Quelques notions de réflexion

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Patooo

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Quelques notions de réflexion
Posté le 15/08/2017 à 12h01

Bonjour,

je vous partage aujourd'hui un texte très bien écrit, sur la longévité d'un cheval qui est d'une cinquantaine d'années et non pas 15 ou 20 comme beaucoup peuvent le penser

A bon entendeur ! et à votre réflexion !

ESPÉRANCE DE VIE DU CHEVAL

Longévité de 50 ans mais espérance de vie moins de 15 ans! Un grand écart qui fait mal ! Le constat est amer. Le décalage entre la longévité programmée et l’espérance de vie est accablant. Il semblerait qu’en fréquentant l’homme, le cheval a du mal à s’assurer un bon avenir.

L’âne s’en sort visiblement mieux en vivant le plus souvent en extérieur. Sans doute la considération sociale sauve l’âne mais tue le cheval. L’âne est considéré comme « vulgaire » alors que le cheval assure une place sociale à son propriétaire. Le cheval est soi-disant « choyé » dans son écurie alors que l’âne vit dehors. Poussons encore plus loin les comparatifs : le poney, qui n’est autre qu’un robuste petit cheval que l’homme a modelé pour travailler dans les mines, bénéficie lui aussi d’une espérance de vie supérieure à celle du cheval. Les centres équestres constatent une vie plus longue chez le poney, qui est plus rarement dans un box et très souvent sans fers. Où que l’on se tourne, nous constatons que les équidés qui échappent à l’intervention humaine s’en sortent mieux en ayant une espérance de vie plus longue ! Le cheval libre en espace ouvert s’en sort beaucoup mieux que le cheval « soigneusement » entretenu dans son box, ferré et soumis au mors. [...]

Alerté par cette incroyable constat, nous avons cherché à comprendre comment nous en étions arrivés là. Le cheval moderne aurait-il un défaut récurrent? Serait-il à ce point mal « conçu » par la nature? La sélection naturelle n’aurait-elle pas fait son travail au point de laisser survivre des individus fragiles ?… Bizarre, bizarre. En 2001, la thèse des docteurs vétérinaires LEBLOND A., LEBLOND L., SABATIER P. , SASCO A.J., observait qu’il y avait, pour un cheval, 11 fois plus de chance de mourir de coliques que de vieillesse…Troublant mais explicable.

Devant un tel constat, comment ne pas préconiser un remède simple et efficace : libérer les chevaux enfermés ! [...] Les chevaux libres que nous côtoyons depuis plusieurs décennies ne sont pas touchés par ce type de désordre. Lors d’un voyage sur l’île de Barbuda, où circulent librement les chevaux, pas de signalement significatif… D’où vient donc cette « maladie » qui tue les chevaux les plus surveillés? En effet nous constatons que les chevaux les plus « choyés » sont mystérieusement frappés par ces coliques et autres désordres, véritable hantise des propriétaires.

Y AURAIT-IL UNE CALAMITÉ QUI FRAPPE LES CHEVAUX AU POINT DE LES FAIRE MOURIR SI JEUNES ?!?

Oui, il y en a une… c’est bien l’inadéquate intervention de l’homme dans la vie du cheval qui le fait souffrir systématiquement et mourir prématurément ! Dans toutes les études sur les problèmes digestifs que nous pouvons consulter, à aucun moment le quotidien de vie imposé par l’homme n’est mis en cause de façon primordiale. C’est pourtant lui qui génère un processus destructeur et déclenche un véritable engrenage infernal. Seule une approche holistique peut déterminer l’origine de cette catastrophe pour le cheval. Deux éléments majeurs sont légèrement abordés et souvent ignorés dans les thèses et études diverses consacrés au problème des troubles digestifs : 1- la sédentarité 2- l’alimentation

Quand une étude arrivant du Texas révèle que les chevaux présentant des « tics à l’air » sont particulièrement sujets aux coliques, elle dit sans le dire que des chevaux enfermés, donc sujets à des dérèglements comportementaux et soumis à l’immobilisme, sont incapables de s’assurer un transit intestinal conforme. Était-il vraiment nécessaire de produire une longue étude sur le sujet pour constater que l’enfermement d’un individu qui doit parcourir 10 à 20 kilomètres quotidiennement pose un problème induit de transit? D’autre part, il existe bien un lien direct entre la distribution de la nourriture et les coliques.

Un cheval libre sur un espace ouvert passe 70 % de son temps à manger. En box ou en paddock, le faible nombre de repas incite le cheval à une rapide surconsommation qui génère inévitablement des problèmes gastriques mais aussi un ennui certain. Le cheval n’a plus rien à faire entre les repas. En milieu libre et ouvert, le cheval prend 12 à 15 repas par 24 h. L’estomac, « poche chimique » d’une dizaine de litres, petite par rapport à la corpulence du cheval, le contraint à fractionner la prise d’aliments. Cette fonction l’occupe en permanence. La lente mastication stimule les glandes salivaires et le fonctionnement de l’estomac. En box, pour compenser, le cheval n’hésite pas à « manger » sa porte ou sa litière et risque avec la paille et les copeaux une « impactation » au niveau du gros intestin. [...]

