Droit de visite d'un grand-père

Il n'en a jamais fait mention à ma mère lors de leurs quelques contacts en tout cas. Mais il faut dire que je ne lui ai jamais laissé la possibilité de me le demander non plus. Il ne sait pas où j'habite (ou vaguement) et j'ai changer de numéro de téléphone suite à son appel.

C'est sûr que la question lui sera posé aussi. S'il ne veut pas, ça ne se fera pas.

Sil le veut il se manifestera.
Parle à on fils, explique lui , prends le temps de préparer les choses.

je sais que c'est pas bien, mais à ta place, je lui dirais quil est dans un autres pays ou mort. POINT

car c'est un enfant, ça vas suscité sa curiosité, + tu vas lui "interdire" + il vas posé des question et vouloir le voir ...

et si ton pére n'est pas au courant de la naissance de ton fils, c'est encore + simple !

dans ma famille, je n'ai jamais connus le pére de mon papa, je ne sais méme pas son nom.

un homme trés violent et cruel qui aimer battre ma grand mére et ses 3 enfants.

tous ont coupé les pont bien avant ma naissance.

il ma était présenté comme mort et personne ne m'en parler jamais. donc forcement, méme étant une gamine éxtrémement curieuse, je n'ai jamais poser de question.


Puis un jour, en déménageant le bureau de mes parents, je suis tomber sur des photos, j'avais 16 ans.

c'est là ou mon ma raconter vite fait l"homme qui l'était, le pourquoi tout le monde l'était banni, mais surtout qu"il était toujours vivant et vivait dans l'ariége.

à 16 ans, j'ai eu envie de le connaitre pour savoir "de qui je tenais" puis j'ai repenser à ma famille, à ce qui leur a fait, a ce que ma grand mére à subit et en est morte ... j'ai abandonner l"idée

à mes 21 ans, coup de teléphone à mon pére, je l'entends crier du salon puis dire " ha mais c'est une bonne nouvelle ça ! Non mais, le premier qui y touche, sa vas mal se terminer, je te rapelle que tu as finis dans la rue à 7 ans avec maman a cause de cet enc*lé"

c'est mots raisonnent encore en moi tellement la conversation était houleuse et trés dure à entendre ..

Son plus jeune frére appeler mon pére pour lui dire que cet homme était décéder, que y avais un héritage et une dette à payer (40 €)

mon pére lui, à bien expliquer a tout le monde que l'héritage, fallait pas s'y en approcher, que de toute maniére il n'avait rien d'autre que sa pension de militaire, que sa nous apporterai rien de + dans nos vie. "qu'il soit enterré comme un chien, c'est tout ce qu"il mérite, personne n'ira à son enterrement"

au final de tout, personne na demander l'héritage (car mon pére avais raison dans le fond, il n'y aurai rien de bon venant de lui et seul mon oncle le + jeune est aller a l’enterrement, car malgrés la misére et tout le mal quila subit, c'est celui qui a était le moins traumatisé par son enfance)

le sujet à était clot, j'en ai jamais voulus a mon pére de m'avoir faire croire que ce gars était mort. car au final, s'était pas plus mal ...

et encore une fois, quil soit mort "pour de vraie" na strictement rien changer à ma vie.

A si, le fait quil soit reellement mort, comme si sa avait soulager ma famille, Qu'il se sentait protéger, maintenant (6 ans aprés sa mort) il m'en parle, me montre des photos ect ...

Y a toujours rien de positif qui s'en dégage, mais il me raconte un peu le pourquoi du comment. et sa me suffit

in n'a jamais su qu'il avait eu 3 petits enfants

malolotte, je ne comprends pas bien la notion de réclamer l'héritage. Quand on a droit à une part du patrimoine d'un défunt, il n'y a pas à réclamer. C'est un dû, donc, dans la mesure où il y'a un actif, on "palpe" sa part et c'est tout.

La seule option de refus suppose un passif supérieur à l'actif.
Peut-être était-ce le cas ?

Bonjour gomorck,

Ne le prends pas mal mais...



Je pense que, si tu ne voulais pas que ton petit bonhomme s'intéresse à son "vrai grand-père", il ne fallait pas lui apprendre la réalité familiale. Il l'aurait peut-être découverte plus tard, à un âge où il aurait été en mesure de comprendre le silence, les refus, etc. Là il sait donc forcément, comme tous les petits enfants, il veut savoir. C'est propre à la construction personnelle.

