roukio : j’ai déménagé de 350km et donc changé de pension
A l’époque je ne gérais pas l’alimentation de mon cheval, je prenais ce que l’écurie donnait. Ma nouvelle écurie produisait ses propres céréales (maïs et orge et blé) et son foin. Le blé n’était pas donné aux chevaux, il était échangé contre de l’avoine.
En quittant cette écurie, je suis repassée sur de l’industriel pour des raisons de praticité. En fonction de la saison, de l’état de mon cheval et de son activité je jongle entre CMV, sans céréales et granulé.