, j'aimerai connaître ton expérience du haut niveau et du monde professionnel du cheval...
Nan, je te demande cela parce que cela me semble tout droit sorti d'un roman à l'eau de rose, tes propos.
C'est bien gentil, plein d'espoir avec des papillons partout, mais très loin de la réalité.
Avertir des dangers, c'est peut-être négatif pour toi. Mais, un scoop qui pourrait t'intéresser aussi, histoire de grandir un peu : gagner sa croûte et bouffer en étant cavalier professionnel, c'est sacrément difficile. Ne t'en déplaise dans ton monde idéalisé.
Je vis entourée de gens qui sortent au plus haut niveau : ils ont soit un job à côté, soit sont issus de milieux qui leur a permis d'avoir un piquet de chevaux pour se faire de sacrées armes dans le métier.
Des jeunes, qui sont cavaliers d'entraînement pour de grosses écuries d'endurance, j'en vois quelques uns aussi... (et contrairement à tes affirmations, faut un peu plus que du feeling... ça, cela m'a juste fait hurler de rire : c'est dénier complètement la dureté de ce métier et l'implication, Y COMPRIS physique, qui est nécessaire. Tu peux aller te brosser avec ton feeling : cela ne suffira pas pour bosser dans le bon sens 5 à 8 chevaux par jour...)