-- Futur(e)s infirmier(e)s et infirmier(e)s --

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Octo

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-- Futur(e)s infirmier(e)s et infirmier(e)s --
Posté le 22/07/2016 à 15h43

Hello CA !!

Petit post pour parler des concours, de l'école, des stages, de la profession, etc... entre futur(e)s étudiant(e)s, étudiant(e)s et diplômé(e)s !

Y a-t-il parmi vous des gens qui font leur rentrée en première année dans un IFSI ?

Les étudiant(e)s :

Opri (3ème année)
Colinea (3ème année)
Goldy-jtm (3ème année)
Vaquero (3ème année)
Milka2710 (3ème année)


Les diplômé(e)s :

Chevalmaxime
Hook
Anonymoi
Gathiou
Meli18
Lucioledechue
Dahliot
Pluton1000
Epona37
Onzedavril
Castorounette
Quiebro13
Bymathilde
Magdiva74
Limbecile

Les futur(e)s étudiant(e)s ?

Sarahpre
Emynight
Rafikiki (entrée en 1ère année en février)

Édité par octo le 17-11-2018 à 23h52

Tartine88

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Posté le 28/07/2019 à 00h08

lutin01 ces raisons sint aussi les miennes. Simplement, je mz dévalorise beaucoup (trop).

Certes mis là ce n'est plus sur concours... C'est sur dossier. Donc plus rien voir. Les S auront davantage de chance que les L.

Lutin01

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Posté le 28/07/2019 à 00h11

tartine88 C'était plus pour dire qu'on s'en sort très bien même avec un profil littéraire
Je réprouve complètement cette plate-forme pourrie et les suppressions des concours ... De la daube depuis le départ mais on s'entête à maintenir un système complètement branlant ...

Toilad

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Posté le 28/07/2019 à 00h11

Hé bien, je vois que ça papote ici !
J'ai 'fêté' mes 5 ans de diplôme en juin (déjà) !!

Je suis toujours dans mon service de chirurgie générale.

On a eu des moments difficiles depuis début d'année, entre les arrêts maladie, les écartements grossesse, les démissions etc. Je ne suis pas passée loin d'un arrêt pour surmenage, stress et compagnie. On a l'air de se remettre un peu car des nouveaux ont été engagés même une nouvelle vague d'écartements devrait arriver d'ici la fin de l'année, j'en stresse déjà !

J'aime mon travail mais il me parait clair que dans des conditions comme celle ci, je n'irai pas jusque la retraite.

Je ne dis pas ça pour décourager ceux qui pensent s'inscrire ou ceux qui viennent d'être diplômés, mais il vaut mieux en avoir conscience dès le départ.

Édité par toilad le 28-07-2019 à 00h13



Quiebro13

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Posté le 28/07/2019 à 00h30

lutin01


C'est ce que j'allais dire ... la difficulté du métier ne se résume pas aux calculs de dose ... fin ça c'est juste absolument rien face aux reste ! Face aux conditions des stagiaires, à la pression, aux remises en questions et autres ... puis au conditions d'exercice.

Mon bac S SVT ne m'a pas servit à grand chose, aller peut être sur le premier semestre et un module de bio mais c'est tout !

Tartine88

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Posté le 28/07/2019 à 06h43

toilad personne n'a dit que le calcul dd doses était LA difficulté du métier je disais juste que j'avais des lacunes dans certaines matières théoriques (je parle donc de l'école). Le métier en lui même est une difficulté, c'est un travail et un domaine très très particulier. Ne pas aller jusqu'à la retraite est largement compréhensible mais en même temps si on a pas le choix, on le fait. Après physiquement et moralement ça tue et ça fatigue. Faut vraiment tomber dans une bonne équipe et dans le service qu'on apprécie (j'imagine que ça facilite les choses même si cela ne retire en rien les difficultés techniques du boulot qui, si ça continue, deviendra invivable avec plus de 25 patients/IDE)

Après je ne dis pas que les L n'ont pas de chance hein. Mais parcoursup c'est bête et discipliné et ça va favoriser LA filière la plus en relation avec le domaine souhaité (L pour le droit, S pour la médecine, ES pour la filière sociale....)

