Mon cheval est lent, je n'en peux plus

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Liaa

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Mon cheval est lent, je n'en peux plus
Posté le 01/10/2023 à 12h15

Bonjour,
Je poste ici mon tout premier message en espérant avoir des réponses pouvant m'aider. Je suis propriétaire d'un hongre PRE de 7 ans, que j'ai eu lorsqu'il en avait tout juste 4 (j'avais 14 ans à l'époque).

A l'essai en Espagne, entier, j'ai eu le coup de cœur et j'ai été rassuré de voir un cheval calme et à l'écoute, très froid à la jambe (je n'ai même pas pu galoper à l'essai), c'a a été le coup de foudre. Quand je l'ai essayé il n'était monté que depuis une semaine, mais avait été attelé seul et en paire.

Quand il est arrivé il était très chaud (castré juste avant d'arriver en France, déferrage, nouveaux copains-copines, découverte du pré et des balades, etc), et ça a été pas mal compliqué durant les premiers mois. Il a perdu beaucoup de poids la première année, dû à sa castration et à son tout premier hiver (très froid et pluvieux). Malgré tout, il était au pré avec deux copains et n'a dû être rentré au box qu'une fois pour sécher (il tremblait, c'était horrible à voir mais ça s'est vite terminé).

Durant la première année j'ai mis plus de deux mois à pouvoir faire 20m avec lui en longe, il me traînait pour aller voir les autres, mais finalement j'ai pu le monter et nous avons essentiellement fait de la balade et du travail dans le rond de longe, beaucoup à pieds (liberté, longues rênes, etc). Je pouvais le monter en liberté dans le rond, et sans mors et à cru en balade pendant plusieurs heures.

Nous avons ensuite changé de pension pour aller chez une amie qui avait une carrière et un manège, pendant un peu plus d'un an également. Nous avons commencé un vrai travail en carrière, et les problèmes ont commencés. Il n'était absolument pas réactif aux jambes, vraiment très lourd dans les allures, pas du tout l'idéal pour commencer du dressage pur. Malgré tout nous arrivions à travailler sur des cercles aux trois allures, et nous avons même sautillés un peu, il est extra.

En mai 2023 nous avons à nouveau changé de pension, pour le mieux. Il est au pré en troupeau, foin à volonté, et je viens le voir tous les jours pour m'en occuper et lui donner sa ration (1,5L de Fib&Fib, de la luzerne recomposée, ce qui se rapproche le plus de ce qu'il avait en Espagne). Il s'est complètement retapé physiquement, il est magnifique et termine de grandir. Il sort régulièrement, et on travaille deux fois par semaines avec une professeur au top. Malgré tout, le problème de la vitesse et de la propulsion persiste et nous gêne énormément.

Il est lent, dans tout ce qu'il fait. En carrière cela se règle plus ou moins grâce à ma prof, il est plus actif lorsqu'il y a d'autres chevaux, mais seule je suis obligée de le faire avancer au stick parce que sinon je dois mettre tellement de jambes que je suis épuisée au bout de 15 minutes (et donner des coups de talons à répétition n'est pas du tout mon but). Je sais que ce n'est que la première année où on travaille vraiment (j'ai pour objectif de sortir en dressage), mais je ne sais plus quoi faire.

Même en balade il marche lentement, on est toujours 30m derrière les autres (même derrière des poneys) parce qu'il marche ultra lentement, avec ou sans mors. J'ai abandonné l'idée de le travailler en liberté parce qu'il envoie si peu d'énergie que c'est impossible de lui demander quoi que ce soit (même le pas espagnol est impossible parce qu'il n'y a aucune impulsion), alors que j'ai déjà pu lui apprendre des choses qu'il aime (tourner autour de moi au trot, au galop, jambette). Je suis en train de me dégoûter de lui, et j'ai peur de ça.

Il est mon tout premier cheval, et même si je ne suis pas parfaite j'essaie de faire de mon mieux. J'ai varié au maximum les disciplines, il sort en balade seul ou en groupe régulièrement, je le monte en filet, sans mors et en cordelette en alternant pour ne pas le blaser, il est au pré 24/24h avec un copain et un troupeau de 4 à côté. Il est à jour de tout, est suivi de près pour le parage (fait par un professionnel du pied nu) et même au niveau du poids (il y a une balance dans nos écuries).

