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Idées de métiers

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Cassiii

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Idées de métiers
Posté le 27/12/2017 à 19h45
Bonsoir tout le monde !
Tout d'abord, désolée pour le petit pavé, mais s'il vous plaît restez jusqu'au bout

J'ai passé pas mal de temps à éplucher le forum qui traite des formations aujourd'hui et je me suis décidée à vous demander de l'aide
Alors voila, je suis actuellement en terminale S et ça fait à peu près 10 ans que je m'imagine exercer un métier dans le domaine du cheval. Actuellement j'ai le galop 5 et un bon dossier scolaire (les profs disent que je peux faire tout ce que je veux )
Mais justement le souci c'est que je ne sais pas vraiment ce que je veux

Enfin si, la seule chose qui est très importante pour moi c'est que je voudrais avoir un métier qui me permette de vivre et d'avoir un cheval à moi à côté.

L'année dernière je m'imaginais bien vétérinaire mais beaucoup de choses me rebutent. La première c'est que je ne veux pas faire de prépa. Je sais qu'on peut peut tenter le concours en passant par un DUT ou un BTS... Lequel est le mieux ? En terme de chances de réussite, de facilité ? Dans quels cas faut il passer par une remise à niveau avant le concours ? Et sinon y a t'il possibilité de passer le diplôme à l'étranger ?

Au jour d'aujourd'hui je suis quelqu'un d'assez "frileux", j'ai du mal avec les dissections en cours... Du coup ça me freine parce que je me dit que ce serait bête de se donner du mal pour réussir un concours et changer de voie après parce que je suis chochotte

Mon deuxième plan c'était d'être maréchal ferrant donc d'enchaîner avec un CAP après le bac et éventuellement après celui-ci continuer de me former aux Compagnons du Devoir. Mais plusieurs personnes (dont des professionnels du milieu) m'ont fortement déconseillé ce métier tout simplement à cause de la condition physique exigée et aussi à cause du revenu bas d'après eux. Vous en pensez quoi ?

Troisièmement, mon plus grand rêve serait d'être écogarde/garde vert à cheval. Mais la conseillère d'orientation que j'ai vu au lycée m'a (très gentiment) descendue mon projet En gros le souci c'est que c'est un secteur très fermé surtout depuis quelques années paraît-il. De mon côté, je ne trouve aucune information sur le sujet Ca a l'air d'être un métier sans vraiment de formation spécifique et sélectif... Si vous avez des infos je suis preneuse

Après d'un autre côté, j'envisage de changer de pays, mon rêve serait de vivre en Irlande ou peut être en Suisse pourquoi pas, ça a l'air sympa et c'est près de chez moi Du coup je me demande si je devrais prendre en compte ça pour me former. Ce que je veux dire par là c'est que peut être que certains métiers comme écogarde n'existent pas là-bas ou au contraire ça marche très bien.. Mais je ne trouve aucune info...

Bref. Au point où j'en suis j'hésite à partir vers un secteur qui n'a rien à voir, comme l'artisanat par exemple (j'ai fait pas mal d'arts appliqués avant et j'ai failli faire un bac arts appliqués) en exerçant un métier qui me permet d'avoir un assez bon salaire pour avoir un cheval à moi tout simplement au lieu de travailler avec les chevaux. Mais ça ne me motive pas plus que ça..
Du coup je vous demande votre aide pour m'aider à trouver un métier qui me plait et qui me permet de vivre de ma passion...
Merci d'avoir lu le pavé et à bientôt dans les commentaires

Fjord.passion

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Posté le 27/12/2017 à 19h51
As tu pensé à éthologue ? Étudier les chevaux ou les animaux est un beau métier mais les études sont longues... Je pense à ca puisque tu as un bon niveau


Cassiii

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Posté le 27/12/2017 à 20h01
fjord.passion

Oups mon commentaire s'est supprimé je recommence Je disais donc que c'est un métier que je connais assez peu finalement.. Pourquoi pas après c'est vraiment de la théorie du coup je ,ne sais pas si c'est pour moi. D'autan,t que je me voyais plus faire des études courtes... Mais bon quand on envisage d'être vétérinaire, on parle pas trop d'études courtes
Merci pour l'idée


Rorodu72

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Posté le 27/12/2017 à 21h28
et en partant dans l'artisanat... sellier ??


