Cheval blessé au box : responsable ?

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Layti

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Cheval blessé au box : responsable ?
Posté le 18/08/2017 à 14h37

Bonjour à tous !

Je sais que d'autres sujets existent mais je n'ai pas trouvé de réponses.

Je vous explique :
Mon cheval est en pension box avec paddock privatif (derrière son box) en pavé. Hier, je reçois un appel du club me disant de venir car mon cheval est en sang. J'arrive au club et je constate rapidement qu'effectivement il a du se passer quelque chose. Ils étaient en train de faire les box, je retrouve mon cheval en sang blessé quasiment partout. D'après eux il serait tombé dans son paddock. Cependant dans le paddock aucune trace de sang (le box était comme par hasard déjà vidé). Après avoir fait un check du paddock et du box il n'y a aucun endroit ou il aurait pu se blesser à ce point là.
Y aurait-il eu un problème en faisant le box ? Qui est responsable des soins vétérinaires ? Ai-je des recours contre le club ?

Merci pour vos réponses

Oasis38

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Cheval blessé au box : responsable ?
Posté le 19/08/2017 à 09h59

Mon ancienne jument avait eu des blessures similaires... après avoir voulu sauter la porte du box (elle était en essai, on avait bien dit qu'elle ne supportait pas le box) elle était pas passé et a fini par exploser la porte au passage... Même genre de blessures (pas de trous en revanche)

Lalie34

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Cheval blessé au box : responsable ?
Posté le 19/08/2017 à 11h12

Ma jument s'est déjà fait une belle entaille toute seule au box, face externe d'un membre en plus.

Je ne comprends pas vraiment l’intérêt d'une dalle en béton, ou pavée, c'est glissant.

et si tu n'as pas confiance en les gens qui s'occupent des écuries, tu peux partir.

Mundial

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Cheval blessé au box : responsable ?
Posté le 19/08/2017 à 12h29

Hier, ma chère maman s'est "couronnée" en "se prenant en pince" sur une brindille dans le chemin qui va de la maison à l'écurie. Certes, cela ne serait pas arrivé si le chemin avait été méticuleusement ratissé avant son passage!

Tout cela pour dire que tous les êtres vivants peuvent glisser, chuter, se cogner le plus bêtement du monde et que le coût de sécurisation maximum d'un environnement peut être excessif par rapport au risque couru!

Les pensions ne sont responsables qu'en cas de faute de leur part et l'appréciation de la faute doit tenir compte de la particularité de la garde d'un être vivant au comportement souvent imprévisible!

Crinsdorphee31

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Cheval blessé au box : responsable ?
Posté le 19/08/2017 à 12h35

mundial en tant que professionnel justement, ils doivent prouver qu'ils n'ont pas fait de faute !
C'est subtil, mais assez important pour le préciser à noiveau...

Crinsdorphee31

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Cheval blessé au box : responsable ?
Posté le 19/08/2017 à 12h43

Comment les boxes sont nettoyés ? Cheval dedans ou non, paillés rapidement ou laissés à nu un moment, ...

Maintenant, si le cheval a 'bêtement' glissé, je maintient que dans un espace restreint il n'aurait pas eu autant de 'violence' dans le mouvement...

Là il aurait sacrément glissé sur un espace savonné , pour se blesser de la sorte au boxe ou dans sa courette...

Si les sols en ciment des boxes ou des courettes sont trop lisses, c'est une erreur de construction, mais cela a été accepté par la proprio du cheval à la signature du contrat ; rien à dire.

Cabochons

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Cheval blessé au box : responsable ?
Posté le 19/08/2017 à 13h02

crinsdorphee31
C'est toujours aux clients à prouver qu'il y a faute,, et non l'inverse

Crinsdorphee31

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Cheval blessé au box : responsable ?
Posté le 19/08/2017 à 13h31

cabochons hummm pas sûre dans le cas d'une pension, non...

Edit : c'est le responsable de la pension qui est responsable des chevaux qu'il a sous sa garde, c'est donc à lui de prouver qu'il n'a pas fait d'erreur

Édité par crinsdorphee31 le 19-08-2017 à 13h35



Sapphire

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Cheval blessé au box : responsable ?
Posté le 19/08/2017 à 14h08

crinsdorphee31 , je suis d'accord avec toi: un propriétaire qui paye une pension pour un service, paye aussi pour une surveillance, des soins et une assurance en cas de faute. Comme toi, j'estime que les circonstances et les blessures du cheval (pas une simple égratignure ici, ça ressemble vraiment à une "rencontre" avec une porte et/ou un objet contondant, non de simples éraflures) révèlent une faute de la part de la pension.
Et malheureusement, c'est un grand classique de dire qu'on n'a rien vu et qu'on n'est pas responsable. A ce moment-là, autant louer un boxe ou de l'herbe si les gérants se déchargent ainsi. Par contre, dans cette histoire, ce qui va être très compliqué c'est de prouver la faute et donc la responsabilité du "bon père de famille"... car ça sent la mauvaise foi à plein nez.