Toilad

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Posté le 28/07/2019 à 08h19

tartine88

Je pense que tu t'es trompée de personne, je n'ai rien dit par rapport au calcul de dosage dans mon précédent message. Mais maintenant que tu en parles, non effectivement, ce n'est pas LA difficulté. A part si tu travailles en pédiatrie où là je pense que tu dois faire de nombreux calculs, dans un service classique, ça ne m'arrive pas si souvent, enfin dans le mien en tout cas. Et si ça arrive et que j'ai un doute, je demande à mes collègues présents de vérifier ! Après je ne me suis jamais retrouvée en difficulté pour ça, c'est largement abordable même pour moi malgré le fait que j'ai toujours été nulle en maths à l'école.

Je pense que la difficulté du métier (arrêtez moi si je me trompe), c'est d'avoir la capacité de voir le patient dans son ensemble, et d'avoir également la capacité de mener une réflexion par rapport à ce qui est demandé. Nous ne sommes pas que des 'techniciennes'. Et je peux affirmer maintenant avec mes 5 petites années d'expérience que ce n'est pas à la portée de tout le monde.

Edit : et pour info, j'ai fait un bac ES.

Édité par toilad le 28-07-2019 à 08h21



Bymathilde

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Posté le 28/07/2019 à 08h26

toilad pour moi le plus dur c'est clairement les conditions de travail .......
ce qui est quand même un comble ....
le reste vient avec l'expérience, les cours, les connaissances etc .... mais perso y a pas moyen les conditions de travail sont vraiment hard à supporter ..... toujours aller vite, avoir à gérer la pression des cadres, rattraper les conneries des internes, supporter les collègues mal lunées ou langues de vipères, avoir la sensation de passer son temps au service, que la société (amis ou famille) ne comprennent pas les difficultés du métier ..... tout ça c'est ce qui me pèse le plus

Toilad

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Posté le 28/07/2019 à 08h52

J'aime bien raconter cette histoire, certainement pas pour me faire mousser mais surtout parce que je trouve vraiment important d'être capable de voir son patient dans son ensemble et surtout de réfléchir et de mettre en relation toutes les données que nous avons.

Il y a 2 ou 3 ans, je prenais en charge un patient opéré d'un pontage vasculaire au niveau de la jambe. Je l'avais eu en charge toute l'après midi, il allait bien, pas spécialement de douleur, paramètres corrects : RAS.
Le soir, vers 21H...Il sonne, j'y vais, il me dit qu'il s'est levé pour aller aux toilettes et que maintenant il a un peu mal. Je lui apporte un antidouleur.

Arrêt sur image. J'allais quitter la chambre, ma première réflexion a été de me dire qu'il était fraichement opéré, qu'il venait de se mobiliser, d'où la douleur….Mais je ne sais pas, en quittant la chambre, j'ai revisualisé mon patient en me disant quand même qu'il n'avait pas 'bonne mine' et qu'il était un peu transpirant. Par acquis de conscience, j'ai décidé de recontrôler ses paramètres….Verdict : 180 pulsations. Alors que le patient ne s'en plaignait absolument pas. J'ai donc fait un ECG dans la foulée (qu'on me pardonne mais je ne sais pas lire un ECG sauf si le tracé est plat , je trouve qu'à l'école, on ne concentre pas assez là dessus). Et pendant que je faisais cet ECG, j'ai regardé la jambe de mon patient que je trouvais différente que durant l'après midi, elle était marbrée.

Je vous passe les détails mais j'ai rappelé en urgence le chirurgien, mais en gros il a été repris au bloc opératoire dans l'heure. Il a fait une fibrillation auriculaire qui a envoyé un embole qui a été boucher le pontage.

Voilà pour la petite histoire, j'aurais pu me contenter de lui donner un antidouleur et de me tailler. C'était ma première idée, en plus de ça j'avais terminé mon poste, donc je serai partie, ma collègue de nuit (qui est seule pour 34 lits) serait passée une heure après dans la chambre (et je ne la blâme pas), et là quel aurait été le résultat ? Tout ça pour dire qu'il faut prendre le temps d'écouter son patient, de le regarder et de se dire 'non là il y a quelque chose qui ne va pas', 'ce n'est pas normal'.

bymathilde

Je peux te dire que malgré l'expérience, certaines ou certains ne sont pas de bons infirmiers.
C'est comme partout, il y a des bons et des mauvais, alors après est ce un manque d'envie ou de connaissances je ne sais pas. Mais j'ai déjà vu des choses sincèrement, je me pose des questions.

