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Corrélation tap/longé/monté
Posté le 08/04/2021 à 10h51
Bonjour,
Je ne suis pas sûre d'avoir compris non plus, je me base sur les réponses.
L'idée est de savoir si la prestation en longe était annonciatrice de la gaufre sous la selle?
Disons que visiblement le longeur était débordé, si sa longe avait pour but une mise aux ordres avant le montoir, il fait choux blanc, la longe n'ayant servi à strictement rien, même pas à dépenser de l'énergie pour obtenir un cheval plus calme. Le cheval n'a d'après ce que tu décris rien dépensé du tout, à part l'énergie du longeur.
J'enfonce une porte ouverte mais si la longe est extrêmement utile et constitue même à mon sens un élément indispensable de l'entraînement d'un cheval, elle est à proscrire si la personne ne sait pas longer. Il y a alors plus à perdre qu'autre chose pour le piéton comme pour le cheval.
Longer avant de monter avec un jeune c'est utile mais cela doit être une étape, apprendre à utiliser l'énergie du début de séance d'un jeune cheval est l'étape d'après, puis, quand on longe avant de monter, efficacement j'entends, il faut s'attendre à fabriquer de la conditions physique et donc d'avoir... de plus en plus besoin de longer... L'outil peut se retourner contre soi.
Par contre la longe permet de résoudre des problèmes qui ne se résolvent pas sous la selle, la longe permet de travailler locomotion et musculature sans le poids parasite du cavalier sur le long dorsal et la colonne, la longe permet d'assister l'installation d'aides (avec notamment, mais pas seulement, le recours à la voix) et la longe contribue à forger le relationnel cheval/cavalier.