Carapace

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Cheval blessé au box : responsable ?
Posté le 19/08/2017 à 14h39

Un cheval peut se blesser seul.... J ai vu un cheval couvert d hématomes et de plaies, il avait fait une colique pendant la nuit.... Les gérants qui logeaient sur place ne l ont pas entendu.... Leur maison n était pas attenante aux écuries ! Sont ils mauvais pour autant, incompétent ou tout simplement malchanceux sur ce coup....

Après y a t il des choses précédentes qui portent à croire que les gérants sont négligeants....

Les gérants doivent surveillance mais cela ne veut pas dire 24/24 les yeux braqués sur le cheval... Et meme si ils sont presents parfois ils ne peuvent pas intervenir, trop dangereux...

Ou alors le prix des pensions va augmentée...

Sapphire

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Cheval blessé au box : responsable ?
Posté le 19/08/2017 à 15h05

carapace , c'est bien pour cela qu'il faut établir la responsabilité ou non des gérants. Ici, il y a beaucoup d'éléments qui clochent: le nombre et la nature des blessures, le flou quand aux circonstances, l'absence de sang dans le boxe et le paddock (le cheval étant en sang, il y aurait dû y avoir encore des traces quelque part), de poils collés.

Surtout, des écuries qui cotisent pour une vraie couverture en ce qui concerne les assurances, ça existe, mais souvent les écuries beaucoup plus négligentes pratiquent les mêmes prix...
Et ce qui a fait le plus augmenter les tarifs des pensions ne sont pas les assurances mais la hausse de la TVA = autre débat !

Mundial

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Cheval blessé au box : responsable ?
Posté le 19/08/2017 à 16h35

J'ai volontairement laissé de côté dans ma réponse la question de la charge de la preuve car elle est assez technique, peut-être un peu trop pour des non-juristes si l'on veut rentrer dans toutes les subtilités du débat.

La question est liée à la qualification du contrat. Si le contrat est qualifié de dépôt, le professionnel devra démontrer, en principe, son absence de faute. A l'inverse, ii le contrat est qualifié de contrat d'entreprise, ce qui est le cas pour les activités d'entraînement, la preuve de la faute reposera sur le pensionnaire.

Même si la qualification en contrat de dépôt reste encore très répandue, il faut tout de même savoir que les juges du fond font de plus en plus preuve de souplesse et admettent de plus en plus facilement la preuve de l'absence de faute. Par exemple, si le professionnel démontre que les soins apportés sont raisonnables au regard des usages du milieu. Ceci résulte à la fois du bon sens des magistrats qui comprennent qu'un animal ne se garde pas aussi facilement qu'une chose inanimée et des critiques doctrinales adressées à la qualification du contrat de pension en contrat de dépôt.

Voici d'ailleurs un extrait d'une publication sur ce thème que vous pourrez retrouver in extenso avec son appareil scientifique dans l'ouvrage suivant https://www.amazon.fr/Ranger-lanimal-Collectif/dp/2351132297