Je me sens très bien dans cette écurie, mais je ne peux pas m'empêcher de comparer les autres chevaux au mien et ça me ruine le moral. J'ai l'impression que le mien n'a envie de rien sauf de se faire chouchouter et de faire des balades ou des séances en cordelette (donc pas de travail pur). J'ai envie de progresser, je m'applique en cours, je m'informe beaucoup, mais ce problème d'impulsion et d'énergie nous handicape vraiment.

C'est comme s'il avait un frein, et pourtant je sais qu'il peut être plus énergique car dehors il galope devant les autres et adore faire la course dans les champs (et je peux vous assurer qu'il galope vraiment vite).

Auriez-vous des conseils à me donner, autres que ceux de ma coach, qui pourraient m'aider à le mettre en avant ? Je lirais vos réponses, et je vous remercie d'avance.

Lia.

Edit du 16/01/2025

Re-bonjour à tous ! Je sais, ça fait longtemps.. oups ?
Merci à tout le monde pour vos réponses, qui m'ont donné des idées de pistes à suivre et qui pour la plupart m'ont aidées à garder le moral.

Pour faire un gros bilan de (très) longs mois plus tard, je suis heureuse de pouvoir dire que j'ai enfin trouvé ce qui "n'allait pas", ainsi que le moyen d'enfin motiver mon gentil loulou.

Tout d'abord, il faut savoir que j'ai changé de coach quelques semaines après ce post, et que je ne peux que me remercier de l'avoir fait. Le changement de méthodologie nous as aidé à avancer dans le travail, et a introduire petit à petit ce pep's dont mon cheval manquait tant.

On a diversifié le travail et commencé à sauter régulièrement de petites barres (ce dont ma coach précédente ne m'avait jamais parlé tout simplement parce que ses aprioris sur la race faisaient que 'Les Espagnols ne sautent pas'), et j'ai presque redécouvert mon cheval en un élève franc et énergique ! qui s'éclate et m'embarque même pour aller sauter 1m ! pas mal pour un cheval qui n'avait jamais passé une barre de sa vie

Mais il n'y a pas de secrets, on a aussi et surtout beaucoup, beaucoup travaillé (3 cours par semaine + 1 longe encadrée) et les progrès ont été à la hauteur. On a même commencé à sortir en compétition, et je suis fière de moi en disant que je me classe à chaque fois (pas toujours première mais peu m'importe au fond, je ne vois que le fait de revenir de si loin !)

Bref, une évolution positive dont j'avais besoin, moi qui était si découragée.

Alors évidemment ce n'est pas toujours évident, on a toujours des semaines de rechute où il retombe dans cet état d'esprit blasé, et les temps froids d'hiver n'aident pas, mais j'ai appris à être plus "sévère", à oser lui demander plus de choses et d'y mettre un peu du sien aussi, et ça paye. J'ai commencé à faire un peu de sport et de la marche en à côté, ce qui fait que je n'ai presque plus besoin du stick, les jambes suffisent et si je sens que la séance à venir va être plus molle, je mets une paire de petits éperons ronds en aide et cela suffit. Le tout sans abandonner les balades, les sorties à cru et en cordelette, bref ce qu'il aime le plus je le sens bien.

Tout ça m'offre un cheval franc, pas toujours énergique mais ça ne fait qu'évoluer positivement, un cheval bien dans sa tête qui apprends à se donner à 100% malgré un cardio que je dois bosser plus, mais surtout un cheval heureux et bien dans son corps, car avec tout cela il s'est bien musclé et s'est bien développé (enfin, il a pris un peu d'âge aussi !)

Merci encore à tout le monde, et si je devais donner des conseils aux cavaliers dans une situation similaire, ce serait ceux-ci : quand vous commencez à perdre espoir, souvenez vous que rien n'est jamais perdu, surtout avec les chevaux; ne soyez pas trop durs envers vous-mêmes, chaque humain et chaque cheval est différent, et parfois même si l'on ne veut que faire le bien il est long de trouver le bon équilibre, et il faut savoir s'accorder des jours sans cheval, pour nous (ça fait du bien croyez moi, surtout quand on manque de motivation); et surtout n'hésitez pas à changer de professeur, vous n'êtes marié avec personne et les méthodes d'un coach ne peuvent pas convenir à tous les chevaux.

Pour le mot final et ce qui me semble le plus important à dire afin de clore ce sujet : croyez en votre cheval, il vous le rendra bien, et surtout, croyez en vous et ayez confiance : respirez, vous savez monter à cheval.


