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Harper australien
Posté le 29/09/2019 à 10h02
ncaar
J'ai bien compris .
Juste que ma vision c'est que soulager et diminuer les symptômes quand la crise est aiguë, de mon point de vue , et je crois savoir médicalement, c'est un traitement et s'il existait un vrai traitement curatif ça serait dans certains cas aussi une part du traitement .
Pour les raisons évoquées plus haut ., le bénéfice que ça apporte au cheval et donc par conséquence sur l'évolution de la pathologie .
C'est en ça que pour un cheval "handicapé" par le harper, selon le grade atteint, ces produits ( traitements) sont un outil .
Je comprends que ce ne soit pas satisfaisant d'envisager d'en arriver là, frustrant de ne "rien" pouvoir faire qui apporte une solution certaine.
Le harper est une affection réactive à ( ou causée en partie par ) la porcelle . À çe jour on considère qu'il faut attendre que le toxique s'évacue de l'organisme , d'où drainage , activité qui favorise la circulation des fluides et les échanges conseillés .
C'est aussi du soin qui n'est pas curatif mais qui apporte un soutien à l'organisme , et ça fait partie du traitement.
Comme ce qu'on te propose ( antiépileptique ou autre calmant), même s'il n'y a pas de molécule ou autre capable de faire disparaître la pathologie , tout ça fait partie de la thérapie.
Il ne s'agit pas de seulement masquer, mais d'apporter des conditions de vie favorables à la guérison du cheval , de mettre tous les atouts de son côté .
Certes tout ça sans garantie de résultat , ni total , ni même partiel et quantifiable.
Il a a plein de parametres à prendre en compte pour faire son choix : coût, rapport bénéfice/ risques , valeur du cheval ( financière et affective) etc ...
Pour avoir été dans une situation proche je comprends totalement ton ressenti .
Avec du recul j'analyse différemment que dans le feu de l'action .
Bon dimanche