[i]L’analyse du contrat de mise en pension d’un animal moyennant rétribution en dépôt salarié est passablement constante, bien que parfois critiquée . Elle vaut tant à l’égard des équidés que des canidés . Elle présente au moins un avantage pour le professionnel, en ce sens qu’en application de l’article1948 du Code civil, le dépositaire peut retenir le bien déposé jusqu’à l’entier paiement de ce qui lui est dû .
Sur le terrain de la responsabilité, la qualification de la prise en pension en contrat de dépôt est, en revanche, particulièrement favorable au propriétaire car lorsque l'animal se blesse pendant la phase d'hébergement, il n'appartient pas au client d'établir une faute du dépositaire. Toute la question est alors de savoir si ce régime, qui fait peser une présomption de faute sur le dépositaire, est adapté lorsque l’objet du dépôt est un être vivant. Pour répondre à ces interrogations il convient tout d'abord d'examiner les textes applicables. Ils sont anciens, mais n'en donnent pas moins quelques précieuses indications.
« Selon l’article 1927 du Code civil, le dépositaire doit apporter dans la garde de la chose déposée, les mêmes soins, qu'il apporte dans la garde des choses qui lui appartiennent » . Toutefois la responsabilité de droit commun de l'article 1927 est aggravée dans le cas où il s'agit d'un dépôt salarié visé par l'article 1928. Or, un grand nombre de contrats de garde ou de pension sont des contrats à titre onéreux donnant lieu à une responsabilité alourdie.
Il n'est pas inutile d'observer que l'article 1933 dispose à son tour que le dépositaire n'est tenu de rendre la chose déposée que dans l'état où elle se trouve au moment de la restitution et que les détériorations qui ne sont pas survenues par son fait sont à la charge du déposant. Le développement d’une maladie chez l’animal ou l’accident dû à un comportement anormal ou irrésistible de l’animal entre-t-il dans cette dernière catégorie ? Les fondements textuels ne donnent pas de solution déterminée ; ils constituent simplement un cocktail complexe à l’aune duquel il convient d’apprécier les obligations du dépositaire dans le cas très particulier où l'objet du dépôt est un être vivant.
Un rapide coup tour d’horizon de la jurisprudence en matière de pensions animalières révèle deux tendances . Un premier courant considère que le dépositaire salarié est tenu d'une obligation de moyens renforcés qui lui permet pour s'exonérer de sa responsabilité de prouver qu'il n'a commis aucune faute dans l'exécution de ses obligations. Cette faute, ou plus exactement cette absence de faute, s’appréciera par rapport au modèle du bon professionnel. Un deuxième courant prétorien, illustré notamment par un arrêt de la cour d'appel d'Amiens du 24 mai 2007, considère que le dépositaire est tenu d'une véritable obligation de résultat et, en conséquence, n'autorise son exonération qu’en présence d'une cause étrangère . Ce deuxième courant fait l’objet de critiques au motif que l’aggravation de la responsabilité du dépositaire salarié ne doit pas conduire à faire peser sur le dépositaire une obligation de résultat au sens strict, celui-ci devant conserver la possibilité de s’exonérer en prouvant son absence de faute . Examinée dans une perspective animalière, la solution qui consiste à transformer l’obligation de garde du dépositaire en obligation de résultat se révèle en décalage avec la réalité du vivant. En effet, le bon sens commande de tenir compte pour déterminer l'étendue de l'obligation de garde de la nature de l’objet gardé ; comme l’observe le professeur G. Pignarre, on ne garde pas de la même manière un coffret de bijoux, des marchandises, un animal, des valeurs mobilières ou un cadavre . Pour en revenir à la prise en pension des équidés, deux exemples simples permettent de démontrer qu’un être vivant ne peut pas être conservé, surveillé, soigné de la même manière d’une chose inanimée. Le premier exemple est lié à sa réception initiale. Le second au contenu de l’obligation de garde et de surveillance.
1°) La réception
Le dépositaire étant tenu de démontrer que la détérioration de la chose ne lui est pas imputable, la doctrine considère qu'il doit avoir la prudence, au moment de sa remise initiale, de vérifier l'état de celle-ci et, si nécessaire, d’en conserver une preuve, par exemple par un constat contradictoire . La pratique démontre que cela n'est pas toujours aisé en matière d’animaux. L’arrivée d’un équidé dans une écurie peut se faire de nuit, en l’absence du propriétaire. L’exploitant peut-il refuser l’équidé manifestement boiteux ? Celui-ci n’est pas une marchandise ordinaire. Il serait incorrect, peu compatissant, et contraire aux usages de faire recharger l’équidé blessé, sachant en outre qu’il peut faire partie d’un transport groupé destiné à poursuivre sa route sur plusieurs centaines de kilomètres. La situation est plus délicate encore lorsque celui-ci arrive de nuit et que le transporteur ne maîtrise par la langue française. Plus généralement, il n’est pas dans les usages lorsqu’un équidé arrive dans une écurie d’exiger une visite vétérinaire, ni même simplement de le faire fonctionner aux trois allures avant de le mettre dans un box ou dans un paddock. Plus précisément, lorsque le cheval est remis au dépositaire dans le cadre d’une pension simple, celui-ci doit se borner à le mettre dans son box après une inspection sommaire et, éventuellement, si cela entre dans la convention des parties, à le faire paddocker. En conséquence, une éventuelle boiterie ou irrégularité dans les allures vives permettant d’établir un problème de locomotion antérieur à l’arrivée dans l’écurie ne sera pas révélée avant la mise au travail du de l'équidé par son cavalier, laquelle peut intervenir que le lendemain, voir le surlendemain. Tout cela pour indiquer que la précaution élémentaire d’un examen de l’état de la chose au moment de sa remise initiale, si elle n’est pas à écarter en matière d’animaux, n’en demeure pas moins beaucoup plus difficile à mettre en œuvre que pour les choses ordinaires.
2°) La nature de la responsabilité du dépositaire salarié
Parallèlement, peut-on, à moins de basculer vers une responsabilité de plein droit du dépositaire, ignorer qu’un être vivant peut développer une maladie sans que celle-ci soit automatiquement imputable aux conditions de sa garde ? Viendrait-il à l’idée des juges de déclarer un internat responsable lorsqu’un pensionnaire est atteint d’une maladie. Tout au plus, pourrait-on en cas d’épidémie lui reprocher de ne pas avoir pris les mesures sanitaires pour entraver la propagation de celle-ci ? Pourquoi en serait-il autrement à l’égard des animaux ? Pour rester dans la même analogie, il en va de même lorsqu’un cheval se blesse seul dans un box ou un paddock. Nul n’ignore qu’un enfant peut se faire mal dans la cour de récréation la plus sécurisée. Comme l’école, le professionnel doit avoir la possibilité de démontrer que ses installations et les soins apportés sont d’une qualité telle qu’aucune faute ne peut lui être imputée. Le fait que le dépôt soit salarié implique simplement plus de rigueur de la part du professionnel que de l’ami qui héberge un animal à titre gratuit. Il ne s’agit pas d’aller au-delà, jusqu’à lui imposer une obligation de résultat, inadaptée aux êtres vivants et dont le coût en terme d’assurance mortalité, accident, invalidité, conduirait à une augmentation non négligeable du coût des pensions. Le risque du « vivant » doit reposer sur le propriétaire, libre à lui d’assurer son animal ou non, le professionnel chargé d’une mission de surveillance doit conserver la possibilité de dégager sa responsabilité en démontrant qu’il s’est comporté en « bon professionnel ». Son comportement, lié au degré de sécurité des installations ou de sérieux des soins doit, en outre, être apprécié en fonction des usages liés à la race, à l’utilisation et à l’environnement des animaux pris en pension. Il serait, par exemple, aberrant de reprocher à un club utilisant des chevaux réputés pour leur rusticité de ne pas les faire vivre en box individuels.[/i]