Édité par liaa le 16-01-2025 à 11h06

Plume29

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Mon cheval est lent, je n'en peux plus
Posté le 01/10/2023 à 12h40

Là c'est la piste vétérinaire qu'il faut écarter...

Prise de sang lyme piro carences... voir avec le véto si il a d'autres pistes.

Prépares un bon billet par contre !

Elodie94470

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Posté le 01/10/2023 à 12h44

Est il a jour osteo ?

A voir à faire un bilan véto pour également..

Édité par elodie94470 le 01-10-2023 à 13h49



Pikaa

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Posté le 01/10/2023 à 12h50

Je rejoins Plume29, voir avec le véto pour faire un bilan complet + PDS.

Walmos

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Posté le 01/10/2023 à 14h13

Si le problème ne vient pas de la santé, la seule chose à faire va être de trouver ce qui le motive et tout reconstruire à partir de là.
Les chevaux sont tous différents, il y en a qui fatiguent plus vite que d'autres de faire des efforts pour les humains. A nous d'entretenir (ou de retrouver) leur motivation et petit à petit à faire en sorte qu'ils aient envie de faire ce qu'on leur demande.
D'autant que parfois le débourrage est fait à la va-vite (surtout s'il vient d'Espagne, ça n'aurait rien d'étonnant), et que le cheval n'a pas le temps de suivre, pas le temps de comprendre, pas le temps d'apprendre à aimer travailler, mais il est trop gentil pour envisager de mettre un gros STOP aux humains. S'éteindre est une façon de se protéger.


Pour parler de mon expérience personnelle :

J'ai acheté une jument cette année, l'archétype même du cheval blasé par les humains et le travail avec eux. Totalement indifférente à pied, insupportablement lente au travail monté (suffisait d'arrêter d'entretenir le pas avec mon bassin pour qu'elle s'arrête net), et à se traîner aussi en extérieur (aussi bien derrière que devant un copain). Pourtant (ou justement ??) ça faisait quelques années qu'elle était pré-retraitée dans un endroit correct (pré/paddock h24 + des copines) et qu'elle ne faisait que de la balade occasionnelle.
J'ai commencé par laisser tomber le travail pur et dur et par m'éloigner de ce dont elle avait l'habitude, ça n'aurait fait que la dégoûter. A la place, j'ai introduit des choses qu'elle ne "connaissait" pas : travail à pied (horsemanship), travail en longe (avec introduction progressive de la voltige cosaque), travail en R+ dans tous les cas (bonbons, carottes, ...), et balades longues mais tranquilles et variées (uniquement du pas).

Pour le travail à pied, pendant plusieurs mois j'ai eu l'impression de mettre des coups d'épée dans l'eau, de ne pas progresser, puis un jour elle a enfin eu le déclic de "ah tiens, mais en fait elle me demande les mêmes trucs à chaque fois, et quand je me bouge pour lui donner satisfaction j'ai un bonbon. C'est ... cool !". Tout le reste est en train de suivre, et ça se voit à plein de petits indices du quotidien (elle arrête de manger et relève la tête quand je m'approche avec le licol, ça lui arrive de venir me voir d'elle-même (dans le vain espoir d'avoir une carotte gratuite, mais chut, faut pas dire :p), parfois elle marche plus vite que moi en main (ce qui aurait été impensable avant)).
Ca s'est accéléré dernièrement, avec le retour des températures plus douces :
L'autre jour en balade, j'étais sur le c*l : elle a pris l'initiative de faire un crochet pour aller inspecter une poubelle (vide) C'est un détail super bête, mais pour moi c'est le signe qu'elle commence à se rendre compte qu'elle a une marge de liberté et qu'elle a le droit de l'utiliser pour s'intéresser à ce qui l'entoure.
Dernièrement, j'ai aussi fait un essai pour lui trouver une DP. J'ai dit à la personne de la monter dans le pré et de faire ce qu'elle peut, en la prévenant toutefois que la jument a peu d'impulsion. Mais ... c'est que la personne n'a eu AUCUN problème à la faire avancer, même pour trotter. Je l'ai remontée le lendemain pour vérifier, et effectivement elle avait de l'impulsion. Du jamais-vu
Et là où je n'en reviens vraiment pas, c'est pour la ligne droite en voltige cosaque (= on demande au cheval de galoper à fond entre un point A et un point B, et le voltigeur fait sa figure sur ce laps de temps). J'ai fait au moins 10 ou 20 séances (à raison de 2 à 5 passages à chaque séance) pour habituer ma jument à la ligne droite, et elle n'a toujours eu qu'un galop tranquille et elle n'a JAMAIS chauffé. Alors que tout cheval de voltige qui se respecte va très vite piétiner sur place et être remonté à bloc à l'abord d'une ligne droite (principe d'anticipation quand on fait toujours la même chose au même endroit). Je m'étais faite à l'idée qu'elle n'irait jamais plus vite, et vlà-t'y pas que la semaine dernière je lui ai fait faire un passage "juste pour voir" et ... wouh, j'en suis presque restée sur place. J'ai réitéré hier, et c'est indéniable : elle a enfin mis les turbos !