Just_fly

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Posté le 28/12/2017 à 04h54
Pour faire vétérinaire ailleurs qu'en France, tu peux tenter ta chance en Belgique. Ici, les étudiants étrangers sont admis à la faculté via un tirage au sort (qui fait qu'environ 30% des étudiants du premier bloc du bachelier proviennent d'autres pays) les sélections ne se font donc pas sur dossier. Cependant, les études sont loin d'être plus faciles qu'en France, même si il ne faut pas faire prépa pour y accéder ni passer de concours d'entrée.
Après ce métier est selon moi une vocation, tu deviens véto par intérêt pour la médecine plus que par amour des animaux. Donc au niveau des dissections faudra prendre sur toi, au cas où tu tentes les études en médecine vétérinaire.

Sinon regarde peut être pour assistant véto ? C'est une formation sur trois ans si je ne me trompe pas mais plus sûre du tout.

Ensuite, pour maréchal ferrant, c'est un métier physiquement très difficile, en particulier pour le dos. Et au niveau des revenus c'est moyen, ceux que je connais pratiquaient la maréchalerie comme activité complémentaire mais ne gagnaient clairement pas leur vie avec ça. Après, c'est possible mais c'est rarement un boulot que l'on peut faire toute sa vie.

Après, à part véto c'est pas facile de vivre d'un métier dans le cheval. La plupart sont éprouvants physiquement et mal payés. Éthologue pourquoi pas, faut se renseigner sur les débouchés. Sinon tu peux effectivement te diriger sur un boulot alimentaire (pourquoi pas dirigé vers les chevaux sans être en contact direct avec eux: journaliste dans un magazine équestre, marketing, comme dit plus haut artisan sellier...etc), qui te permettrait d'assumer un cheval et d'avoir du temps pour ce dernier à côté.
Où alors pourquoi pas te former pour enseigner, en classique ou en hippothérapie, qui se répand de plus en plus?


Argamelle

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Posté le 28/12/2017 à 07h07
les professionnels du cheval présents ici me contrediront peut-être, et dans ce cas tant mieux, mais de manière générale j'ai eu l'impression en en parlant autour de moi que :
- la filière dans sa grande globalité paye TRES mal et tu auras du mal à financer ta passion (je différencie la filière véto qui pour moi n'a rien à voir)
- on fait moins d'équitation qu'on ne le pense en s'engageant dans cette filière

je pense qu'il faudrait que tu te penches en premier lieu sur les matières que tu apprécie le plus en cours. Après seulement recherche un métier cohérent avec ce que tu aimes faire en cours. Ce n'est pas parce que tu aimes les chevaux que tu es obligée d'en faire ton métier, surtout que des milliers de gens ont les même envies que toi et ça peut être dur de se faire une place si tu n'es pas la meilleure ^^

S'engager dans une filière sur la base de ce qu'on aime en LOISIR n'est pas une bonne idée. Un travail , c'est très différent. Les conditions n'ont rien à voir lorsque tu n'es pas obligé et lorsqu'il faudra le faire coute que coute sinon tu es virée ou ton entreprise fait faillite :/ on aime moins son métier dans ces cas là... et quand c'était sa passion c'est moche !

Une chose est sûre : les filières biologie/biochimie/véto/médecine/infirmier(ère)/environnement/élevage ne sont pas pour les personnes n'ayant pas le cœur bien accroché. C'est dur moralement, c'est sale et ça pue la plupart du temps. Quand en plus c'est un être vivant, c'est très dur et il faut pouvoir tenir.
Si tu n'es pas capable de regarder une (moche) plaie, de t'approcher pour regarder d'un abcès ou de gérer la fin de vie d'un cheval, franchement, ça va être compliqué.

Je connais une de mes amies qui a fait des études d'infirmières et qui c'est aperçue en fin de deuxième année qu'elle n'arrivait pas à se remettre des stages. Elle a du arrêter ... c'est dur :/


Obsonine

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Posté le 28/12/2017 à 18h47
Salut !