Je pense qu'il faut lui expliquer, en choisissant les mots mais sans masquer la gravité des faits. Lui dire qu'il a fait pleurer Maman et Mamie est une bonne entrée mais, derrière, apporte lui quand même des éléments factuels. Je ne sais pas ce que cet homme a fait (c'est bien sûr personnel), mais en imaginant qu'il ait par exemple été violent, il faut dire à ton petit loup que ce grand-père a frappé très fort et que c'est ça qui a fait pleurer Mamie parce qu'elle avait très mal, et Maman parce qu'elle a eu très peur. En somme ne pas transmettre l'horreur (ton bout est effectivement trop jeune) mais montrer que ce n'est pas normal, que c'est grave et même que c'est interdit, et que maintenant, Maman et Mamie ont le droit de ne plus vouloir parler à cet homme.

Un petit détail : ton père n'est pas le "Papy" de ton fils.
Son Papy c'est le mari actuel de sa Mamie. Certes, ce n'est pas le père de Maman mais c'est l'homme que Mamie aime, celui en qui la famille a replacé sa confiance et qui lui-même vous aime comme ses enfants et petits-enfants. C'est un homme-clé et son rôle, même s'il est socio-familial doit perdurer et il est naturellement hors de question que ton père biologique prenne cette place.
Ton père, c'est son grand-père, c'est tout.

Pour le moment, c'est le modèle familial que tu as choisi qui doit primer. Chacun a donc sa place et constitue donc un cadre sur lequel ton fils s'appuiera pour grandir. Toutefois, ça n'empêche pas d'avoir conscience (une conscience simple) qu'il y a un "à côté".

Une fois grand (majeur), si ton fils veut perdurer dans ses contacts avec ton père biologique, ce sera son choix à lui. Là-dessus, tu ne pourras pas éternellement influer.

Mais je doute qu'il poursuive l'aventure au-delà. Les gosses ont surtout besoin de savoir d'où il viennent et, en partant de ça, de consolider leur cadre personnel. Il comprendra vite le mal infligé et il est fort probable qu'il n'ait pas envie d'en entretenir le souvenir, voire d'en courir lui-même le risque.

Par contre, si ton père voit le petit, c'est naturellement sous ton contrôle, celui de son papa ou, en tout cas, de quelqu'un "spécialement mandaté" par toi, afin de l'accompagner. Hors de question d'être seul.

Tu ne peux refuser qu'il y ait un lien mais tu as le droit de vouloir garder le contrôle.

Courage.

louiz

c'est ce que mon pére craigné, vus que personne na eu de ses nouvelles en 20 ans, il à pas voulus prendre le risque.

On peu aussi bien refusé un héritage que l'avoir. Le tout c'est que on ne sais pas à l'avance à quoi s'attendre ...

méme si il avais un peu d'argent de coté, mon pére n'en voulais pas, sa venez de lui "c'est sale" par principe, il ne voulais rien de ce qui lui rester

louiz

Le conjoint de ma mère n'est pas du tout considéré comme le "Papy" de mon fils. C'est un homme avec qui nous avons, mes soeurs et moi, beaucoup de mal à nous entendre parce qu'il se comporte mal avec ma mère. (mais bon, ça, après 5 hommes dans la vie de ma mère, il faut croire que c'est ce qu'elle recherche ...).
C'est d'ailleurs le 3ème homme de ma mère que mon fils connait. Il n'est pas du tout proche de mon fils (qu'il ne voit qu'aux vacances et pas toutes) et mon fils l'appelle par son prénom.
Donc non, ce n'est pas son papy, et c'est d'ailleurs à cause de ça que j'en suis venu à lui expliquer pour son vrai papy.

malolotte, okay. Il l'a refusé.

Ce qui me surprenait dans le terme réclamer c'est l'idée qu'il faille une démarche personnelle et spontanée pour faire valoir ses droit (dont celui de refuser) ; les héritiers sont forcément contactés à un moment et mis à même de prendre part à la succession (acceptation), ou de s'en retirer (refus).

Je comprends sa réaction.

gomorck, d'accord, je n'avais pas compris ça. Du coup il n'y aura pas d’ambiguïté. C'est mieux.