La qualité de l’eau est aussi un élément important. Nous avons tous observé que les chevaux vivant en milieu ouvert préfèrent l’eau saine d’un ruisseau à l’eau « trafiquée » du robinet. Nous n’aborderons pas ici l’influence de la qualité de l’air respiré –poussières, pollution…- qui elle aussi peut porter préjudice. Voilà pour les implications majeures d’un confinement et d’une douteuse alimentation « contrôlés » par l’homme. Avec 2 ou 3 repas par 24 h, nous sommes loin de ce que réclame le métabolisme du cheval. Immobile et contraint en un espace restreint et monotone, le cheval développe des pathologies diverses qui s’empilent et le font mourir jeune. Comme pour le ferrage qui participe à une mauvaise élimination des toxines et provoque de graves désordres, l’alimentation désastreuse ainsi que les néfastes conditions de vie au quotidien détruisent lentement mais sûrement notre animal favori. Sordide évidence.

La réalité sociale et économique est-elle en capacité de supporter un changement d’attitude et de pratique. Pas sûr ! Trouver des espaces pour le bien des chevaux demande une organisation qui risque fort de perturber « le juteux marché du cheval ». Et puis on désire tant avoir son cheval à sa porte, sous nos yeux comme pour nous rassurer. On le rentre la nuit alors que le cheval a principalement une activité nocturne. C’est un noctambule que nous contrarions en l’enfermant la nuit. [...] Les « spécialistes » équins devraient avoir une obligation de conseil et de résultat, ce qui changerait les données du problème. C’est eux qui devraient imposer la mise au vert des chevaux en définissant un protocole de transition entre box et espace ouvert. Tout ceci serait bien plus gratifiant et surtout plus efficace en termes de soin ! [...]

Trop peu veulent de cette mutation pourtant bénéfique pour notre relation avec le cheval. Et puis, il faudrait, pour monter à cheval, se rendre sur son lieu de vie. Inacceptable pour l’homme qui a la fâcheuse habitude de tout ramener à lui. Je veux voir un orque, je l’installe dans un bassin, voir un lion, je le met en cage, monter à cheval, je l’installe en boxe. Véritablement, le cavalier joue à l’enfant gâté et tant pis pour le cheval. Il souffrira et mourra plus jeune pour son seul bon plaisir. Un cheval va mal ? Pas de souci, tout est sous contrôle… Un « professionnel » va le réparer : « J’attends les pièces, mais repassez vendredi, vous aurez votre cheval en état de marche. » Un coup d’anti-inflammatoires, une névrectomie, deux talonnettes, une facture salée et c’est reparti. Pas pour longtemps car souvent, au mieux ça détruit lentement l’organisme au pire ça craque sans délai d’un autre côté. Avec force interventions vétérinaires, beaucoup d’inquiétude et des résultats contestables, les choses se dégradent sans espoir de rémission.

Seul un traitement à la source peut ouvrir la voie vers une guérison. Dans le même temps, soigneusement, de savantes thèses oublient la véritable cause des désordres qui tuent les chevaux. La simple vérité est-elle trop difficile à entendre, le changement de comportement trop troublant ? Convient-il de ne surtout pas proposer des solutions alternatives à des propriétaires trop naïfs, trop dociles, trop sourds ??!!? Décidément, la transition du cheval machine de guerre ou agricole au cheval compagnon de « loisir » est bien longue et difficile. Les mauvaises habitudes perdurent. L’armée a su transformer sa « cavalerie » en passant des chevaux aux véhicules automobiles, mais nous a laissé les pratiques anciennes : ferrage, box... Funeste héritage. Ceux qui choisissent d’avoir un cheval enfermé dans un garage se trompent. Aujourd’hui, il y a des motos tout terrain pour remplir la fonction qu’ils souhaitent. Ils pourront ainsi tout à loisir changer un pneu usé, des pièces endommagées et surtout tenter de modifier le carburant. En ce qui concerne le cheval il n’est pas correct, ni possible de le réduire à une mécanique que l’on équipe. Malheureusement il est à craindre que le « cheval tuning » ait encore de mauvais mais nombreux jours devant lui. Nous ne cherchons évidemment pas à culpabiliser mais quand on dit aimer son cheval cela impose un certain nombre de démarches, entre autre connaître et respecter ses besoins vitaux…

MOURIR AVANT 15 ANS ALORS QUE LA NATURE EN OFFRE 50, C’EST TROP DUR !