Je me suis vraiment reconnue en lisant ton message et je voulais partager mon expérience avec toi (ça fait un moment que je me "ballade" sur le forum sans être inscrite et j'ai créé un compte exprès pour te répondre :p)

Quand j'étais au lycée, j'étais quasiment dans la même position que toi. Je cherchais un métier en contact avec les animaux et j'avais l'impression que les seuls métiers c'était globalement soit véto soit des métiers très physiques (éleveur, palfrenier, maréchal...). N'étant pas très "physique" je me suis intéressée à véto un peu par défaut. Sauf que... Je ne me voyais pas DU TOUT faire une prépa et littéralement laisser tomber tout loisir et vie sociale pendant 2 ans (souvent 3) pour travailler comme une acharnée.

Et là, OH JOIE, j'ai découvert le concours par la voie BTS/DUT. Je m'étais pas mal renseignée et à l'époque (soit il y a 7 ans) le ratio nombre de candidat/nombre de place était quasiment le même entre les 2 concours. Ni une ni deux, je me suis inscrite en DUT agro (et, je ne regrette pas du tout du tout!!!).

Pour répondre à ta question sur la différence entre les 2 voies d'entrée en véto, je dirai surtout que après un BTS/DUT tu as un diplôme et si t'es pas prise en véto tu peux arrêter ou continuer en licence ou en école d'ingé (moins pour les BTS), alors qu'après 2/3 ans de prépa si t'es pas pris là où tu veux t'as RIEN et c'est très difficile d'obtenir une équivalence...

Sinon, comme autre option tu peux aussi envisager de faire une école d'ingé agro (tu peux rentrer sur dossier après un DUT) et là, il y a pleinnn de domaines très peu connus qui sont en lien avec les chevaux (et animaux en général), genre la nutrition, la génétique, le conseil en élevage... J'ai même une amie qui s'est spécialisée dans la création de produits à base d'huiles essentielles pour les chevaux !

Désolée pour le pavé, je ne vais pas m'étendre plus longtemps ^^'


Ritajolie

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Posté le 28/12/2017 à 18h59

argamelle a écrit le 28/12/2017 à 07h07:

- la filière dans sa grande globalité paye TRES mal et tu auras du mal à financer ta passion (je différencie la filière véto qui pour moi n'a rien à voir)


Les métiers de moniteurs ou palefreniers sont souvent mal payés. Mais... il n'y a pas que ça !

J'ai plusieurs copains qui sont commerciaux pour des marques d'aliments et sont très bien payés (ne serait-ce que sur leur part fixe). J'ai une autre copine qui bosse dans un centre comptable pour les sociétés hippiques et qui vit très bien aussi. Idem pour une amie qui est responsable marketing d'une grande sellerie. Et puis j'ai même des amis qui sont lad dans des écuries de courses et qui sont bien mieux payés que moi qui suis prof d'hippologie (par contre, ils bossent les week-end !).
Bref, la filière hippique, ce ne sont pas que des métiers ingrats et mal payés. Il y a tellement de possibilités et de diversité d'emplois.


Avant d'être prof, j'ai bossé en tant qu'inséminateur dans trois haras. Les trois m'offraient le logement, deux me payaient une partie des repas et m'offraient une pension pour un cheval. Et mine de rien, même si je touchais à peine plus que le SMIC, je n'avais pas de gros frais chaque mois.
Aujourd'hui, je n'ai plus ces avantages, mais j'ai un autre confort de vie : j'ai pas mal de temps libre pour m'occuper de mon mini élevage.


Par contre, à celle qui a soumis le métier d'éthologue, je ne pense pas que ça soit une bonne idée ! Dans le genre zéro débouché, on est pas mal !

Édité par ritajolie le 28-12-2017 à 19h01

Obsonine

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Posté le 28/12/2017 à 19h21

argamelle a écrit le 28/12/2017 à 07h07:

Une chose est sûre : les filières biologie/biochimie/véto/médecine/infirmier(ère)/environnement/élevage ne sont pas pour les personnes n'ayant pas le cœur bien accroché. C'est dur moralement, c'est sale et ça pue la plupart du temps. Quand en plus c'est un être vivant, c'est très dur et il faut pouvoir tenir.
Si tu n'es pas capable de regarder une (moche) plaie, de t'approcher pour regarder d'un abcès ou de gérer la fin de vie d'un cheval, franchement, ça va être compliqué.

