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Mais la belle Esmeralda sait se faire attendre, nous ne la récupérerons qu'un mois après (suite du débourrage), date qui court toujours aujourd'hui puisqu'elle arrivera dans son nouveau pré le 1er avril (... Pas de blague hein ? ).
mais j'ai aussi plus de photos d'eux tous que de moi-même
(proprio pas subjectif du tout
)


Bref elle fait bien la différence sur qui la manipule. A sa décharge on va dire que le boulot durait, tellement il y avait à faire.
. Au pas elle marche un peu sur des oeufs mais au trot c'est la plus forte boiterie que je ne lui ai jamais vue. Bon alors avec la pareuse on cherche une allée en dur, ce sera le chemin goudronné dehors : 0 boiterie.
Hummm donc talons descendus elle boite sur les terrains irréguliers. Il va falloir lui laisser plus de talons aux prochains parages.
, toujours de la boiterie au trot sur les cailloux (même si un peu moins violent). Bref ça parait vraiment être une sensibilité aux cailloux.
)
) pour la sortir et lui changer du bac à sable, mais il va falloir voir quel sera son état ce jour-là et le trajet prévu (pas de trot sur des chemins irréguliers pour elle).
Merde elle n'est pas du genre à louper le repas !
Donc je la ressors du pré et la fais marcher pendant que les autres finissent de nourrir. Sur le chemin elle nous fait du crottin tout mou plusieurs fois, dédaigne l'herbe et est à la peine pour marcher. On écoute son transit, ça gargouille beaucoup. Piqûre anti-spasm puis marche à nouveau et on l'a met en paddock près de la carrière pour avoir un oeil sur elle.
. Ouf une bonne frayeur, mais heureusement que c'est arrivé juste au moment où on repassait nourrir les prés car 15 mn avant elle était au top.
). Sur les transitions descendantes se sont enchaînés des trot -> pas -> arrêt et trot -> arrêt, encore de bons sujets de travail pour la petite.
.

