Début 90 j’ai debouré un cheval (sf) tout seul dans un bout de pré.
À l’époque c’était pas courant, la méthode appliquée etait plutôt à deux , voir trois, un au bout de la longe un au bout de la chambriere et .. un pantin qui s’accroche.
Une dizaine d’années plus tard , c’était en montant tout de go sur un cocktail en stalle devant le chef adjoint de la boîte. (Je manipulais le piquet de chevaux , je le voyais prêt.)
Ça fait tjr son effet.
Qd j’étais jeune je ravivais les blasés et dorénavant je calme les stressouilles.
Je crois qu’en jeune cavaliers on est sublimé par les chevaux, avec l’âge j’aime à penser pouvoir les sublimer.