Je connais une de mes amies qui a fait des études d'infirmières et qui c'est aperçue en fin de deuxième année qu'elle n'arrivait pas à se remettre des stages. Elle a du arrêter ... c'est dur :/


Alors, je ne suis pas tout à fait d'accord avec toi dans le sens où tu généralise un peu trop là
C'est vrai pour des filières où on est amené à travailler directement en contact avec du vivant animal ou humain mais il existe de très nombreuses filières en biologie où tu n'a pas affaire à du "dégeu" (mis à part éventuellemnt 2-3 dissections de grenouille en première année), comme par exemple la biochimie, la biologie moléculaire, l'agroécologie, la génétique, les sciences du végétal en général, l'agroalimentaire, les biotechnologies...


Argamelle

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Posté le 28/12/2017 à 20h23
obsonine

oui c'est vrai... mais bien malin qui peut savoir au début ce qui va lui poser problème, et ce qu'il va rencontrer... alors je préfère généraliser.

moi perso, pour une filière qui n'a rien à voir avec le schmilblick, j'ai déjà fait, pendant mes études, de la dissection, de la vivisection, et des analyses complètes sur résidu. Super méga cool. Je ne suis pas une exception, ma belle soeur avec un doctorat en environnement et toxicologie a fait quelques trucs bien crades aussi.

Si ta formation t'intéresse et que tu peux pas la suivre parce que tu tourne de l'oeil, c'est pas une honte mais c'est carrément dommage. Autant anticiper.

Quand tu penses avoir un problème avec ça, il faut avant toute chose, pouvoir lever cette interrogation. Je sais pas moi, demander à un véto pour un stage en lui expliquant le pourquoi, à une infirmière (mais ça je pense c'est pas possible), demander à un centre équestre si ils ont pas des soins à faire... A une asso de protection des animaux (ils ont souvent des cas moches et graves)


Arthesia

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Posté le 28/12/2017 à 22h01
cassiii,

Bonjour ! Etant donné qu'on se trouve à peu près dans la même situation, et que pour nous deux, c'est la dernière ligne droite, comme on dit , je me permet de te faire pas de ma position.

Pour contextualiser tout ça, il faut savoir que j'envisage une vie où je voyage (ou du moins, où je quitte la Belgique) une vie indépendante (aussi bien au niveau professionnel qu'au sens large) mais aussi d'être globalement autonome au niveau de moi même et surtout de mes animaux (dont mes chevaux) ce qui nécessite donc un sacré bagage de connaissances. Ainsi qu'un métier en lien avec les animaux (et plus globalement l'environnement).

Le métier qui correspond le plus à toutes ces demandes est le métier d'éthologue, qui a déjà cité plus haut. Pour y accéder, en Belgique, il faut soit passer par une étude en biologie, ou en médecine vétérinaire (6 ans), et terminer par une spécialisation en éthologie (2 ans). Je compte personnellement opter pour vétérinaire en premier lieu, par soigner les animaux me plaît, que ce sont des savoirs que je désire acquérir et que ce sera un bon parachute si je ne trouve pas de débouchés en éthologie.

Une fois mes études de vétérinaire faites, je compte faire un maximum de spécialisations et de formations (enfin je dis ca maintenant, pas sûre qu'après 6 ans d'études je dirai la même chose ), toujours dans cet objectif d'acquérir un maximum de connaissances. Et éventuellement faire la spécialisation à l'étranger, je pense notamment à l’Amérique, où la spécialisation en éthologie est, il me semble plus poussée, et où, je pense avoir plus de déboucher etant donné que les écoles sont de renommée, mais bon, encore faut-il trouver les fonds et se faire accepter.

Une fois tout ce parcours fait, à 26 ans minimum, en fonction des spécialisations et s'il n'y a pas eu d'embûches, je prévois, et là ca dépend de pleins de facteurs, d'aller travailler dans des sanctuaires à l'étranger OU si un organisme me finance pour des recherches en tant qu'éthologue, faire les recherches sur le terrain et si possible, à cheval. C'est un idéal, et c'est probable que ca n'arrive pas. Mais si c'est le cas, je peux me poser en tant que vétérinaire indépendante à l'étranger.


