Spasmophilie

C'est ça : le soir et lorsque je suis en voiture j'en fais beaucoup...

J'ai fais des graves crises de spasmophilie, dont une où j'ai terminé à l'hopital sinon je me fracturais le bassin... Ces crises-là ne viennent pas par hasard, c'est un trop pleins d'émotions. C'est triste et dur à dire mais, à mon sens, aucun médoc, psy ou thérapeute ne vous aidera mieux que vous ne pouvez le faire vous-même, arrêter des crises c'est changer de regard sur ce qui vous fait avoir ces crises. Ce n'est que mon avis (de vécu) mais si vous voulez vous en sortir c'est de la volonté, rien de plus rien de moins.
Après ce n'est que mon simple avis, mais peut-être que certaines personnes ne seront pas d'accord avec moi

unaxprince a écrit le 11/11/2014 à 13h20: J'ai fais des graves crises de spasmophilie, dont une où j'ai terminé à l'hopital sinon je me fracturais le bassin... Ces crises-là ne viennent pas par hasard, c'est un trop pleins d'émotions. C'est triste et dur à dire mais, à mon sens, aucun médoc, psy ou thérapeute ne vous aidera mieux que vous ne pouvez le faire vous-même, arrêter des crises c'est changer de regard sur ce qui vous fait avoir ces crises.Vous etes encore jeune pour avoir beaucoup de recul sur ce qui vous et arrivé mais ce que vous dites est pertinent et bien analysé. Je traduis ça pour l'auteure du post qui est "en plein dedans" . Parfois on ne cerne pas d'où viennent ces crises, et souvent il y a plusieurs facteurs ensemble : sensibilité exacerbée surtout vers l'adolescence, émotions et changements importants dans sa vie, effet des hormones aussi, accumulation de pressions subies ou que l'on s'impose (études, objectifs sportis, amoureux, affirmation sociale etc ) . Changer de regard sur ses crises, c'est les accepter mais décider d'en prendre le contrôle. Pas juste chercher un médicament miracle pour les éliminer, ça n'existe pas. Savoir que oui une crise peut arriver à l'improviste, mais ne pas en faire un drame ni la redouter, car même si la tétanie et l'hyperventilation sont trés impressionnant si on laisse monter la crise, sauf erreur ce n'est pas dangereux . Donc ne pas s'inquiéter et apprendre à reconnaitre les 1er signes, et gérer , ne pas subir car c'est là que ça s'emplifie, effectivement jusqu'à parfois se retrouver aux urgences car la crise est trop forte et trop longue . Ce n'est que mon avis (de vécu) mais si vous voulez vous en sortir c'est de la volonté, rien de plus rien de moins. Après ce n'est que mon simple avis, mais peut-être que certaines personnes ne seront pas d'accord avec moi

frederique3560 a écrit le 11/11/2014 à 19h40:

Oui.. Disons que j'en faisais pour des choses qui n'étaient pas vraiment "normales" à vivre pour mon âge. En tout cas maintenant je n'en fais plus depuis que certaines choses ont changées, j'ai encore vécu des situations aussi dures que quand je faisais mes crises mais sans les crises..

iammyself a écrit le 10/11/2014 à 22h15: Pour compléter le message de Klavel, ce que je peux dire sur la spasmophilie, chez moi ça commence par le coeur qui bat de plus en plus vite, je me "déconnecte" en quelque sorte, j'ai du mal à respirer et je commence à hyper ventiler, à trembler, et ensuite je sens plus mes pieds et mes mains (ça fait comme des picotements), et ça remonte dans mes jambes et mes bras. Ca fait pareil au niveau du visage. Parfois je panique complètement, je me met à pleurer et tout, c'est l'horreur... J'ai aps encore trouvé d'où ça vient, ça m'arrive principalement en cours ou le soir quand je vais me coucher, mais ça m'est aussi arrivé en voiture etc...

J'ai les mêmes symptomes, ca arrive n'importe quand ... et m'amène parfois à l'hôpital...

