Je connais plusieurs trotteur qui l'ont eu, certains ça va nickel, pour d'autres, ça va beaucoup moins bien: refus de donner les membres, boiterie intermittente, crainte des soins etc. Mais en règle général, le problème est psychologique.
Pour au-dessus:
|  | Ancienne méthode : Les feux
Feux
Inflammation volontaire de tendons dont l'efficacité n'est pas prouvée. Ce traitement est très douloureux pour le cheval.
Feux liquides ou vésicatoires
Pâte orangeâtre que l'on applique directement sur le membre du cheval et dont les propriétés brulent la peau. Cet effet favorise malheureusement l'adhérence du péritendon et retarde la guérison.
Feux à pointe ou en raies
Cautérisation externe provoquant une hyper-inflammation pour favoriser la vascularisation. Mais elle provoque du tissu cicatriciel cutané et sous-cutané et ne semblent avoir aucun effet sur les tendons. |
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Perso', je suis contre, c'est une vraie souffrance pour le cheval et au-final, on est sur de rien. On épaissit les tissus donc on perd de l’élasticité, on tourne en rond et au final, le cheval doit rester au pré un sacrer temps.
Autant le mettre au pré pendant un an tout de suite et lui épargner ça.