Maev-ghost

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Cheval blessé au box : responsable ?
Posté le 19/08/2017 à 18h51

Là, je ne sais pas si les gérants sont sérieux ou non.

Mais, parfois il faut arrêter de vouloir à tout prix chercher des responsables à tout va.

Un cheval peut tout à fait se blesser ainsi en glissant dans son box ou sa courette. D'ailleurs, je trouve que l'idée des courettes est assez dangereux pour ma part car glissante et pas adaptée pour des chevaux.

Une fois ça nous est arrivé un cheval qui se fauche dans son box une fois curé. Il avait quasi les même blessures que le tien et pas forcément du sang par terre: ça reste assez superficiels comme plaie.

On a appelé directe le proprio pour le prévenir, engendrer les 1e soins mais pas eu besoin de l'intervention du véto. Le proprio n'a pas chercher quoique ce soit auprès de nous car ce sont des choses qui arrivent, des accidents comme on peut le dire sans forcément qu'il y'ait responsabilité de qui que ce soit.

Sapphire

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Cheval blessé au box : responsable ?
Posté le 19/08/2017 à 18h57

maev-ghost , tu vois ça du côté gérant de pension, mais quand ça t'arrive en tant que propriétaire, t'as bien les boules !

Mes parents ont eu un cheval accidenté dans les conditions que tu décris: le cheval a glissé dans son box curé et s'est cassé la hanche (il avait beaucoup moins de plaies que le cheval de layti, plutôt des contusions). Dans leur malheur, ils ont eu la chance de tomber sur un gérant qui a endossé ses responsabilités et fait marcher son assurance: tous les frais ont été pris en charge y compris la pension jusqu'au rétablissement de leur cheval, et comme c'était un cheval acheté pour du cso déclaré inapte à la compétition, ils se sont vus rembourser la 1/2 de sa valeur.

Maev-ghost

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Posté le 19/08/2017 à 19h03

sapphire T'inquiète que l'on fait jouer les assurances en cas de gros pépins. Mais là clairement, pour deux plaies superficielles pas besoin d'engendrer de telles procédures.

Dans ton cas, c'est autre chose et là oui il y'a d'autres procédures à faire. Généralement, la quasi totalité de nos chevaux en pension sont assurés et les frais graves comme tu décris sont pris en charge par les assureurs.

Spaghett

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Cheval blessé au box : responsable ?
Posté le 19/08/2017 à 20h40

comme maev-ghost pour moi ce cheval était dans son box curé , il a du glisser et se retrouver allongé et il a du pédaler un moment pour se relever s'il y est arrivé seul , tous les chevaux en box ou presque ont leur box curé alors qu'il sont dedans c'est très courant , et le temps de pailler il peut se passer qq minutes qui peuvent suffire a un accident
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