myrific a écrit le 30/10/2015 à 19h48:
Justement, ça dépend des personnes; comme je l'ai dit, à sa place je ne chercherais surtout pas à aller au procès.
En effet, je ne connais pas l'auteure du post, c'est évidemment, mais je sais parfaitement ce que je ferais à sa place. Même si ça touche à la robe la plus chère de mon armoire ou à un vêtement de valeur sentimentale ;)
Oui c'est sur que c'est la dernière des solutions.
Le mieux c'est quand même de faire comprendre  l personne qui a abîmé le manteau que cela pose vraiment probleme et vu que c'est de sa faute il faut trouver une solution ... Sinon bah tribunal de proximité
Je me mets en mode mémé et j'vous raconte une Tite histoire de quand j'étais jeune ... Oulala y a longtemps...
J'habitais Âvec une copine dans une chambre de bonne  Paris au 7eme étage sans ascenseur.
LÂ voisine du dessous nous haïssait parceque nous faisions trop de bruit. Pourtant nous étions rarement lÂ, nous marchions pied nus mais elle nous entendait marcher et elle pensait que nous faisons exprès Âlors que nous vivions le plus doucement possible.
Un jour apres 2 heures passées à la laverie Âvec ma copine au lieu de monter notre linge au 7eme nous décidons, feignasses, de le planquer derriere une porte dans le hall de l'immeuble.
Nous avons retrouvés des copains, bouffer dehors et passer du bon temps place du tertre  Montmartre.
En rentrant plus de sac. Toutes nos fringues avaient disparues ... Les grosses boules mais bon bien fait pour nous...
Quelques jours plus tard qu'est ce que je vois , un matin, l voisine Âvec ma jupe plissée marron glacé preferee (année 1980 oblige) mon sang ne fait qu'un tour je lui dis :
- Ca va elle a pas coûté trop cher l jupe..
- bah non pourquoi y a un probleme qu'elle me répond en se fichant de ma goule
J'ai appelé ma copine la voisine  chouravé nos fringues...
Et bien nous avions 19 ans, je ne suis pas fière, on l'a attendu un soir, on lui a sauté dessus dans le hall de l'immeuble et nous l'avons mis a poil... L voisine en mode Eve  disparu dans les escaliers et je ne l'ai plus jamais revu Âvec mes fringues... Nanmého...