C'est tout bête : je suis petite, et j'avais envie de voir le monde de plus haut (je mesure 1m57).
Mais non ! Je plaisante !
J'ai toujours admiré cette grande bête si douce, si puissante. Depuis toute petite, je voulais toucher et caresser le poil luisant d'un cheval, sentir son odeur.
Et quand mon papa m'a emmenée au club hippique, avec son vélomoteur (j'avais 8 ans à l'époque), et que je me suis retrouvée perchée tout là-haut sur un grand trotteur tout doux tout gentil, ça a été une révélation : j'ai voulu continuer... et j'ai continué, longtemps. L'odeur du cheval me plaît plus que tout, ses mouvements gracieux et sa puissance me fascinent.
Je me suis toujours demandée pourquoi une si grande bête pouvait se plier à nos demandes, et à accepter de collaborer avec nous. La docilité du cheval me bouleverse toujours.
Et puis, ils sont tellement beaux !