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En fait, tu as utilisé la notion de confort/inconfort dans ce contexte qui est inaproprié. Ici, le cheval n'a pas fait le lien entre son meneur qui "l'emmerde" (comme tu dis) et ses cabrés. Pour que le cheval comprenne, le meneur aurait du agir au moment même où le cheval allait se cabré.
Et céder, donc donner du confort, dès le premier signe de retour au calme. |
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Je suis totalement d'accord, après avoir vu qu'en effet, il y'avait autre chose que les rênes et qu'il souffrait quand même. C'est compliqué ce que l'on peut faire aux chevaux...
Il faudra nous raconter la visite de ce monsieur
