oasis38 a écrit le 02/06/2015 à 19h56:
C'est une histoire de famille, mais en attendant on a toujours pas le cheval!
La page SOS chevaux a décrétée qu'il était retrouvé, alors qu'on le cherche encore ;)
Je peux comprendre que vous soyez à la recherche de votre compagnon (ou celui de votre connaissance).
SOSchevaux, fait un travaille remarque et, par bien des points, à un réseau plus puissant que le notre
(c'est d'ailleurs pour cela, bien que nous existons depuis plus longtemps, que j'invite les dépositaires d'alerte à le faire chez eux = plus on est, mieux c'est). Mais tout comme nous, ils ont des exigences pour placer et/ou maintenir une alerte.
Il faut fournir les documents et renseignements demandés, ou s'attendre à ce que l'annonce soit "classée"
(donc on lève l'alerte en disant que l'animal est retrouvé) ou "retirée".
(mais là, c'est faire fi de la participation des bénévoles et ne pouvoir les remercier = donc c'est rare).
Pour notre asso,
- il faut un numéro de puce, que l'on diffuse et nos bénévoles professionnels puissent enregistrer ;
- il faut un contact avec la gendarmerie ou le poste de police qui suit le dossier (plainte déjà effective ou en cours de vérification)
SOSChevaux
- l'un des critères est de fournir la photocopie de la carte de propriétaire (par courrier, faxe, e-mail...), le numéro ou un moyen de joindre "le/la propriétaire".
(Le GREV est encore plus exigeant)
Si ces éléments ne sont pas fournis à la demande d'alerte, parfois avec une "tolérance de X heures, pour les fournir, alors on met fin aux alertes afin de ne pas nous retrouver coincé au milieu d'un conflit familiale. Et c'est normal, car sinon on pourrait se retrouver complice en cas de "disparition" après cout, avec le concours de nos groupes et interventions.
Imaginiez la réaction d'un propriétaire, si nous lançons une alerte sur nos réseaux, que nous localisons l'animal et que celui-ci, avec le concours de nos réseaux (nos bénévoles), les informations que nous donnons alors, il est "volé" ou "détourné" du lieu de détention ou il se trouve.
Nous n'aurions pas fini de nous justifier. Donc nous prenons des précautions. Elles peuvent paraitre "petites", vu la douleur que ressentent certaines personnes lors de la disparition de leurs compagnons, mais elles sont nécessaires (et pas si lourdes que cela au final.)