Résoudre un problème de comportement (vidéo)

fayange a écrit le 23/09/2009 à 21h04: +1 tu as 3 secondes pour agir sinon le cheval ne comprendra pas ta punition... et toujours récompenser après pour le rassurer

ben ui, je c, c'est comme pour les chiens, si tu réagis trop tard, c'est plus la peine, il comprendra rien a la situation !!

tinangebleu a écrit le 23/09/2009 à 20h22: Blingbling......................AMEN

vero13 a écrit le 23/09/2009 à 20h29: Blingbling je t'ai déjà dis que je t'aimais ?

c'est moi qui lui ai tout appris


Oui, oui, je sais où est la sortie

tazhia a écrit le 23/09/2009 à 21h11: ben ui, je c, c'est comme pour les chiens, si tu réagis trop tard, c'est plus la peine, il comprendra rien a la situation !!

Exact

tazhia a écrit le 23/09/2009 à 21h07: exacte comme dis plus tot, j'ai pas trop ouvert mes yeux sur la vidéo ayant la tête dans le c.u.l mon cerveau a enregistré ce qu'il a voulu

tu n'es pas la seule mais le chemin vers une meilleure connaissance du cheval sera certainement accessible au plus grand nombre dans les prochaines années et cela paraitra normal
pour l'instant la divulgation de ces connaissances n'est pas encore évidente et il faut aller à la source chez le chercheur lui-même pour l'avoir (et je n'en suis pas encore revenue, c'est un peu comme si celui qui a découvert l ADN t'en parlais avant de former les médecins à l'école de médecine !)
même les vétérinaires ne sont pas encore formés avec toutes ces connaissances et cela fait tout drôle de savoir certaines choses avant qu'elles ne soient officiellement publiées (par manque de temps).
Alors aller passer 5 jours chez Mr Barrey c'est un honneur et un privilège et cela t'apporte beaucoup (même si ce n'est pas totalement suffisant car il faut maintenant réfléchir à comment améliorer la communication avec les chevaux de façon intelligente et efficace pour concilier l'intégrité du cheval avec l'équitation monsieur Barrey est un ancien cavalier mais il ne peut pas nous donner toutes les clés d'un coup et je pense que lui-même réfléchit encore aux améliorations possibles)

tazhia a écrit le 23/09/2009 à 21h11: ben ui, je c, c'est comme pour les chiens, si tu réagis trop tard, c'est plus la peine, il comprendra rien a la situation !!

c'est vrai pour la plupart des choses il semble que cela soit de la seconde
mais sur certaines choses le cheval n'a même pas conscience de les avoir faites donc inutile de vouloir le corriger (ex: fouillement de queue ou certains écarts ou coup de pied)

chatdoc a écrit le 23/09/2009 à 21h13: c'est moi qui lui ai tout appris Oui, oui, je sais où est la sortie

lol

Raaa, tu casses tout mon mythe là Va t'en de ce post, oust, je veux pas t'entendre

nad57 a écrit le 23/09/2009 à 21h24: c'est vrai pour la plupart des choses il semble que cela soit de la seconde mais sur certaines choses le cheval n'a même pas conscience de les avoir faites donc inutile de vouloir le corriger (ex: fouillement de queue ou certains écarts ou coup de pied)

c'est ça qui va être difficile pour nous de faire la différence, je ne savais pas qu'uncheval peut faire un écart tjs au même endroit car il y a un "déclencheur" et que rien ne peut l'en empêcher il faut donc détourner son attention pour qu'il ne reçoive pas le déclencheur (bruit odeur, visuel autre)

Bah BlingBling je pense que tu peux créer ta secte x) tu seras le nouveau Raël des chevaux version féminine en culotte d'équitation.

une dernière (je suis trés bavarde ce soir)
je vais devoir changer mon avatar
il est pourtant mignon .....mais dans le "langage" gestuel des chevaux : je l'agresse pour au moins deux raisons :j'envahis son espace personnel et en plus je le menace de l'antérieur ce qui est une attaque forte
certe je pense qu'au moment de la photo mon poney n'était peut être pas en souffrance mais ce geste anodin pour nous et même sympa est en réalité une véritable agression pour lui,

vous êtes trop les filles jr'adore parler toute seule quand vous délirez lol

Je n'avais vraiment pas vu que le cheval était étouffé
en fait, je n'avais pas vu d'autre "ficelle" que les rênes et la martingale à anneaux.
je comprends mieux maintenant...


Une remarque : le cheval est un jeune PS, surement fraichement et rapidement débourré. Il a le comportement de beaucoup de PS dans certaines écuries de course (attention, pas toutes, pas même la majorité, et pas la majorité des chevaux).
Rien de bien grave, lui accorder un peu de temps, lui expliquer ce qu'on attend de lui (et ce que l'on attend pas de lui), arrêter de lui bruler l'estomac avec une surdose d'avoine, permettrait certainement de résoudre le problème, ou plutôt de ne pas l'avoir créér.
Mais voilà, pas le temps...

nad57 a écrit le 23/09/2009 à 21h37: vous êtes trop les filles jr'adore parler toute seule quand vous délirez lol

c'est très intéressant ce que tu racontes, mais nous sommes d'accord et n'avons rien à ajouter.
Alors, nous maintenons le poste à flot, nous proposons des divertissements pour que les gens viennent te lire

chatdoc a écrit le 23/09/2009 à 21h39: arrêter de lui bruler l'estomac avec une surdose d'avoine

Je me sens moins seule

je continue à écrire toute seule (Nad m'a passé le relais).

j'insiste donc sur la nécessité de ne pas laisser un cheval se cabrer quand il est tenu en main. Et de ne pas hésiter à faire appel à une personne compétente et respectueuse des chevaux si l'on se sent dépassé par le problème.


3615 my life.
J'ai eu le crane ouvert, le nez cassé et dénudé par un antérieur de mon cheval, PS fort gentil et bien élevé pourtant. J'attendais un 2 ans qui faisait l'idiot avant de le lacher dans le pré sans faire attention à lui, il s'est mis debout quand le 2 ans est arrivé, pour jouer avec lui, je ne faisais pas attention, j'ai tiré sur la longe pour qu'il redescende et il est bien redescendu mais sur ma tête.
A partir de ce jour là et pendant au moins 2 ans, je n'ai pas pu l'emmener au pré sans qu'il se mette debout. J'étais terrorisée et ne l'emmenait plus, je demandais à d'autres gens de le faire. Bien sur, il était adorable avec eux.
je pouvais juste l'emmener au pré en liberté (sans longe) quand il n'y avait pas de risque si jamais il me faussait compagnie (il me suivait).

Le jour où j'ai enfin vaincu ma peur, il a cessé son cirque. A méditer.