Devant cette triste réalité, nous ne pouvons qu’être révoltés par notre propre bêtise. Nous avons du mal à garantir le minimum vital aux individus des espèces animales mais aussi à ceux de notre propre espèce. Il semble bien que l’homme – imbéciloprédateur -agit par manque de lucidité. Tous les appels semblent vains. Comment vaincre les blocages psychologiques ? L’homme ne serait donc pas « équipé » pour mettre fin au désespoir des chevaux, ni à celui de l’humanité, ni à celui de la vie sur cette planète que nous aimons. Nous devons devenir une espèce responsable. Répondre à cette espérance serait la plus noble conquête de l’homme!

Édité par patooo le 15-08-2017 à 15h27

Eaglet

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Posté le 15/08/2017 à 12h29

L'art de faire des grands discours en se basant sur pas grand chose...

Sur quoi se base l'auteur pour affirmer que le cheval a une espérance de vie de 50 ans ? Existe-il une étude scientifique (sérieuse) qui donne cette estimation de l'espérance de vie ? J'en doute un peu... Sachant qu'en milieu naturel un cheval à une espérance de vie moindre, puisque le premier bobo venu peut s'empirer dramatiquement s'il n'est pas soigné correctement.

Et d'ailleurs l'auteur, c'est qui ? C'est bien beau d'écrire des pavés en prônant telle ou telle chose, mais déjà j'aimerais savoir qui se permet de crier haut et fort qu'il faut relâcher tous les chevaux dans la nature et que l'Homme est un mal terrible pour eux. Moi aussi je peux prêcher pour la libération des hamsters domestiques enfermés en cage, c'est pas pour autant que j'aurais la crédibilité et les connaissances nécessaires pour être écoutée par des gens sérieux.

Domdomtribu

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Posté le 15/08/2017 à 12h34

eaglet c'est n'importe quoi ! quand je vois un cheval de 30 ans dans quelle état il est et en plus toi qui sort une ânerie pareil je ne pense vraiment pas qu'un cheval peut vivre jusqu'à 50 ans

Édité par domdomtribu le 15-08-2017 à 12h36



Klavel

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Posté le 15/08/2017 à 12h34

. Qui a écrit ce texte? Quelles sont les sources de l'auteur (je ne vois que deux études citées)? Et où peut-on trouver les études mentionnés ? Ça c'est la base quand on écrit un article
Deuxièmement, les études mentionnées ne portent absolument pas sur la longévité du cheval que l'auteur estime à 50 ans.

Personnellement... Autant je suis d'accord pour dire que trop de chevaux vivent dans des conditions inadaptées à leurs besoins physiologique et psychologique autant cinquante ans ça m'étonne beaucoup. De mémoire, le record du monde est de 62 ans (Old Billy, XVIII siècle)
De même dans la vie sauvage, l'espérance de vie du cheval n'atteint jamais les cinquante ans.
En moyenne, un cheval vit entre 20 et 30 ans. Avec des extrêmes: décès en dessous de 20 ans et décès au dessus de 30 ans.

L'hypothèse selon laquelle les chevaux peuvent vivre cinquante ans a été démenti par de nombreuses études basées sur l'étude d'ossements des chevaux préhistoirique... Qui ne dépassait pas 15-20 ans.

Autant c'est une bonne chose que de sensibiliser aux besoins fondamentaux du cheval en tant qu'être vivant. Autant avancer des notions fausses ne fait que discréditer une réflexion qui pourrait être intéressante et importante.

Édité par klavel le 15-08-2017 à 12h36



Myosotis81

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Posté le 15/08/2017 à 12h52

Même remarque que les précédents, quelles sont les sources qui affirment qu'un cheval peut vivre 50ans ? Dans mon entourage je n'ai quasiment que des chevaux qui vivent au pré, certains très préservés du travail et ils n'ont jamais dépassé les 35ans.

Par ailleurs j'avais déjà lu quelque part (bon je n'ai pas de source non plus) que l'espérance de vie des chevaux sauvages était de 8ans seulement.

Texaneandme

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Posté le 15/08/2017 à 12h53

domdomtribu j'ai déjà rencontré une jument de 45 ans. Elle se portait à merveille !
Mais ça reste une exception.

Sujet à polémique..

Lenahaha

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Posté le 15/08/2017 à 13h01

La beauté des réseaux sociaux ... On sort un beau texte bien écrit sans aucun fondement et tout le monde se rue dessus.

Je vois de plus en plus tourner cette info' d'une espérance de vie de 50 ans chez les chevaux "sauvages". Moi je veux bien mais qu'on me le prouve. Dans les populations de marron, on a souvent une espérance de vie inférieur a 15 ans (voir 10 ans chez les femelles!). Alors trouver des chevaux de 50 ans? Laissez-moi rire!