Mais je suis d'accord avec toi et je pense la même chose, je ne supporte plus de ne pas prendre le temps pour mon patient, de me dépêcher continuellement dans tout ce que je fais. Une fois je faisais la nuit, je rappelle donc que l'on est seule pour 34 lits (avec le passage d'une volante 1/2 heure en début de nuit et 1/2 heure en fin de nuit), une aberration on est d'accord. Et bien, j'avais une patiente avec quelques soucis psychiatriques qui pleurait vers 4H ou 5H du matin quand je suis passée dans sa chambre. Je lui ai demandé une fois, deux fois, trois fois pourquoi elle pleurait, elle ne m'a pas répondu. Qu'ai je fait ? J'ai tracé ma route, je n'avais pas le temps de prendre le temps d'attendre qu'elle me dise ce qu'elle avait….Et ça c'est quelque chose que je ne supporte pas !

Je l'ai dit une fois à mon cadre ; vous savez combien de temps je passe avec mon patient quand je fais le matin ? Je vais vous le dire. Entre 5 et 10 min pour le tour de médicament du matin. Entre 10 et 20 min pour le pansement. Et entre 5 et 10 min pour le tour de médicament du midi. Donc en moyenne, je vois mon patient entre 20 et 40 min seulement sur ma journée. Et je trouve ça trop peu ! Et il était d'accord avec moi.


Heureusement je l'ai la chance que ma famille comprenne les difficultés de mon métier.

Édité par toilad le 28-07-2019 à 08h56



Pluton100

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Posté le 28/07/2019 à 10h08

toilad lire les ECG n est pas mon point fort aussi ;) mais je demande régulièrement des explications aux collègues et je trouve que ça commence à rentrer plus facilement. A l école, je trouve qu on les survole.
J ai un collègue qui vient de cardio donc une pépite ^^
Je préfère passer pour une nouille que de faire un truc que je comprends pas.

Pluton100

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Posté le 28/07/2019 à 10h16

Dans ce métier, je trouve que l équipe y est pour bcp pour tenir bon qd on commence à ressentir un ras le bol.
Qd je vois comment mes anciens collègues m ont accueilli à mon retour ba, ça fait chaud au cœur (paramed et médicale).
Qd j y étais retourné après mon arrêt suite à la réa, ils ont été bien veillant alors que le moral était au plus bas et que je doutais vraiment de mes compétences suite à ma mésaventure.

Nephro, les docs nous écoutent aussi pas mal et nous laissent certaines libertés.il est à juste la règle d’or: ne pas donner de paracetamol pour éviter de masquer un éventuel syndrome inf avec température (sauf si T égale ou sup a 38,5).

Bymathilde

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Posté le 28/07/2019 à 13h03

toilad je suis plus que d'accord avec toi, faire attention, etre attentif et parfois suivre un peu son instinct c'est vraiment important
mais c'est pas le plus dur à mes yeux parce que ça reste l'essence même du travail et c'est ce que j'aime !

Comme le dit pluton100 l'équipe c'est vraiment primordiale, et j'ai un peu de mal avec la mienne en ce moment

Tartine88

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Posté le 28/07/2019 à 14h49

Je ne peux qu'être d'accord avec vous ne voyant les choses que d'extérieur... Mais papa et belle maman etant inf-anesthesistes militaires (anciennement justes "infirmiers") je sais grace a eux que la vraie première difficulté du métier c'est LE NOMBRE de patient/infirmier. Ce qui empêche le professionnel :
1) d'être à l'écoute du patient
2) De bien prendre en charge la GLOBALITÉ du patient (comme toilad l'a dit)
3) le manque de moyens financiers (par extension matériels et salariales...)

Et ensuite viennent les difficultés (meme si importantes) annexes et qu'on retrouve dans tous les milieux pro :
1) l'ambiance pourrie
2) une mauvaise coordination entre les équipes (ou dans une même équipe)
3) les mauvais professionnels (veulent rien foutre, fonr toujours la gueule, ne dialogue/n'échange pas les infos avec ses collègues)
4) Les lieux inadaptés (trop petits, trop salés, trop vieux, etc...)

Après heureusement il y a les passionnés, les établissements aux normes et agréables, une bonne coordination. Mon père lui ne se plaint presque pas et pourtant il est à l'hôpital nord (militaire) de Marseille ! Et il en voit...

Lutin01

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Posté le 28/07/2019 à 17h38

tartine88 Sauf que quand t'es étudiante, ce que tu mets en 2èm partie prend souvent le dessus sur la 1ère !
J'ai été étudiante inf. avant la réforme donc j'espère vivement qu'aujourd'hui, c'est un peu plus facile pour les nouveaux élèves ...