Domipac19

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Posté le 01/10/2023 à 16h07

Moi, je commencerais par lui faire faire une prise de sang pour éliminer une cause pathologique (piro, Lyme, ou autre).

Liaa

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Posté le 01/10/2023 à 16h57

plume29 elodie94470 pikaa domipac19

Il est à jour véto et ostéo, l'une comme l'autre n'ont jamais rien trouvé, prise de sang nickel, aucune maladie, rien, il est en super forme selon plusieurs professionnels (j'en ai fait passer des différents au cas où).

L'ostéopathe m'a même dit qu'elle était surprise de le voir grandir aussi bien (il a pris environ 10cm depuis son arrivée en France) et qu'elle le trouvait vraiment "propre" niveau physique, pour reprendre ses conclusions sur les fiches "Aucun problème à signaler".

Édité par liaa le 01-10-2023 à 17h13



Liaa

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Posté le 01/10/2023 à 17h08

walmos

Je sais ce qu'on dit sur l'Espagne, et bien que tous ne soient pas à mettre dans le même panier (il n'y à qu'à regarder les élevages français, ce n'est pas toujours mieux), je peux dire pour les avoir rencontré et vus que son débourrage a été fait correctement, dans la douceur et dans le calme.

Pour ce qui est du travail en carrière avec moi, je me suis toujours assurée de prendre le temps qu'il lui faut, et cela semble marcher parce qu'il fait ce que je lui demande de lui-même (déplacer les épaules, hanches, début de la mise en place, bref le travail de base) bien que sans impulsion.

Je ne veux pas le travailler à la récompense, c'est un choix personnel d'une part et obligatoire d'une autre car il se met à mordre pour demander un bout de pomme ou un bonbon. Par contre, je prends le temps de le caresser/gratouiller et de faire des pauses quand il répond bien.
Exemple : s'il se met à trotter une longueur de carrière avec énergie, je m'arrête et le caresse en laissant les rênes longues (c'est ma professeur qui m'encadre pour cette méthode dont je n'avais jamais entendu parler et qui semble fonctionner plutôt bien).

J'ai envisagé la piste du "cheval blasé", mais ce n'est pas le cas car bien que non énergique il reste volontaire et viens me voir dès que je l'appelle ou même dès qu'il entend la voiture se garer sur le parking. Et je sais aussi qu'il s'exprime seul, car je ne peux pas le longer à cause de ça (n'étant moi-même pas une grande adepte de la longe cela m'arrange); il se met à trotter en jetant les pieds en l'air pour impressionner les copains. Il s'exprime aussi à l'attache, et je ne pense pas que ce soit un problème de ce côté-là.

Barbichon

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Posté le 01/10/2023 à 17h19

Personnellement j’ai 3 chevaux dans mon pré qui son absolument rétifs avec tout cavalier de petit niveau.
Je sais pas si ça vient de moi, de mes chevaux ou des autres mais tant qu’ils n’ont pas un vrai galop 7 sur le dos, c’est mort pour avancer.
Rien à faire du stick, cravache, éperons ... mais des que c’est moi dessus, ça part tout seul en un claquement de langue (je fais tout à la voix).
Je sais pas comment fond les clubs pour trouver des chevaux qui pardonne tout et avance quoi qu’il arrive car je galère à faire monter mes copines sur mes chevaux. Faut toujours qu’il s’arrête au mieux de la carrière pour jamais repartir. Idem en balade.

Mon coatch m’a dit que j’avais un cheval avec beaucoup de sang très chaud alors qu’avec moi il est plutôt calme mais avec tout de même de bonne allure. Une galop 3 ne peu même pas le faire avancer au pas.

