museane En fait, si j'en crois les jurisprudence sur Cheval et droit, c'est un poil plus compliqué.
Parce que (si j'ai bien compris) : le vice est caché si il n'est pas détectable par une simple observation ou "des manipulations usuelles".
Visiblement, pour un cheval de balade à 1500e qui se révèle naviculaire ça passe.
Mais pour un cheval de CSO à 10 000, les juges tranchent plutôt en faveur du vendeur car à ce prix les radios font parties des "vérifications d'usage".
Du coup, qu'en penser
J'ai aussi lu sur un site (et bien sûr je ne le retrouve plus

) que la garantie des vices cachés ne serait pas automatique, et qu'il faudrait préciser sur le contrat si on se place sous le régime commercial ou agricole ?
