Equita est un quasi-incontournable pour moi depuis des années.
Il est vrai que la position et la nature des stands est presque immuable.
Cependant le salon a accueilli cette année la sellerie Bucéphale, qui avec Lamantin Couture, sont les seules seules à être résolument orientées vers le dressage, qui manquait à ce salon malgré l'organisation d'une étape coupe du monde.
J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup beaucoup de monde vendredi, spécialement sur les carrières de compétition. La coupe du monde de dressage blindée, je n'avais jamais vu encore.
La soirée sport et spectacle était à guichet fermés. Je suis déçue par ma place en tribune sud, extrêmement bien positionnée, mais le plaisir a été foutu en l'air par l'absence de savoir vivre de spectateurs et des participants au cocktail de La Tribune fédérale, qui ont passé toute la soirée à aller venir et stationner dans les escalier en bouchant la vue de nombreux spectateurs. à 70 EUR la place, je le prends mal et je l'ai fait savoir. Le pire est que les gens sont outrés qu'on leur dise qqchose. Heureusement, je suis cavalière et je sais mon sport peuplé de ... sombres créatures. Mais il y avait vraiment de quoi dégoûter des profanes.
Le pôle western est toujours aussi agréable, bon enfant, et dépaysant, on sent le contraste quand on approche du paddock de la piste internationale...
Nous avons passé 14h dans le salon, on peut dire que c'est rentabilisé.
Il y avait des choses intéressantes du côté des exposants, mais il faut vraiment gratter, or c'est difficile face à la quantité. Mais bon, pouvoir avoir un stand back on track, sans avoir besoin de commander, trouver escadron avec des prix sur des collections passées, du de stockage le sabotier, Husse sans passer commande là encore, et quelques bonnes affaires, ce n'est pas négligeable.
Avec l'annulation je suppose à présent définitive du salon de Paris, ça reste unique en France. Bordeaux pour le moment du moins, ne fait pas le poids (ni la taille).