N'en déplaise aux biens pensant, l’espérance de vie des chevaux a augmenter avec la domestication.

Qu'on soit contre la vie en box et qu'on la trouve inadapté, OK. Mais qu'on raconte un tas de bêtises pour appuyer ses dires, NON!

Klavel

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Posté le 15/08/2017 à 13h29

Selon wikipédia (vieillesse du cheval, notes numéro 3) l'un des premiers à avoir avancé l'idée que les chevaux pouvaient vivre jusqu'à 50 ans est Pierre Enoff dans "Planète cheval au naturel" numéro 15 (2009)... Se basant sur une étude de 1993.
Petit lien: https://equi-libre.fr/site/chevaux/le-desespoir-des-chevaux/ (il s'agit du site de Pierre Enoff)

D'ailleurs l'article cité ici provient de son site:
https://equi-libre.fr/site/chevaux/esperance-de-vie/

Par contre, impossible de trouver l'étude de 1993 sur laquelle il se base... Et qui a été démenti je le rappelle.

Patooo

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Posté le 15/08/2017 à 13h38

c'est effectivement un texte qui est sorti sur les réseaux sociaux

pour ma part ce que je retiens plus ou moins de ce texte c'est qu'à trop vouloir protéger nos êtres chers, en les surprotégeant, on s'éloigne grandement de leurs besoins fondamentaux et vitaux ce qui provoque pas mal de dégâts que l'on connais

plus qu'un débat sur cette longévité de 50 ou non, ce que je constate c'est que peut de grands chevaux vivent au delà de 30 ans, et quand ils dépassent 25 ans, on a l'impression que c'est déjà un exploit

dans ce texte il y a un parallèle fais avec les ânes, vous allez me dire oui ce n'est pas le même bestiaux, certes, mais leurs besoins fondamentaux et vitaux, sont très semblables

personnellement c'est sans cesse comparaison avec des chevaux sauvages et primitifs me fais sourire, le cheval a été domestiqué il y a bien longtemps, cette comparaison est utile juste pour se rappeller d'où il vient et comment ils fonctionnent pour ceux qui oublieraient que c'est un herbivore, mais je pense qu'il est juste de penser que l'homme a certainement améliorer son espérance de vie

Patooo

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Posté le 15/08/2017 à 13h38

Merci pour tes références klavel

Legend281

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Posté le 15/08/2017 à 13h46

A partir de 15 à 20 ans des poils blancs apparaissent sur la tête, le corps, il y a une fonte musculaire, le dos se creuse, etc.. .ça m'étonnerai qu'il vive 50 ans

Legend281

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Posté le 15/08/2017 à 14h07

pour vivre longtemps faut maintenir des conditions idéales, même à l'état sauvage les conditions ne sont pas toujours idéales, certains ont essayé ils ont eu des problèmes


Édité par legend281 le 15-08-2017 à 14h07



Inextenza

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Posté le 15/08/2017 à 14h22


patooo a écrit le 15/08/2017 à 13h38:
c'est effectivement un texte qui est sorti sur les réseaux sociaux


Donc
- merci de citer les sources quand l'étude n'est pas de toi, et si elle l'est, les éléments d'origine de l'étude
- «réseaux sociaux» -> crédibilité zéro… même pas, crédibilité négative.

Et, en subsidiaire, ce serait bien de mettre un titre plus explicite. Là, c'est putaclic.

(Opinion perso: un cheval d'un demi siècle, j'aimerais bien voir ça, et ce n'est pas faute d'avoir grandi au milieu de chevaux rustiques en quasi permanence au pré sauf pour les mises bas et les hivers. Inversement, je serais curieux de voir des cavaliers qui pensent qu'un cheval de 15 ans est au bout de sa vie. Bref…)

Elodu25

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Posté le 15/08/2017 à 15h00

Sachant comme un cheval c'est fragile et souvent pas très malin (mdr) , au moindre bobo , on sait qu'à l'état sauvage , ils décèderaient mangé par leur prédateur !

Elodu25

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Posté le 15/08/2017 à 15h09

Enfin personnellement , mon cheval serait moRt depuis longtemps vu le boulet

Lotiriel

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Posté le 15/08/2017 à 15h19

Pour " Old Billy" 62 ans reste un âge supposé, car il n'y pas de preuve formelle qu'il a bien était a cet âge. Personne ne sait réellement quand il est né, car étant un poney de campagne il n'y avait pas de registre comme c'était le cas avec les chevaux de course.
En France il y a eue " L'Ours" étalon Camargue mort a 47 ans, au début des années 90.
Sinon ensuite " Emir du Ventoux" un hongre barbe qui était au Pech Petit, mort a 44 ans.
Mais tout cela reste quand même des cas rare ces longues longévité.
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