Argamelle

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Posté le 29/12/2017 à 07h32
arthesia

c'est carrément ambitieux comme projet ... tu es sûre d'y arriver version argent et motiv ' ? déjà rien que les études de véto c'est un carrément gros morceau !


Arthesia

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Posté le 29/12/2017 à 14h30
argamelle La motivation suivra je pense, ce sont des choses qui me passionnent réellement et c'est un mode de vie que j'ai sincèrement envie d'atteindre.
Niveau argent, je ne sais pas. C'est probable qu'à la fin de mes études de vétérinaire je sois contrainte de travailler quelques années afin d'économiser suffisamment pour suivre les formations et études qui m'intéressent.
Il est aussi probable que je doive travailler pendant mes études de vétérinaire, est ce que c'est possible avec des études aussi conséquentes ? Je pense, oui, si on sait gérer son temps et s'organiser correctement.

Je dis pas que ce sera de tout repos mais pour l'instant (et peut être qu'une fois vraiment dedans je ne dirai plus ça), je me sens prête à manquer un peu de confort pendant quelques années, pour pouvoir plus tard vivre la vie qui me plaît.

C'est risqué, bancal et ponctué de 'peut-être'. Mais j'ai envie de prendre le risque et de vivre une vie qui me plaît vraiment plutôt que d'opter pour la sécurité et vivre une vie qui ne me plaît qu'à moitié.


Liteulorce

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Posté le 29/12/2017 à 18h32
ritajolie@ (Le pmu finance le monde des coursses où l'in\/erse, et comparer des horaires de lads a\/ec ceu de profs...)
Moi je tablerai sur un job qui marche en irlande. Mais pas forcément directement lié...

Édité par liteulorce le 29-12-2017 à 18h33

Ritajolie

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Posté le 29/12/2017 à 19h42

liteulorce a écrit le 29/12/2017 à 18h32:
ritajolie@ (Le pmu finance le monde des coursses où l'in\/erse, et comparer des horaires de lads a\/ec ceu de profs...)
Moi je tablerai sur un job qui marche en irlande. Mais pas forcément directement lié...

Oh je connais un peu le monde des courses ; mon mari étant driver et tous les deux, nous élevons/sommes proprietaires de trotteurs.
Il faut arrêter de sans cesse diaboliser le monde des courses.
Les cavaliers d'entraînement dans le galop ont des horaires plutôt "cool" : souvent une embauche à 6h, mais à 12h/13h, la journée est finie. Pour peu qu'on soit dans une écurie qui a des résultats, les primes sont très intéressantes.
Dans le trot en revanche, c'est différent je l'admets, car les gars font tout à la fois : palefrenier, maréchal, lad, chauffeur, driver... Les journées sont donc interminables, entre le travail le matin aux écuries, les courses l'après-midi, voire en nocturne. Mais là encore, certains patrons n'hésitent pas à bien payer. Comme dit dans mon précédant message, la majorité de mes amis dans les courses touchent plus que moi. Mais nous n'avons pas fait le même choix de vie : je touche moins mais j'ai des horaires tranquilles qui me laissent le temps de m'occuper des chevaux. Ils travaillent plus, mais gagnent bien plus aussi.


Par contre, je n'ai pas suivi, mais c'est quoi le métier qui marche en Irlande ?


Cassiii

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Posté le 29/12/2017 à 20h53
Tout d'abord merci à tous pour vos réponses qui se complètent très bien (petit merci spécial pour Obsonine qui a créé un compte pour moi )
Vos messages et ceux que je vois ailleurs me permettent de comprendre que la filière du cheval n'est peut être finalement pas ce qui me plairait le plus.. Il y a certes beaucoup de métiers qui ont un rapport avec ça mais je ne pense pas que cela me conviendrait.
C'est pourquoi je vais peut être commencer à me pencher sur les autres choses que j'aime pour trouver enfin quelque chose qui me parle

Pas facile de changer de plan et de renoncer à l'un de ses rêves mais je suis persuadée que je trouverais quelque chose qui me permettra de m'épanouir et de garder l'équitation (et surtout le contact avec les chevaux !) comme ma plus grande passion


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