akhaten j’avais bien aimé "l
'assassin royal"
Après perso je déteste quand les animaux "parlent" aux hommes. je ne sais pas pourquoi ça m'a toujours mis mal à l'aise lol. Sauf dans des livre type "Narnia" car on est carrément dans un autre monde qui relève de l'imaginaire.
Mais genre Eragon, je n'accroche pas.
Je préfère Bottero qui transforme un de ses personnage en loup. Mais lors de cette transformation, le personnage devient le loup : pas de "réflexions humaine" juste des sensations et des perceptions.
Après j'apprécie quand les personnages se lient avec des animaux genre Harry avec Hedwige, ou si un personnage apprécie le moment passé avec un cheval.
j'ai aussi écrit le premier tome d'un roman fantastique et clairement j'ai mis de côté les chevaux. ils servent de "moyens de transport", les personnages les apprécient, les nourrissent et soignent mais ça s'arrête là. Sinon je trouve que l'on rentre trop vite dans le cliché "grand galop"ou "pégase" ou "licorne".
Après il faut voir la cible du roman :
mettre un cheval en protagoniste (surtout s'il parle) , c'est plus pour les pré-ado.
les adultes seront généralement moins impressionnables et moins réceptifs.
Un roman intéressant c'est "cheval soleil" = on suit l'histoire d'un étalon et de sa rencontre avec un indien (dont on suit aussi l'histoire). c'est un peu "Spirit" en moins édulcoré.
Bref, pour les romans équestres, il faut juste faire attention à ne pas trop vite tomber dans les clichés :
Genre sarah, la gentille cavalière "douée" naturellement qui va dompter le cheval rétif des écuries et samantha la cavalière riche qui a un pompom exceptionnel mais qui est jalouse de l'autre donc qui va lui faire des crasses.
Pareil, on est obligé de "vulgariser" le vocabulaire équestre et même les actions des personnages;
"Enivrée par l'air marin, le calme de cette plage déserte et le doux bruit des vagues sur le sable, Sarah se pencha en avant, encouragea son cheval qui se mit au galop"
et non :
"Ayant envie de profiter de ce moment, Sarah ressangla son cheval, s'assura que la trajectoire qu'elle avait choisi ne comportait pas de zones de sable profond ou de "trou", elle ajusta ses rênes, serra les mollet en actionnant son bassin et parti au trot. Comme Pompom était un peu nerveux et trottait n'importe comment, elle ferma un peu ses doigts pour le faire céder et le concentrer. Puis elle demanda le galop avec sa jambe intérieure à la sangle et l'autre légèrement reculée. "