Pour ma part, je ne montais plus à cheval à l'époque où je suis tombée enceinte, mais je faisais de la course à pied en compétition sur de longues distances, ce qui n’est pas génial au niveau secousses non plus.
Je m'entraînais 4 fois par semaine des séances jusqu'à 3h, et enceinte j'ai couru 2 marathon en montagne (5h30 de course à chaque fois et jusqu'à 1800m de dénivelé).
Les docs qui me suivaient m'avaient dit "vas-y, de toute façon tu te connais, si tu doit t'arrêter tu le sauras". Et en effet, mon deuxième marathon j'ai loupé la deuxième place sur le podium car j'ai senti qu'il fallait que je lève le pied. Après ça j'ai arrêté.
Si j'avais monté à cette époque, je pense que je n'aurai pas arrêté tant que je me serais sentie bien. Par contre j'aurais pas choisit ce moment là pour débourrer un loulou, je me serais contentée de monter un cheval calme, en qui j'ai confiance

(même si on n'est jamais à l'abri de tout évidement).