Et oui.....
Nous voilà rentrées....
Pour ma part encore un peu azimutée, il n'y a pourtant que 2 h de décalage horaire.
Plus d'un an et demi à rêver à ce voyage, à économiser aussi, et hop ! fini !
On a été deux à profiter un peu plus de l'Islande avec quelques jours passés à Reykjavik, logées en RB&B dans sa proche banlieue. Un réseau de bus au top, des passages fréquents (à condition de ne pas se tromper d'arrêt de bus !), c'es vraiment facile. Tout le monde parle anglais, avec plus ou moins d'accent islandais.
Déjà quand on arrive à l'aéroport international, sur la péninsule de Keflavik, le ton est donné : arrivée dans les nuages, crachin, et on descende l'avion par un escalier, dehors. Autour, les champs de lave juste recouverts de lichens, de myrtilliers et de mousse - sur des kilomètres carrés.
Pas un arbre, sauf dans quelques creux de sol où la terre a pu s'amasser, et sur le rivage ou il y a un village, et de habitations éparses en allant vers le nord, vers Reykjavik (45 minutes de bus).
Reykjavik, c'est la capitale : assez étendue, très aérée, avec un tout petit centre ville où on a vite des repères. Beaucoup de bars et de restos, de magasins de souvenirs, de vêtements chauds, des musées (pleins ! mais tout petits, à l'échelle du pays !), des magasins de design et jolies objets, et de jolies maisons qui ont pour particularités d'être colorées et recouvertes de tôles : ça fait coupe-vent !
De grandes ouvertures, avec seulement une petite partie qu'on peut ouvrir.
je vais mettre de photos, sont pas toutes triées
, mais elle vous en dira sans doute plus elle-même).
, et les chevaux islandais absolument fantastiques 
. Tout abus de photos et vidéos risque de rendre totalement addict... (pour nous, c'est trop tard, on a toutes envie de revenir, l'une de nous à déjà craqué avant pour acheter un Islandais, et une autre est repartie en disant "j'en veux un")
)
et je n'avais pas autant mangé depuis un siecle 
ns 
nous avons bien sur assister au triage des moutons 
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