Reconstruire son rêve, différemment!

très heureuse de te relire, mais ça commence mal...

Non mais j'hallucine, c'est quoi c'est gens? C'est pas du tout professionnel comme attitude!

Tu n'as rien à te reprocher: Tu payes pour une place pour ta jument et qu'ils s'en occupent chaque jour, mais, la façon du tu la travailles, le fait que tu te lies avec les autres ou non, et si tu amènes des amies, ça ne les regarde ABSOLUMENT pas. Tu ne leur dois rien et tu n'as pas à adhérer à une espèce de secte où tu dois copiner avec tout le monde et bosser ton cheval de la même façon que les autres... Je rêve...

ninirom a écrit le 12/09/2014 à 16h57: très heureuse de te relire, mais ça (RE) commence mal...

En effet ! On attendais depuis longtemps que tu nous redise des nouvelles comme ça
Mais on aurait aimé de bonne nouvelles...
Surtout perd pas espoir !! C'est vraiment magnifique tout ce que tu as fait pour ta jument

Et ben pas de bol pour toi.
Puis pour la dernière pension abusé aussi, franchement y en qui sont pas bien dans leur tête et qui devraient bouffer leur langue avant de se défouler sur les gens. C'est pas net cette histoire, j'espère bien que le monsieur aura le bon sens de s'excuser au moins...

C'est vraiment dommage tout ça...
Je ne sais pas si tu te souviens (ça remonte à longtemps), mais j'étais déjà intervenue sur ce post puisque je connais très bien le CE dont tu parles, j'y ai monté pendant plus de 10 ans.

Et au final c'est à peine étonnant ce que je lis là. Même si le gérant, A, est un prof génial que je n'oublierai jamais (il m'a bien plus appris en 1 an que pendant toutes mes années d'équitation réunies), il est carrément colérique et une fois qu'il s'est mis martel en tête, il n'écoute plus rien.
C'est incroyable et inacceptable ce qu'il t'a balancé, mais en même temps à peine étonnant si tu n'es pas devenues meilleures amies avec ses cavalières de compet.

Alors c'est vraiment dommage parce que c'est un mono génial, mais franchement c'est juste hallucinant de lire ça, ça + la gourme c'est un manque cruel de professionnalisme... J'en avais déjà eu un avant gout mais là... J'espère que t'es retrouvée une bonne pension dans la région, et que tu as pu laisser tout ça derrière toi !
(je serais curieuse de savoir dans quelle pension tu es allée par la suite !)

Mimisia,

ne nous oublie pas !
bonne continuation

A partir de ce jour, passer au club devient un véritable stress pour moi. Dans l'attente d'un dialogue, j'angoisse chaque jour de croiser le gérant car je crains ses réactions bizarres. Je fais donc tout pour l'éviter et me retrouve à aller voir ma ponette à des heures impromptues : principalement le midi ou en soirée quand il fait nuit. Je suis dégoûtée : aller voir ma louloute à reculons, c'est vraiment le comble! Cependant, je me force à passer tous les jours pour m'assurer qu'elle va bien.

Très vite, je me mets à rechercher une nouvelle écurie. Malgré un possible nouveau départ, je suis déjà pratiquement convaincue que rester dans ce club n'est plus possible. Volontairement, je ne parle à personne de mon intention, même pas à mes amies, afin d'être certaine d'éviter les bruits de couloir. Ayant déjà fait pas mal le tour des pensions du secteur, ma recherche n'est pas simple ! J'ai l'impression de courir après le Graal... Mon critère numéro 1 reste la proximité car l'expérience de la gourme m'a de nouveau démontrée qu'il faut parfois être en mesure de soigner son cheval quotidiennement.