Peut-être voir si ta coatch arrive à le faire avancer.

J’avoue avoir eu peur que mon cheval ai des problèmes de santé qui le rend rétif, ou blasé ou bien avancer que par peur de s’en prendre une quand le coatch monte dessus.
Mais non, mes chevaux sont des têtes de lard, ils n’écoutent que les personnes sur d’eux.
Après mes directives seront toujours plus claires qu’une galop 3 et moins claires qu’un pro donc peut-être partir là dessus. Pas avancer car pas compris.


Encore toute à l’heure, j’avais une galop 5 et une galop 3 sur mes chevaux et aucune d’elles n’a réussi à les faire avancer. Donc je monte dessus et comme par magie je peux partir direct au galop. Deux secondes après elles remontent dessus et rebellote, complètement bloqué.

C’est possible que pour votre cheval, ce soit une tout autre raison mais je me permet de donner mon témoignage pour donner une piste éventuelle.

Leif

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Posté le 01/10/2023 à 17h20

Passer du cheval ingérable au cheval blasé c'est alarmant

Contrôle véto le plus rapidement avec pds

Mon hongre,de nature hyperactif,a été une fois trop calme en extérieur, il se traînait la nouille comme une limace réfrigégée

Contrôle véto et pds plus tard, il était positif à la piro theileria+++

Liaa

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Posté le 01/10/2023 à 17h24

leif

J'ai dit qu'il était chaud, pas ingérable, mais dans tous les cas il était comme ça parce qu'il débarquait du fin fond de l'Andalousie en octobre, qu'il s'est pris la pluie et le froid pendant 5 mois tout en changeant tout dans son quotidien (sortie au pré, copains, moi, etc). Il s'est calmé au bout de 2/3 mois et ensuite a toujours été un vrai ange très très calme.

Sinon, comme je l'ai dit plus haut, aucune maladie, rien de détecté aux prises de sang, il est nickel sur tout.

Édité par liaa le 01-10-2023 à 17h26



Leif

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Posté le 01/10/2023 à 17h27

liaa te reste plus qu'à travailler avec un pro pour trouver la marche avant alors

Il est pareil au travail avec quelqu'un d'autre ?

Liaa

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Posté le 01/10/2023 à 17h32

barbichon

Merci d'avoir pris le temps de répondre.

Ce que je vais dire ici va sembler égoïste, mais j'ai beaucoup de mal à la confier à quelqu'un, même si ce n'est que pour me le tenir le temps que j'aille chercher quelque chose. Je n'ai aucune raison ou excuse valable, si ce n'est que je n'ai pas envie. C'est mon premier cheval, j'en rêve depuis que je suis bébé et je ne veux pas le voir dans les mains de quelqu'un d'autre (même quelqu'un de confiance).

Je sais que cela peut aussi être bénéfique, mais l'idée de le faire monter par quelqu'un m'est vraiment difficile et cela me travaille beaucoup (sachant que j'ai déjà envisagé l'idée de le confier au travail).

Deux de mes amies proches avec un meilleur niveau (galop 5-6) l'ont monté une fois, et toutes les deux ont eu le même problème et m'ont souhaité bien du courage, en me disant qu'il paraissait avec moi moins lourd que ce qu'il est réellement.

Ma coach est pour l'instant de mon avis, elle dit que temps que je ne me le sens pas il vaut mieux que je ne le confie pas, car ensuite il pourrait me sentir anxieuse et le devenir (ce qui est probable car les chevaux ressentent tout, et que je suis quand même très proche du mien).

leif

Édité par liaa le 01-10-2023 à 17h32



Leif

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Posté le 01/10/2023 à 17h37

liaa peut être te faut il t'affirmer avec lui

Vraiment te fâcher, pas le caresser délicatement avec l'intention de me faire avancer

Pour le moment, travaille le en liberté

Tu peux aussi demander à ta coach de le longer (pas monter), elle sera, normalement moins dans l'affecte que toi

Quiebro13

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Posté le 01/10/2023 à 18h36

Quand tu dis qu'il a eu des prises de sang qu'est ce qui a été cherché au juste ?
Sur une prise de sang standard on ne voit pas forcément grand chose

Un piro like a t'il été effectué ?

Les vétos en France attendent toujours que le cheval ai full symptômes pour songer à tester la piro ou lyme par exemple sans parler de l'erlichiose ou de l'anaplasmose
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