Ostéo en premier.
Enrênements à la poubelle
Citation :
Par contre les galops en balade il n'a aucun soucis : il me tient les tout petits et il part très bien à gauche.
Te rends-tu comptes de l'importance de ceci ?
Donc je radote, ostéo pour vérifier pourquoi les cercles lui posent problème.... Et demander peu, récompenser bcp.... Je commencerais par me contenter d'avoir de bons départs sans absolument m'occuper de la tenue du galop... Une ou deux foulées, et ouiiiiii c'est bien, pause immédiate. Et progressivement on demande plus... SI l'équilibre est OK. Sinon ça sert à quoi d'avoir un galop précipité ? A rien.
Donc en longe, si tu veux absolument galoper, pause après chaque départ. Qu'il comprenne son intérêt, qu'il participe, qu'il sache : "si je lui donne ce qu'elle veut, récompense".
En Parelli tu décris un LBI, donc focalise-toi sur les stratégies pour motiver un LBI.
Avec le mien, fort LBI, pour ne plus avoir à utiliser de phase 4 (la chambrière) pour les départs, on a travaillé en longe le départ sur le cercle à un point précis, matérialisé par un plot. A cet endroit, demande de départ au galop, ordre vocal (il connait) et petite indication de carrot stick (phase 1). Il ne part pas ? Aucune importance, il continue au trot (trot normal en équilibre sans précipiter sans treuiller sur la longe). Et redemande de galop au même endroit. S'il part, pause immédiate, grosse félicitation arrêt.
La stratégie, l'amener à comprendre que son intérêt est de répondre (pause), sinon il enchaîne des tours de trot.
En conduite (en me déplaçant dans la carrière) je demande aussi par miroir, pause immédiate s'il répond.
C'est bizarre, mais maintenant il part très bien en phase 1.
En selle idem, mêmes stratégies. Aides les plus fines possibles, pause immédiate après un bon départ.
Lui donner l'envie de donner, et non plus le contraindre....
Après c'est long, ce n'est pas un résultat immédiat, c'est bcp de patience et d'humilité.
Mais plus tu rentres dans la contrainte, dans le combat avec ces chevaux, moins tu obtiens, plus tu les "alourdis".