C'est souvent provoqué par un "choc émotionnel" ou suite à une crise d'angoisse ou une douleur physique (chute par exemple).

J'essaye de contrôler comme je peux et j'y arrive de mieux en mieux.

J'ai pris quelques cours de méditation, pour apprendre à écouter son corps, à gérer sa respiration, à penser à rien et purger son esprit.

Ca m'a bcp aidé

unaxprince a écrit le 11/11/2014 à 13h20: J'ai fais des graves crises de spasmophilie, dont une où j'ai terminé à l'hopital sinon je me fracturais le bassin... Ces crises-là ne viennent pas par hasard, c'est un trop pleins d'émotions. C'est triste et dur à dire mais, à mon sens, aucun médoc, psy ou thérapeute ne vous aidera mieux que vous ne pouvez le faire vous-même, arrêter des crises c'est changer de regard sur ce qui vous fait avoir ces crises. Ce n'est que mon avis (de vécu) mais si vous voulez vous en sortir c'est de la volonté, rien de plus rien de moins. Après ce n'est que mon simple avis, mais peut-être que certaines personnes ne seront pas d'accord avec moi

De la volonté j'en ai, mais là je sais pas du tout par quel bout m'y prendre. J'arrive pas à me contrôler et ça m'éneeeerve ! Et tu parle de changer de regard sur ce qui nous fait avoir les crises, mais quand on ne sait pas d'où elles viennent ? J'ai jamais compris les gens qui faisaient des crises d'angoisse ou comme ça, je me suis toujours dit qu'elle se montaient la tête pour rien et qu'il fallait qu'elles "se détendent le string" Mais maintenant que ça m'arrive je les comprend. J'ai même aps l'impression de stresser ou quoi quand elles arrivent en fait, elles arrivent juste... Et le regard des profs et tout, c'est le pire. Toutes les remarques qu'ils me balancent par rapport à mes absences, ça me tue.

En parlant d'absences, ça ne vous a pas trop pénalisé pour les études ? Je parle surtout pour la fac, avec les histoires de rattrapage si on a trop d'absences et tout, + tout le boulot à récupérer qui est plus conséquent qu'au lycée.

iammyself a écrit le 13/11/2014 à 23h28: De la volonté j'en ai, mais là je sais pas du tout par quel bout m'y prendre. J'arrive pas à me contrôler et ça m'éneeeerve ! Et tu parle de changer de regard sur ce qui nous fait avoir les crises, mais quand on ne sait pas d'où elles viennent ? J'ai jamais compris les gens qui faisaient des crises d'angoisse ou comme ça, je me suis toujours dit qu'elle se montaient la tête pour rien et qu'il fallait qu'elles "se détendent le string" Mais maintenant que ça m'arrive je les comprend. J'ai même aps l'impression de stresser ou quoi quand elles arrivent en fait, elles arrivent juste... Et le regard des profs et tout, c'est le pire. Toutes les remarques qu'ils me balancent par rapport à mes absences, ça me tue. En parlant d'absences, ça ne vous a pas trop pénalisé pour les études ? Je parle surtout pour la fac, avec les histoires de rattrapage si on a trop d'absences et tout, + tout le boulot à récupérer qui est plus conséquent qu'au lycée.

Il y a forcément quelque chose dans ta vie, plus ou moins grave qui te fait avoir ces crises. Sinon, si c'est pour des "petites" choses de la vie, oui comme tu dis il faut vraiment se détendre du string C'est loin d'être méchant et beaucoup plus facile à dire qu'à faire mais même si tu ne les contrôles pas il faut que tu trouves le moyen de relativiser pour toutes ces petites choses-là ^^ Et surtout pour commencer ne fait pas attention aux remarques d'autrui ça te pourrira plus l'esprit qu'autre chose ! Après au niveau des absences en fac je ne peux pas te répondre puisque j'ai arrêté depuis que je ne suis plus au lyçée... Je n'en ai plus jamais fait depuis que je suis à la fac !