Les jours passent et... toujours aucun pas en avant de la part du gérant. Je m'enquiers auprès de Mme de l'avancement des choses et voilà qu'elle me sert de nouveau une excuse pour justifier l'indisponibilité de Mr. Là je commence à douter sérieusement. Mais tanpis, je joue le jeu malgré tout : je souris, je comprends, bla bla bla...
En réalité, je ronge mon frein en silence. Dans les starting blocks, j'attends simplement la fin de la période de quarantaine de Veleda pour plier bagages. Quand mon vétérinaire m'annonce qu'il y en a pour six semaines, j'accuse le coup ! Ca me semble une éternité dans ce contexte.
En même temps, il n'est pas envisageable pour moi de faire courir un quelconque risque à ma future nouvelle écurie. Je n'ai d'autre choix que de prendre mon mal en patience.

Vu que j'en ai encore pour un moment au club, je reprends mes activités avec Veleda. Je me décide à la remonter puisqu'elle supporte très bien la longe. Focalisée sur l'état de son postérieur, je le scrute avant tout effort (aspect, chaleur, grosseur du tendon..) et je reprends le même manège à peine j'ai mis le pied à terre. Globalement on va dire que ce que j'observe est satisfaisant. Parfois c'est un peu enflé mais ça disparaît le lendemain. Ouf !

Veleda mouche toujours un peu en continu et tousse une fois de temps en temps au travail. J'en parle au véto mais ça ne l'inquiète pas. Il faut dire que depuis le début de l'année il pleut continuellement par chez moi. On patauge dans la boue tous les jours. Rien n'a le temps de sécher un tant soit peu ! Beaucoup de chevaux mouchent et en effet, quand je regarde ceux de mes amies, eux aussi ont les naseaux humides, ce qui me rassure.
Par contre un autre point commence à me perturber : Veleda boite de nouveau d'un antérieur (exactement comme avant son épisode de gourme). C'est bizarre car pas systématique. Par exemple, elle ne le fait pas en longe, ni si elle est très excitée. Mais montée, au trot, c'est flagrant : elle est irrégulière. Je ne constate pourtant aucune anomalie sur ses antérieurs. Ca me laisse perplexe.
Par ailleurs, je constate autre chose : les ruades que je prenais pour de la joie au départ se font de plus en plus violentes et toujours au galop. De plus, Veleda rechigne à avancer. Je ne la connais que très peu sous la selle mais j'ai le pressentiment que ce n'est pas son comportement normal. Je la sais de nature volontaire, si elle se défend c'est certainement pour une bonne raison.

Vu ce que j'observe, je ne vois pas l'utilité de faire venir une fois de plus le vétérinaire. En effet, je penche plutôt pour un souci ostéo. En fait, je crains une séquelle de la chute du mois de décembre. Trois mois plus tard, je me rends compte qu'on ne m'a pas décrit en détails ce qu'il s'est passé. Et comme j'ai perdu confiance vis à vis du club, je crains qu'on ne m'ai caché des choses.
En vérité, je m'éparpille, je gamberge. Seule avec mes questions, j'imagine tout et n'importe quoi : ma pire hypothèse étant que Veleda se soit fêlée le garrot en tombant. Autant vous dire que je ne suis pas très sereine.

Coucou

J'ai suivi en sous marin depuis le milieu du topic ... je suis allée une fois en stage au club dont tu parles et je suis profondément choquée et abasourdie par la façon dont tu as été traitée... être intolérant aux autres à ce point, c'est grave...

j'espère que tu as pu t'en remettre et que tu te plais dans ta nouvelle pension ^^
pour ta petite Veleda, j'espère que vous verrez bientôt le bout du tunnel ! tout ces soucis quand même, ce que la vie peut être sadique des fois...

Oh là là, pas des nouvelles extra. L'ostéo est passé du coup ?
Courage a toi et Veleda

Coucou, j'ai lu tes messages depuis le début, histoire très émouvante mais très bien , on voit que t'a pas abandonner ta ponette et sac'est super !! j’espère que sa ira mieux avec le club et avec ta ponette !! courage a vs deux

J'ai tout lu !
Comment as-tu fait pour tenir le choc ?
Tu n'as pas de photo pour voir l'évolution ?

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