C'est ce qu'on appelle un dos carpé.
Pas excessivement carpé en ce qui concerne ton cheval mais carpé quand même.
L'obligation de travail reste relativement discutable. C'est, je pense, surtout corrélé à des habitudes et des équilibres environnement/alimentation/activités sociales. Même lorsqu'il y a une préconisation médicale ça reste relatif car il arrive un âge où solliciter le cheval n'est plus en adéquation avec sa disponibilité physiologique et/ou mentale.
Oui une activité physique peut avoir des bénéfices sur une pathologie, je ne remets évidemment pas en question cela... jusqu'au moment où le point d'équilibre bascule et ça devient plus préjudiciable que bénéfique.
Evidemment je ne juge pas ici de ton cas en particulier, j'énonce juste un principe de base. Il semble juste primordiale de garder cela en tête pour être en capacité de capter ce point de bascule lorsqu'on est confronté à cette situation.
Au delà de ça, je trouve que la meilleure décision pour soigner une douleur dorsale est de mettre le dos au repos. Je n'ai pas dit le cheval

mais le dos
Oui le cheval doit trouver plaisir dans ses activités sauf quand on entre dans le champ pathologique où alors, à mes yeux, l'aspect thérapeutique prime sur l'aspect plaisir, pour le bien du cheval. Lui n'en a pas conscience et ce n'est pas facile pour lui, mais nous on le sait, on a cette capacité de projection à moyen et long terme et c'est bien là que notre raison doit prendre le pas sur notre affect.
Ce n'est qu'une période pour un retour à plus de confort ensuite.
Tout comme lorsqu'on doit respecter une période d'enfermement pour convalescence, c'est dur pour le cheval, super compliqué à gérer mais indispensable pour un gain santé avéré.
j'espère que tu vas trouver la bonne recette et te souhaite bon courage.