En ce qui me concerne, j'aimais ce que je faisais, mais plus jamais je n'y remettrai les pieds. On m'a littéralement piétiné, on a broyé toute ma confiance en moi et toute mon estime ... C'était il y a 10 ans et quand j'ai entamé ma reconversion pro il y a 2 ans, je me suis aperçue que j'en gardais des "séquelles": des doutes terribles sur ma capacité à bien faire, à m'intégrer dans une équipe et une très forte angoisse à l'idée qu'on m'observe faire ( ce qui est pourtant inévitable quand on débute quelque part ! ), j'ai besoin d'être lâchée seule pour réussir à m'investir à fond, le regard de l'autre me paralyse parce que je m'en suis pris plein la tronche dans les services ...

Il faut vraiment avoir la vocation pour persister là dedans, encore plus avec le contexte actuel, j'admire tous ceux qui y arrivent. Et je n'ai jamais regretté d'avoir lâché, même une fois diplômés, mes anciens camarades de promo ont continué à galérer et à se prendre des remarques le temps de faire leurs preuves ...

Pour ma part, j'estime qu'il n'y a pas plus inhumain que ce boulot, c'est risible vu le paradoxe ... Mais j'en ai une vision très noire donc forcément ...

Quiebro13

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Posté le 28/07/2019 à 18h53

Je ne pense pas que le nombre de patient soit le problème principal ...

Clairement ça tournait beaucoup mieux et ça se passait beaucoup mieux quand j'étais chez les adultes et que l'on en avait 28 ... plutôt que la chez les ados où il y en a ... 4 !!

Ouai on a 4 patients !! Pour 2 IDE la nuit (3 soignants/éducateurs/AMP la journée).

Je passe du temps avec mes patients ça c'est sûr que ça n'a rien à voir avec un service somatique, là journée les équipes font beaucoup de sorties, d'activités etc... c'est pas le même délire que juste passer pour filer les médocs et faire les pansements.

MAIS rien ne se passe, j'ai l'impression que les prises en charges n'avancent pas, que l'on fait du gardiennage plus qu'autre chose !
Quand aux releves on te dit " RAS " p'tain mais en 8h que tu as passé avec ton patient tu n'as rien fait ? Rien observé ?

Nouvelle entrée " oh ben je te laisse aller lire le dossier patient sur l'ordi " ....

Quand tu demandes un truc, genre basique des couvertures, un traitement, un change et qu'il faut le répéter pendant 4/5 jours pour qu'enfin quelqu'un l'entende.

Je parle même pas des plannings, des horaires à la carte de chacun, du jeune DE qui se prend pour un médecin et qui te rigole au nez quand tu lui fais remarquer qu'il a fait de la merde, des médecins d'astreinte qui te font des prescriptions juste hallucinantes, ou de ceux qui ne veulent pas se déplacer " pour une simple agitation " ah ben en fait une patiente à cassé le nez d'une collègue et vient de mettre le feu à sa chambre ...
Des mails de menaces du médecin de services, de la gestion des lit (genre des entrées sur des lits de permissionnaire je le mets ou la nuit s'il revient parce que sa permission se passe mal ??)
Bon et encore je dois tellement zapper des choses....

L'équipe va mieux même si celle de nuit va changer, on a des infirmiers un peu plus âgés qui ont appris à bosser, le médecin va aussi changer on sait ce que l'on perd pas ce que l'on gagne ...
Une éducatrice vient d'être mise à la porte ...

Bref non nous ce les problèmes ne viennent pas du nombre de patient ... ou du manque de moyens financiers ...

Remarque mes proches ont aussi l'impression que je fais de la garderie ou du centre aéré alors bon...

Juu_lie

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Posté le 28/07/2019 à 19h10

Nous le problème vient de tout...du nombre de patients, du je m'en foutisme d'un peu tout le monde qui du coup fait que manque toujours quelque chose, le manque de moyens, le manque de respect des médecins, lz fait qu'ils fassent jamais les prescriptions correctement...

Et puis alors jusque la c'est nos planning qui nous faisaient tenir...
Mais notre cadre a démissionné après un burn out et ils vont tout nous modifier et nous sucrer nos avantages...

Et puis alors comme y'a énormément d'arrêts (burn out la plupart...) on est sans cesse rappelés sur nos repos.....
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