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Super nanny en justice
Posté le 07/12/2016 à 20h23
Moi je crois qu'une fessée de colère, qu'une gifle de frayeur, ça se pardonne.
Exemple : Mon frère, plus jeune, a prit une route en sens inverse en vélo. Plein de circulation. Je l'ai vu arriver, me rejoindre, fier de son coup... La gifle est partie. J'ai eu la peur de ma vie, il aurait pu se faire tuer, c'était inconscient, inconsidéré. Et moi j'ai eu une réaction de panique. --> Personne ne m'en veux, lui ne s'en souvient même pas.
Exemple 2 : Samara m'a poussé, mise par terre et piétiné VOLONTAIREMENT (j'insiste, on ne parle pas de qqchose de naturel comme un coup de cul ou un saut de joie). Je lui ai collé un rouste aussi. --> 4 mins après elle était collée à moi et me suivait partout... Je ne crois pas l'avoir tourmentée non plus.
Bref, ne pas tout ranger dans des "cases". Ne pas se fier à tous les écrits non plus.
Ce sujet en devient ridicule car on part dans le l'extrémisme pur et dur.